Si c'est celle de la rue Jean-Jacques Rousseau, je passe devant assez souvent ...
coup de coeur/de pompe filmique (Parlons cinéma)
- Créateur du sujet ApplePie
- Date de début
Pareil, je l'ai vue, il y a à peine deux heures, en sortant de la librairie Arthaud.
Accessoirement, je n'ai pas spécialement apprécié le film Tenet, et pas seulement à cause de la musique, même si cela y a contribué...
Va falloir ouvrir un fil sur 'la vie des macgéens de Grenoble et leurs déambulations quotidiennes' si je comprends bien 
Mais vont-ils au cinéma ?
Mais vont-ils au cinéma ?
Oui, pas beaucoup ces temps ci ... Vu Vingt Dieux hier et trouvé moyen.Va falloir ouvrir un fil sur 'la vie des macgéens de Grenoble et leurs déambulations quotidiennes' si je comprends bien
Mais vont-ils au cinéma ?
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Dans mon salon !?
Je sors à l’instant de Nickel boys. Adapté du roman de Colson Whitehead, l’histoire dramatique se passe en Floride dans les années soixante. Tourné en 4/3 à la première personne, deux choix stylistiques assez déroutant les premières minutes, l’intrigue se déroule dans un centre carcéral pour mineurs durant le temps de la ségrégation. C’est brutal. À la chronologie du récit inspiré de faits réels s’imbriquent des images d’archives télévisuelles accentuant la tension. Prenant !
Un parfait inconnu, le biopic sur Bob Dylan. Bon, l'image que je joins est cette de son premier disque vraiment personnel, pas celle du film, mais c'est pour l'ambiance.
J'allais vers ce film à reculons, ayant beaucoup écouté le chanteur et beaucoup lu à son sujet, y compris sa propre autobiographie partielle, Chronicles tome 1 (il n'y a jamais eu de tome 2) et d'autres biographies. Je craignais la déception, la banalité, ... Perdu ... je pleure dès les premières mesures de la chanson de Woody Guthrie dans l'introduction. Le film sonne juste, peu importe peut être quelques faiblesses, raccourcis ou approximations auxquelles on prête peu attention. C'est romancé, OK, la vie de cette personne est de toutes façons un roman. Il a inventé des histoires à son propos parce qu'il n'avait pas envie qu'on le réduise à son passé, dans le film, c'est traduit par une prétention d'avoir fait partie d'un cirque, ce qui est finalement assez joli. Une grande place est accordée à sa relation avec Suze Rotolo (sur la photo), qui a elle même relaté cette periode dans un livre (Le Temps des possibles, éd. Naïve). C'est sans doute justice. Elle est rebaptisé Sylvia (Elle Fanning) dans le film, Dylan n'a pas autorisé qu'elle figure sous son véritable nom (mais la décision ne lui appartenait peut-être pas), contrairement à la plupart des autres intervenants, Pete Seeger, Albert Grossman, Johny Cash, Joan Baez, ... Je pleure à toutes les anciennes chansons que je connais par cœur, autant par le contenu des chansons que par les souvenirs personnels qu'ils m'évoquent. Thimotée Chalamet est juste dans son jeu, dans son chant. Monica Barbaro qui jour Joan Baez est moins proche du visage de l'original, mais son chant ne la dénature pas. Edward Norton est un Pete Seeger particulièrement crédible.
Et donc, pas du tout déçu. Une réussite selon moi, et sur ce sujet, ce n'était pas gagné d'avance.
J'allais vers ce film à reculons, ayant beaucoup écouté le chanteur et beaucoup lu à son sujet, y compris sa propre autobiographie partielle, Chronicles tome 1 (il n'y a jamais eu de tome 2) et d'autres biographies. Je craignais la déception, la banalité, ... Perdu ... je pleure dès les premières mesures de la chanson de Woody Guthrie dans l'introduction. Le film sonne juste, peu importe peut être quelques faiblesses, raccourcis ou approximations auxquelles on prête peu attention. C'est romancé, OK, la vie de cette personne est de toutes façons un roman. Il a inventé des histoires à son propos parce qu'il n'avait pas envie qu'on le réduise à son passé, dans le film, c'est traduit par une prétention d'avoir fait partie d'un cirque, ce qui est finalement assez joli. Une grande place est accordée à sa relation avec Suze Rotolo (sur la photo), qui a elle même relaté cette periode dans un livre (Le Temps des possibles, éd. Naïve). C'est sans doute justice. Elle est rebaptisé Sylvia (Elle Fanning) dans le film, Dylan n'a pas autorisé qu'elle figure sous son véritable nom (mais la décision ne lui appartenait peut-être pas), contrairement à la plupart des autres intervenants, Pete Seeger, Albert Grossman, Johny Cash, Joan Baez, ... Je pleure à toutes les anciennes chansons que je connais par cœur, autant par le contenu des chansons que par les souvenirs personnels qu'ils m'évoquent. Thimotée Chalamet est juste dans son jeu, dans son chant. Monica Barbaro qui jour Joan Baez est moins proche du visage de l'original, mais son chant ne la dénature pas. Edward Norton est un Pete Seeger particulièrement crédible.
