J'ai fini la série hier soir, rien de transcendant , du déjà vu , des clichés, du téléphoné ...Bof.
Saison 1 très bien. C’était assez plaisant, de bons acteurs, un excellent Thomas Cromwell, un superbe Thomas Moore. Le duc de Norfolk effectivement un peu trop « paillard » alors que le véritable Thomas Howard était un grand seigneur de la Renaissance.
(N.B. : Thomas était vraiment le prénom très à la mode en cette période de troubles religieux.)
Saison 2 la catastrophe. Début de cette sale habitude de la BBC de mettre de gens de couleurs dans les productions « historiques » en total anachronisme.
Tant qu’à faire, je préfère la série Les Tudors. Des libertés prises avec la vérité historiques, des personnages importants occultés (Norfolk après la saison 1) mais un Henri VIII de Jonathan Rhys-Meyer psychologiquement très juste, à défaut d’en avoir le physique (trop beau). Les enjeux politico-religieux mieux traités. Le Cromwell de James Frain manquait certes un peu d’envergure. Il faisait plus comptable que ministre.
Il y a un fil pour les films, même s'ils sont regardés en streaming ou sur DVD 
@Moonwalker : oui, la présence de gens de couleur m'a fait tiquer, mais bon, c'est l'époque qui veut ça*, alors on fait avec. C'est uniquement pour ça que tu considères la saison 2 catastrophique ?
* Et c'était assez anecdotique, pas comme dans le Robin des Bois de Kevin Costner . J'aime bien Morgan Freeman mais que venait-il faire la ?
@Moonwalker : oui, la présence de gens de couleur m'a fait tiquer, mais bon, c'est l'époque qui veut ça*, alors on fait avec. C'est uniquement pour ça que tu considères la saison 2 catastrophique ?
* Et c'était assez anecdotique, pas comme dans le Robin des Bois de Kevin Costner . J'aime bien Morgan Freeman mais que venait-il faire la ?
Moi, ça me casse. Ils n’ont rien à faire dans une production historique. Des femmes noires comme dames d’atour ? WTF ! C’est totalement ignorer le rang social et l’importance de ce rôle dans une monarchie, spécialement dans la cour des Tudor.Il y a un fil pour les films, même s'ils sont regardés en streaming ou sur DVD
@Moonwalker : oui, la présence de gens de couleur m'a fait tiquer, mais bon, c'est l'époque qui veut ça*, alors on fait avec. C'est uniquement pour ça que tu considères la saison 2 catastrophique ?
* Et c'était assez anecdotique, pas comme dans le Robin des Bois de Kevin Costner . J'aime bien Morgan Freeman mais que venait-il faire la ?
Le Robin des Bois de Kostner ça pouvait encore aller. C’était l’époque des croisades et le personnage de Morgan Freeman ne vient pas comme un cheveux sur la soupe, il a sa logique dans le récit. Et puis, c’est du roman, de la fiction, pas de l’histoire. Ils prennent un mythe et le retravaillent. La coupe « mulet » de Kostner est beaucoup plus choquante.
Dans l’ensemble, la saison 2 est moins bien faite scénaristiquement que la 1. Ce « clair obscur », ces « pauses » qui faisaient le charme de la première y deviennent simplement de l’ennui dans la seconde. J’avais hâte que cela se termine.
Hier soir je me suis tapé une purge : Meurtre au Mont Saint-Michel
Ben oui, j'espérai surtout avoir droit à une petite visite du lieu autre que purement documentaire : les ruelles, les arrière-cours, les habitants...
Passons sur l'intrigue policière, assez bien foutue finalement même s'il ne faut pas demander la lune mais ça m'a fait rester jusqu'à la fin en ne regardant que d'un œil.
Mais le reste, outch ! Déjà, ça se serait passé à Palavas-les-flots ou Bécon-les-bruyères ça n'aurait rien changé. Une ou deux vues du Mont, point-barre. Quant aux tourments-de-l'héroïne-qu'on-ajoute-pour-lui-donner-de-l'humanité, la totale : Un mari qui ne pense qu'à lui donc ils vont se séparer, un collègue amoureux donc elle va se mettre avec, sa mère séparée de son père (mais pitain pourquoi faut-il que ça soit impossible d'avoir un couple stable dans les séries ?), et cerise sur le gâteau, un prêtre qui se révèlera être son père (de l'héroïne, pas de la mère).
