Coup de pompe de la semaine ! 
The astronaut (2025)
Pour vous éviter 90 minutes de science-fiction au raz des pâquerettes…
Je spoile volontairement le scénario…
Libre à vous de le lire…
Le film débute avec une capsule flottant sur l'océan. Une armada de hors-bords fonce vers 'engin pour en extraire une astronaute, la capitaine sam Walker jouée par Kate Mara. La capsule présente un trou causé par un projective. La visière du casque de l'astronaute est cassée. Une substance bleue dégouline dans l'habitacle.
La photographie du film est réussie. Le premier plan augure d'une suite tout aussi captivante…
Après un rapide passage en zone blanche – histoire de vérifier qu'elle n'est pas infectée – où elle revoit au travers d'une vitre sa fille, son mari et son père général d'un corps d'armée étasunien interprété par Laurence Fishburne, Sam est envoyée en convalescence dans un confortable demeure d'architecte implantée sur quatre hectares arborés en Pennsylvanie, à trente minutes de Washington DC – papa officie donc depuis la capitale du pays.
Et là… Ses ennuis commencent ! Sam est victime d'hallucinations. Une scène lugubre entremêlant décor de guerre et hommes en armes défile en mode reverse dans son esprit. Et comme si cela ne suffisait pas, les hématomes sur son corps augmentent au lieu de se résorber.
Seule dans cette superbe maison, Sam passe deux nuits d'effrois. Au troisième jour, son père lui fait visiter les lieux. Eh ouais ! Il n'y a pas que deux niveaux. Une porte dérobée cachée dans un bibliothèque ouvre vers les sous-sols. Plusieurs niveaux composés de chambres, cuisine, salles de sport, de soins, de relaxation et une salle de surveillance des niveaux visibles se nichent sous ses pieds ! Le père explique que cette villa est un point d'exfiltration pour hauts dignitaires – ou un truc dans le genre, je sais plus bien.
La troisième nuit, alors que les hallucinations recommencent et qu'elle entrevoie une forme roder autour de la villa, et se réfugie dans la salle sécurisée. Depuis les écrans de surveillance, elle voit certains écrans vibrer et… le temps d'un claquement de doigt, un quadropode passe devant une caméra pointée sur la jardin.
Au matin, elle fait mention de cette information à son papa. Arrivé avec une poignée de geeks en treillis, il la rassure pendant que ses sbires visionnent les bandes de la nuit. Nada ! Son père la convainc qu'elle est victime de stress post-traumatique, que tout va bien et que sa fille et son mari vont passer dans la journée.
Le papa parti et la famille réunie, une balade dans le parc environnant s'impose. La gamine s'éloigne. Des crissements alertent les parents. Une recherche affolée de l'enfant commence. La gosse réapparait un insecte mort dans le creux de sa main. Alors que Sam éjecte la sale bête de la main de sa fille, des bruissements d'ailes se font entendre dans le sous-bois. Tout le monde recule. Des insectes volants apparaissent et foncent dans leur direction. L'enfant est prise dans les bras du père et tout le monde prend ses jambes à son cou pour se réfugier dans la maison. Une nuée d'insectes les poursuit. À l'abri, ils assistent à l'obscurissement des baies vitrées par les insectes…
Papa est de retour avec un armada de scientifiques portant combinaison et masque pour collecter les monceaux d'insectes morts encombrants les terrasses. Une vue aérienne montre un motif cabalistique formé par les amoncellements d'insectes. Bizarre !? Vous avez dit bizarre ?!
La quatrième nuit, alors que ses visions la reprennent et que la maison se met en mode isolation – rideaux de fer claquemurant toutes les ouvertures, lumière rouge clignotante dans toutes les pièces et diffusion d'un message d'alerte intrusion – sam se réfugie dans la salle de contrôle. Elle bidouille dabns les menus du système de sécurité et active les capteurs de pression dans les espaces de vie. Plusieurs points rouges apparaissent sur le plan d'occupation des sols affiché à l'écran.
Elle n'est pas seule ! Elle n'hallucine pas ! Ou alors gravement !
Le lendemain, papa revient, toujours accompagné de sbires en treillis… mais noir cette fois-ci ! Sa fille et son mari sont aussi du voyage. Sam rassurée et les bidasses repartis, son mari promet de revenir dans la soirée pour la border. Sauf que…
Le soir venu, la maison se remet en sécurité ! Sam s'affole… Mais comment va faire ma famille pour entrer si les rideaux d'acier son baissés ? Avant même de trouver réponse à son interrogation, sa fille et son mari sont dans l'allée. Comment va-t-on faire pour entrer ? Avant même de trouver la clé cachée sous le pot de fleurs à gauche de la porte d'entrée, la gamine est attirée par un mouvement. Sam, voyant la scène depuis son mur d'écrans déverrouille les ouvertures. L'armada d'hommes en treillis noir et le papa, alertés par le système de sécurité, reviennent sur place. Et cette fois-ci, ils sont tous armés, papa le premier ! Il faut sauver l'astronaute Sam !