Et donc, pas du tout déçu. Une réussite selon moi, et sur ce sujet, ce n'était pas gagné d'avance.
Je l'ai vu en décembre en VO et j'ai beaucoup aimé. C'est romancé, mais dépeint bien l'ambiance de cette époque. Mon seul regret, Johnny Cash ne ressemble pas à Johnny Cash, mais c'est très subjectif.
Et quelle joie de voir Joan Baez, une ex-conquête de Steve Jobs à l'écran. Mon côté FanBoy a apprécié.
Et quelle joie de voir Joan Baez, une ex-conquête de Steve Jobs à l'écran. Mon côté FanBoy a apprécié.
Un gros coup de cœur pour 'Interdit aux chiens et aux italiens'
Pas nouveau (2 ans) et vu lors d'un passage récent sur la TNT.
Une merveille d'animation en stop-motion racontant l'histoire d'un village italien des alpes au début du siècle dernier, des hommes passant le col pour travailler en France, les femmes élevant les enfants en attendant leur retour. Raconté par la marionette de la grand-mère du réalisateur l'histoire se poursuit avec l'installation définitive de la famille en France à la veille de la deuxième guerre mondiale et jusqu'au décès de l'aïeule au début des années 50.
S'il est à votre médiathèque, ou si par miracle votre cinoche préféré le programme, foncez ! Ne vous arrêtez pas au titre, il n'y est fait allusion qu'au travers d'une affichette apparaissant fugacement dans la vitrine d'un bar.
Pas nouveau (2 ans) et vu lors d'un passage récent sur la TNT.
Une merveille d'animation en stop-motion racontant l'histoire d'un village italien des alpes au début du siècle dernier, des hommes passant le col pour travailler en France, les femmes élevant les enfants en attendant leur retour. Raconté par la marionette de la grand-mère du réalisateur l'histoire se poursuit avec l'installation définitive de la famille en France à la veille de la deuxième guerre mondiale et jusqu'au décès de l'aïeule au début des années 50.
S'il est à votre médiathèque, ou si par miracle votre cinoche préféré le programme, foncez ! Ne vous arrêtez pas au titre, il n'y est fait allusion qu'au travers d'une affichette apparaissant fugacement dans la vitrine d'un bar.
Le comte de Monte-Cristo (2024) enfin dispo à la médiathèque.
Plutôt un coup de pompe. Une musique inutilement envahissante, comme c'est hélas de plus en plus le cas, et une reécriture du scénario parfaitement superfétatoire avec des modifications de l'intrigue contre productives, surtout quand on connait le roman quasi par cœur.
Par contre, qui ne connait pas le roman et n'est pas dérangé par la musique aura droit à un beau film d'aventures en costume, assez bien joué quoiqu'un peu long.
N'empêche que le 'vrai' Monte Cristo d'Alexandre Dumas joue sa vengeance sans état d'âme, alors que celui-ci à l'air de s'en vouloir de se venger, comme si on voulait lui éviter les pouces en bas sur fessebouque.
Plutôt un coup de pompe. Une musique inutilement envahissante, comme c'est hélas de plus en plus le cas, et une reécriture du scénario parfaitement superfétatoire avec des modifications de l'intrigue contre productives, surtout quand on connait le roman quasi par cœur.
Par contre, qui ne connait pas le roman et n'est pas dérangé par la musique aura droit à un beau film d'aventures en costume, assez bien joué quoiqu'un peu long.
N'empêche que le 'vrai' Monte Cristo d'Alexandre Dumas joue sa vengeance sans état d'âme, alors que celui-ci à l'air de s'en vouloir de se venger, comme si on voulait lui éviter les pouces en bas sur fessebouque.
Ou regarder la version TV de Denys de La Patellière avec Jacques Weber qui doit bien exister en DVD. 4 fois 1h25 et une fidélité au roman inégalée. Mais ça ne passerait pas aujourd'hui, pas assez d'action, c'est lent - le roman fait près de 2000 pages !, une seule intrigue (la vengeance) la où le film ci-dessus en rajoute notamment dans les sentiments, ce qui explique certaines modifs du scénario.Wahoo, ça donne plus envie de lire le livre que de voir le film
Il fait partie des programmes que j’ai l’intention de regarder quand je prendrai Madelen (celle de l’INA, pas celle qu’attendait Brel…) pour quelques semaines aux temps froids. Je me souviens vaguement du feuilleton, l’année du bac pour moi…
De toutes façons c’est une adaptation. Donc ça ne colle pas forcément au bouquin. Et il n’y a rien de gênant à ça.
J’ai trouvé le film sans plus. C’est surtout qu’on nous avait vendu des heures de maquillage pour rendre pierre niney méconnaissable… et en fait non.
J’ai trouvé le film sans plus. C’est surtout qu’on nous avait vendu des heures de maquillage pour rendre pierre niney méconnaissable… et en fait non.
Je re-visioné la version « Weber » il y a quelques mois sur l’INA. Ça reste ma préférée.