Salut
fousfous et
Pascal &
Gérard
ma stratégie c'est de sauvegarder l'ordinateur à un moment T - juste garder ce que j'ai envie / Je vais pas aller prendre un logiciel externe ultra buggé pour refaire entièrement mes sauvegardes.
Quelqu'un qui veut sauvegarder de manière disons
quodlibétique (un terme scolastique pour dire ici :
capricieuse 
) a tout intérêt à mon sens à choisir la méthode du
clone : image_miroir démarrable sur une partition de DDE, qu'on peut mettre-à-jour par des re-clonages
libres : quand on veut et comme on veut (suppression sur la destination des fichiers modifiés sur la source vs préservation de la version antérieure / possibilité d'exclure de la copie des pans entiers de documents : par exemple, des machines virtuelles preneuses d'espace-disque et dont la sauvegarde prend beaucoup de temps en cas de modification des fichiers).
L'immense intérêt d'un clone est d'être un Système externe
démarrable à volonté --> qu'il soit exactement à jour ou non, c'est essentiellement un OS
bootable à partir duquel on peut agir sur le volume du disque interne en cas de problème (soit en ligne de commande par le «
Terminal» du clone, soit graphiquement dès lors que l'image-disque du volume de l'OS du disque-interne monte sur le Bureau du clone, soit enfin carrément en pouvant rétro-cloner le clone sur le disque interne). Car le concept de 'clone', au sens strict, désigne une sauvegarde
démarrable, et pas une sauvegarde documentaire non-démarrable.
J'ai personnellement utilisé d'innombrables fois de manière
pratique (et pas simplement comme assurance
psychologique pour se 'rassurer' face à l'éventualité vague de plantages) les ressources fournies par le clonage (démarrage externe, rétro-clonage) et ça m'a donné une grande
désinvolture par rapport au Système en place sur mon disque interne, au point que je n'hésite pas à supprimer des fichiers-Système pour reproduire les pannes de plaignants des forums pour juger ce qui se passe

. Il faut dire, nonobstant, que je possède plus d'une dizaine de clones imageant* des Systèmes variés
bootables (de «
Snow Léopard» à «
Mavericks») et que je ne (re-)clone jamais sans avoir vérifié au préalable dans le détail l'intégrité du Système qui sert de source (je n'ai pas envie de recopier un OS possiblement en rade ou bourré d'erreurs logiques).
Après de nombreux essais de logiciels, mon choix s'est porté (ce qui n'a rien d'original) sur ☞
Carbon Copy Cloner☜ de
Bombich pour 4 raisons : la grande
maniabilité de sa GUI, sa capacité à cloner (vs rétro-cloner) la
Recovery HD en sus du volume d'
OSX, son étonnante
rapidité d'exécution et enfin le caractère
boote_toujours des clones de
Bombich que je n'ai jamais pris en défaut à ce jour. Quand on sait que «
Carbon Copy Cloner» n'a pas cessé d'être remis sur le métier et mis-à-jour depuis les belles heures de «
Tiger 10.4», on ne peut certes pas parler à son sujet de logiciel de Tierce_Partie '
bogué'...
[* Certains de mes clones étant les images démarrables de Systèmes dont les originaux n'existent plus, se trouve posée joliment la question de savoir s'il y a une distinction logique pertinente entre 'copie' et 'modèle', ou s'il ne s'agit que d'une simple affaire de support physique : disque interne vs disque externe? Sachant que les OS de la Pomme sont désormais livrés par téléchargement, càd. par copie, le fait qu'à un moment donné T tel Système se trouve écrit sur le disque interne du Mac ne lui assure donc qu'un statut de «copie_momentanée» et en aucune façon d'«original_artistique», et c'est simplement le fait qu'on a utilisé cette copie sur le disque interne après celle du clone d'un disque externe qui lui donne un privilège relatif d'actualité. Privilège discutable, d'ailleurs, car les problématiques récurrentes de 'nettoyage' et de 'clean install' auraient tendance à montrer que l'état primitif conserve le privilège de l'archétype sur l'évolutif - n'était que l'archétype invoqué n'est déjà qu'une copie et n'apparaît tel qu'en terme de plus grande 'pureté logique' du fonctionnement. 'Pureté logique' qui, si on y regarde bien, équivaut à l'absence d'utilisateur, lequel en introduisant données et préférences, 'corrompt' toujours la pureté de l'image primitive...
]