Sam et son mari courent après leur fille. Cette dernière s'est enfoncée dans les bois, attirée par des points luminescents multicolore dans le bois. Alors que le père et la mère foncent vers cet arc-en-ciel nocturne, ils se séparent pour couvrir plus de terrain à la recherche de l'enfant perdue. Au bout d'un moment, Sam tombe nez à nez avec un quadripode. Et là, magie du scénario, elle comprend ce que dit la forme de vie extra-terrestre.
Mieux ! La scène qu'elle revivait à l'envers et déroule maintenant dans le sens de lecture « normale ». Et là ?! Le choc !? Des quadripodes tentent d'échapper à une armée de soldats. Un quadripode s'égare. Alors qu'un soldat approche de l'endroit où le quadripode perdu s'est réfugié, un éclair de lumière se produit. Le quadripode s'est transformé en une enfant. Le soldat attiré par la lumière produite approche et découvre l'enfant. Mise dans ses bras, il décide de l'adopter.
Back to the présent ! Le quadripode explique à Sam qu'elle est sa fille. Que prise au piège, est s'est métamorphosée en humain. Et que la perforation dans la capsule spatiale était l'antidote destiné à lui redonner forme « quadripodienne ». Papa arrive devant « sa fille » et l'extra-terrestre, rapidement rejoint par le mari et la fille. Il ordonne à Sam de traduire à l'extra-terrestre qu'ils doivent se rendre et donner les clefs du vaisseau, désormais propriété du gouvernement américain. Rien que ça !
Le mari de Sam, tombé sous le charme de cet être venu d'ailleurs, se jette sur le général pour le désarmer. Alors que la gamine échange un geste d'amour avec « sa mère », les quadripodes s'enfuient…
Clap de fin !
Je ne dirai pas que je me suis emmerdé. Nan ! Cette sorte de huit clos fait la part belle à la villa. L'extérieur minimal n'a rien d'extraordinaire mais l'intérieur… Mamamia ! Les murs sont indigo, écrin idéal pour recevoir les nombreux tableaux d'inspiration classique à l'encadrement doré. Pour contre-balancer cet accrochage très XVIIIe, le mobilier d'intérieur pioche chez les plus grandes manufactures tables, chaises, sofas, luminaires, textiles et équipements. L'histoire étant si peu cpativante, j'ai passé mon temps à identifier ces magnifiques éléments de design.
Un bon point pour la photo et la déco ! Le reste… Ça ne vaut pas mieux que les histoires de notre double plaquette de riz soufflé enrobée de chocolat au lait… Si vous voyez de qui je cause, hé hé.
The astronaut (2025)
Pour vous éviter 90 minutes de science-fiction au raz des pâquerettes…
Je spoile volontairement le scénario…
Libre à vous de le lire…
Le film débute avec une capsule flottant sur l'océan. Une armada de hors-bords fonce vers 'engin pour en extraire une astronaute, la capitaine sam Walker jouée par Kate Mara. La capsule présente un trou causé par un projective. La visière du casque de l'astronaute est cassée. Une substance bleue dégouline dans l'habitacle.
La photographie du film est réussie. Le premier plan augure d'une suite tout aussi captivante…
Après un rapide passage en zone blanche – histoire de vérifier qu'elle n'est pas infectée – où elle revoit au travers d'une vitre sa fille, son mari et son père général d'un corps d'armée étasunien interprété par Laurence Fishburne, Sam est envoyée en convalescence dans un confortable demeure d'architecte implantée sur quatre hectares arborés en Pennsylvanie, à trente minutes de Washington DC – papa officie donc depuis la capitale du pays.
Et là… Ses ennuis commencent ! Sam est victime d'hallucinations. Une scène lugubre entremêlant décor de guerre et hommes en armes défile en mode reverse dans son esprit. Et comme si cela ne suffisait pas, les hématomes sur son corps augmentent au lieu de se résorber.
Seule dans cette superbe maison, Sam passe deux nuits d'effrois. Au troisième jour, son père lui fait visiter les lieux. Eh ouais ! Il n'y a pas que deux niveaux. Une porte dérobée cachée dans un bibliothèque ouvre vers les sous-sols. Plusieurs niveaux composés de chambres, cuisine, salles de sport, de soins, de relaxation et une salle de surveillance des niveaux visibles se nichent sous ses pieds ! Le père explique que cette villa est un point d'exfiltration pour hauts dignitaires – ou un truc dans le genre, je sais plus bien.
La troisième nuit, alors que les hallucinations recommencent et qu'elle entrevoie une forme roder autour de la villa, et se réfugie dans la salle sécurisée. Depuis les écrans de surveillance, elle voit certains écrans vibrer et… le temps d'un claquement de doigt, un quadropode passe devant une caméra pointée sur la jardin.
Au matin, elle fait mention de cette information à son papa. Arrivé avec une poignée de geeks en treillis, il la rassure pendant que ses sbires visionnent les bandes de la nuit. Nada ! Son père la convainc qu'elle est victime de stress post-traumatique, que tout va bien et que sa fille et son mari vont passer dans la journée.
