Contenu récent par Gilbertus

Merci beaucoup ^^

Oublie vite ! Oublie tout ! Oublie ! De peur que toutes ces petites souffrances n'érigent une muraille de peur. Oublie ! Afin de ne garder que des rêves que tu pourras croire être des souvenirs. Oublie ! Car si c'est un cauchemar tu auras toujours l'illusion de pouvoir te réveiller...

Merci beaucoup

Merci Bassman ! Ça a le mérite d'être clair. Si je peux comprendre cette attitude, je n'en reste pas moins dubitatif : qui du "nioub" fainéant ou du "vétéran" rageur polluent le plus. Sinon la wikipédiatisation a du bon : ça instruit pour qui veut s'en donner la peine :D Pour répondre...

Non effectivement, c'est une façon d'être peut-être même de vivre.

Donc ça date !!! C'est bon à savoir... Il y a des retours qui de toutes les façons n'étaient même pas envisageable. Pas mieux :D:D:D Effectivement... En général notre médiocrité on l'érige en talent éblouissant ;)

Cela faisait un peu de temps que je n'était plus venu sur les Forums de MacGé. J'y avais pourtant trouvé de bonne chose et de merveilleuses rencontres mais je suis allé butiner sur d'autres forums propre à mes occupations du moment (genre wow). Je suis venu refaire un passage pour y faire un...

Le problème c'est que les filles veulent absolument des réponses quand elles cherchent ! Les mecs quand ils cherchent c'est juste pour s'occuper... Quand y'a pas de foot à la télé :D En même temps vu leur efficacité : « Chérie ! Où est ce que tu a mis mon ... ??? »

Et pour Bobby, ça le fait plus savant ? ;) :D

Le problème du prénom c'est pas tant le prénom en lui-même, mais davantage celui qui le stigmatise. Ce genre de vision des choses s'appelle un a priori (dans sa forme gentillette) voir un bouc émissaire : c'est toujours rassurant d'avoir « un petit con » à côté de soi ;)

Ce n'est que le vent qui s'agite... Mais ne nous pousse-t-il pas toujours vers nos mêmes rivages ? Inlassablement nous poussons nos embarcations toujours plus loin. Mais quand vient à passer devant nos yeux ces rivages anciens – où le temps d'une pose voir d'une prose, nous avons bâti une frêle...

...citations PonkHead :up:

C’était le jour. Je me levais, je sautais, je courais et je flirtais avec le vent. Je me sentais fort, aucune porte n’aurait su freiner mon élan, dans cette vie que je raflais à chaque soupir. Tous ces hommes, toutes ces femmes, c’est cloportes, sous mes bottes que je les aurais écrasés. J’étais...

Si le temps nous en laisse le loisir, si la vie nous en donne la force, sur le lit de nos cœurs se coucheront les souvenirs de nos multiples rencontres. Quand bordé par l’habitude, ils se fondront dans notre mémoire, étrangement il en restera toujours quelques fragrances synaptiques. Porté par...

« Une fois que quelque chose est détruit, la vérité n'émerge que lentement et l'on se met, quelque part, à douter de soi-même. » (Aram Khatchaturian)