Sans aucun doute, mais d'un point de vue purement subjectif le classement reste valable dans le cadre d'une utilisation "simpliste", dans le cadre de ses propres besoins.
D'un point de vue objectif, Office est supérieur à iWork, mais avec toutes les lourdeurs que cela implique pour l'utilisateur qui n'est pas en entreprise, Pages apparaîtra plus simple (c'est mon cas) et se moquera d'un retour vers Word. Sans parler de Keynote qui est supérieur à Powerpoint, (qui conteste et pourquoi ?). Ni d'Excel (où je persévère et dont je pense qu'il a toujours été le meilleur soft de MS).
Il n'existe pas d'utilisation "simpliste". tu as deux cas de figure possible :
- soit les deux softs font ce que tu veux faire, et là, tu choisis au feeling (le plus bô, le moins cher, ou celui que tu "sens" le mieux, chacun a ses propres critères),
- soit l'un fait ce que tu veux et pas l'autre, et là, la question ne se pose même pas !
Pour le point de vue "objectif", non, Office n'est pas supérieur à iWorks, Office fait des choses qu'iWorks ne fait pas (et coûte un prix qu'iWorks ne coûte pas), mais ce que les deux font, dans la majorité des cas, iWorks le fait "mieux", donc, on en revient toujours à l'adéquation entre le besoin et la solution.
Quant à Excel, qui est, pour info, mon outil de travail principal et préféré (du moins en version 2004, parce que la 2008 …
), pour ce qui est de
"je pense qu'il a toujours été le meilleur soft de MS", nous sommes tout à fait d'accord (d'autant plus qu'il s'agit du seul soft "Mac" que Microsoft n'ait jamais sorti (il a été fait pour Mac, puis ensuite adapté pour Windows, contrairement à tous les autres softs de M$), mais je persiste à dire que pour celui dont le besoin peut être satisfait par les deux tableurs, Numbers reste la meilleure solution, car plus simple, plus "élégant", avec de meilleures possibilités graphiques, et surtout, moins cher (encore et toujours cette fameuse adéquation) !
En conclusion, je dirais que pour que deux logiciels soient réellement "concurrents", il faut avant tout, qu'ils aient les mêmes fonctions, dès lors qu'un des deux logiciels qu'on veut comparer en fait plus que l'autre, la comparaison perd tout son sens, car ils ne sont pas destinés à satisfaire les mêmes besoins.
Lorsque cette notion sera bien assimilée par l'ensemble des utilisateurs (principalement les décideurs des entreprises,), la productivité générale de l'informatique en entreprise se verra grandement améliorée. Le principe est qu'on évalue d'abord le besoin, et qu'ensuite, on met les solutions en face, alors que malheureusement, ces temps ci, la mode est plus à on achète tout (logiciel, matériel, généralement sur le conseil de gens dont le seul intérêt est de vendre le plus possible), on le met sur le bureau, et on voit seulement ensuite comment on peut se démerder avec