Le papa parti et la famille réunie, une balade dans le parc environnant s'impose. La gamine s'éloigne. Des crissements alertent les parents. Une recherche affolée de l'enfant commence. La gosse réapparait un insecte mort dans le creux de sa main. Alors que Sam éjecte la sale bête de la main de sa fille, des bruissements d'ailes se font entendre dans le sous-bois. Tout le monde recule. Des insectes volants apparaissent et foncent dans leur direction. L'enfant est prise dans les bras du père et tout le monde prend ses jambes à son cou pour se réfugier dans la maison. Une nuée d'insectes les poursuit. À l'abri, ils assistent à l'obscurissement des baies vitrées par les insectes…
Papa est de retour avec un armada de scientifiques portant combinaison et masque pour collecter les monceaux d'insectes morts encombrants les terrasses. Une vue aérienne montre un motif cabalistique formé par les amoncellements d'insectes. Bizarre !? Vous avez dit bizarre ?!
La quatrième nuit, alors que ses visions la reprennent et que la maison se met en mode isolation – rideaux de fer claquemurant toutes les ouvertures, lumière rouge clignotante dans toutes les pièces et diffusion d'un message d'alerte intrusion – sam se réfugie dans la salle de contrôle. Elle bidouille dabns les menus du système de sécurité et active les capteurs de pression dans les espaces de vie. Plusieurs points rouges apparaissent sur le plan d'occupation des sols affiché à l'écran.
Elle n'est pas seule ! Elle n'hallucine pas ! Ou alors gravement !
Le lendemain, papa revient, toujours accompagné de sbires en treillis… mais noir cette fois-ci ! Sa fille et son mari sont aussi du voyage. Sam rassurée et les bidasses repartis, son mari promet de revenir dans la soirée pour la border. Sauf que…
Le soir venu, la maison se remet en sécurité ! Sam s'affole… Mais comment va faire ma famille pour entrer si les rideaux d'acier son baissés ? Avant même de trouver réponse à son interrogation, sa fille et son mari sont dans l'allée. Comment va-t-on faire pour entrer ? Avant même de trouver la clé cachée sous le pot de fleurs à gauche de la porte d'entrée, la gamine est attirée par un mouvement. Sam, voyant la scène depuis son mur d'écrans déverrouille les ouvertures. L'armada d'hommes en treillis noir et le papa, alertés par le système de sécurité, reviennent sur place. Et cette fois-ci, ils sont tous armés, papa le premier ! Il faut sauver l'astronaute Sam !
Sam et son mari courent après leur fille. Cette dernière s'est enfoncée dans les bois, attirée par des points luminescents multicolore dans le bois. Alors que le père et la mère foncent vers cet arc-en-ciel nocturne, ils se séparent pour couvrir plus de terrain à la recherche de l'enfant perdue. Au bout d'un moment, Sam tombe nez à nez avec un quadripode. Et là, magie du scénario, elle comprend ce que dit la forme de vie extra-terrestre.
Mieux ! La scène qu'elle revivait à l'envers et déroule maintenant dans le sens de lecture « normale ». Et là ?! Le choc !? Des quadripodes tentent d'échapper à une armée de soldats. Un quadripode s'égare. Alors qu'un soldat approche de l'endroit où le quadripode perdu s'est réfugié, un éclair de lumière se produit. Le quadripode s'est transformé en une enfant. Le soldat attiré par la lumière produite approche et découvre l'enfant. Mise dans ses bras, il décide de l'adopter.
Back to the présent ! Le quadripode explique à Sam qu'elle est sa fille. Que prise au piège, est s'est métamorphosée en humain. Et que la perforation dans la capsule spatiale était l'antidote destiné à lui redonner forme « quadripodienne ». Papa arrive devant « sa fille » et l'extra-terrestre, rapidement rejoint par le mari et la fille. Il ordonne à Sam de traduire à l'extra-terrestre qu'ils doivent se rendre et donner les clefs du vaisseau, désormais propriété du gouvernement américain. Rien que ça !
Le mari de Sam, tombé sous le charme de cet être venu d'ailleurs, se jette sur le général pour le désarmer. Alors que la gamine échange un geste d'amour avec « sa mère », les quadripodes s'enfuient…
Clap de fin !
Je ne dirai pas que je me suis emmerdé. Nan ! Cette sorte de huit clos fait la part belle à la villa. L'extérieur minimal n'a rien d'extraordinaire mais l'intérieur… Mamamia ! Les murs sont indigo, écrin idéal pour recevoir les nombreux tableaux d'inspiration classique à l'encadrement doré. Pour contre-balancer cet accrochage très XVIIIe, le mobilier d'intérieur pioche chez les plus grandes manufactures tables, chaises, sofas, luminaires, textiles et équipements. L'histoire étant si peu cpativante, j'ai passé mon temps à identifier ces magnifiques éléments de design.
Un bon point pour la photo et la déco ! Le reste… Ça ne vaut pas mieux que les histoires de notre double plaquette de riz soufflé enrobée de chocolat au lait… Si vous voyez de qui je cause, hé hé.