Mais où vont-ils chercher tout ça ?
Ben oui, j'espérai surtout avoir droit à une petite visite du lieu autre que purement documentaire : les ruelles, les arrière-cours, les habitants...
Passons sur l'intrigue policière, assez bien foutue finalement même s'il ne faut pas demander la lune mais ça m'a fait rester jusqu'à la fin en ne regardant que d'un œil.
Mais le reste, outch ! Déjà, ça se serait passé à Palavas-les-flots ou Bécon-les-bruyères ça n'aurait rien changé. Une ou deux vues du Mont, point-barre. Quant aux tourments-de-l'héroïne-qu'on-ajoute-pour-lui-donner-de-l'humanité, la totale : Un mari qui ne pense qu'à lui donc ils vont se séparer, un collègue amoureux donc elle va se mettre avec, sa mère séparée de son père (mais pitain pourquoi faut-il que ça soit impossible d'avoir un couple stable dans les séries ?), et cerise sur le gâteau, un prêtre qui se révèlera être son père (de l'héroïne, pas de la mère).
Mais où vont-ils chercher tout ça ?
Pour une bonne intrigue au Mont saint Michel, tu peux lire ça :
Résumé :
Automne 2005.
Marion doit fuir Paris dans l’urgence. Il y va de sa vie. Des hommes de la DST la déposent au Mont-Saint-Michel, où l’accueille une communauté religieuse.
Très vite, Marion se sent espionnée…
Mars 1928.
Au Caire, des enfants disparaissent en pleine nuit, on retrouve leurs corps meurtris dans les nécropoles environnantes.
Une rumeur se propage : le monstre des Mille et Une Nuits, la terrible Goule, serait de retour.
Le détective Matheson n’y croit pas…
Deux intrigues sans rapport apparent, et pourtant liées de manière inextricable. Entre un Nom de la rose moderne et un Seven historique, un thriller envoûtant, avec un dénouement où vous vous trouverez impliqués malgré vous !
Résumé :
Automne 2005.
Marion doit fuir Paris dans l’urgence. Il y va de sa vie. Des hommes de la DST la déposent au Mont-Saint-Michel, où l’accueille une communauté religieuse.
Très vite, Marion se sent espionnée…
Mars 1928.
Au Caire, des enfants disparaissent en pleine nuit, on retrouve leurs corps meurtris dans les nécropoles environnantes.
Une rumeur se propage : le monstre des Mille et Une Nuits, la terrible Goule, serait de retour.
Le détective Matheson n’y croit pas…
Deux intrigues sans rapport apparent, et pourtant liées de manière inextricable. Entre un Nom de la rose moderne et un Seven historique, un thriller envoûtant, avec un dénouement où vous vous trouverez impliqués malgré vous !
Tu me connais, je l'ai suffisamment répété ici : les musiques envahissantes me font fuir. Or les docus ricains, c'est comme les films ricains : peuvent pas s'empêcher de nous saouler. Ce qui m'a fait aller à l'embouchure du Couesnon.
L’antithèse de ton truc. Une série allemande qui se passe à Venise : Commissaire Brunetti.
Un couple uni, elle, universitaire, deux enfants équilibrés, un garçon et une fille qui sortent de l’adolescence, une Venise de carte postale, peu de touristes, pas un gros bateau en vue. La famille vit dans une maison avec vue sur le grand canal. Psychologiquement très simple : il veut qu’on lui foute la paix. Les criminels de tous calibres sont donc des importuns et c’est pour cela qu’il les poursuit avec acharnement et ainsi retrouver sa tranquillité. Son chef est un incapable mais il sait depuis longtemps le contourner. Il peut compter sur un adjoint sergent carabinier assez futé (ce qui n’est pas courant là-bas) et la jeune secrétaire de son supérieur.
Le tout est tourné en décors naturels. Visite guidée de Venise et de sa lagune à chaque épisode.
Commissaire Brunetti — Wikipédia
J'ai lu deux ou trois des romans dont est tirée la série, c'était assez sympathique. La série n'est pas diffusée, ni en replay pour le moment. J'ai vu que ça existe sur YT mais en VO allemande. Hélas je ne suis pas germanophone