le coin du poete

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Hors concours :

LE PETIT ENDROIT

Vous qui venez ici dans une humble posture
De vos flancs alourdis décharger le fardeau
Veuillez quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l'urne un modeste cadeau
Épancher dans l'amphore un courant d'onde pure
Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l'auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

Alfred de Musset.
 
que me reproche t'on, meme d'un ton badin
une petite rime un vers , de petit mirliton ?
ou l'osée description de mes petits calins
aurait je fait un pas,vers la deraison.!

appeler les agents,harro sur le malin
ne laissons pas eclore le libre papillon
lui qui voudrait partir,comme libre marin
avec votre chaussure,ecrasez le cocon
 
al02 a dit:
Hors concours :

LE PETIT ENDROIT

Vous qui venez ici dans une humble posture
De vos flancs alourdis décharger le fardeau
Veuillez quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l'urne un modeste cadeau
Épancher dans l'amphore un courant d'onde pure
Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l'auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

Alfred de Musset.
comme tu l'a remarqué,ici c'est la pensée libre :D
mais tu diras a ton MUSSET, qu'il respecte les fins de rime definis :mad:
c'est le bordel sans ça :D
 
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Réactions: al02
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o gréce immortelle,de soleil enflammée
en vénérant le ciel,tes colonnes dressées
portent comme un défi de colosses aieux
la trace d'une vie en offrande aux dieux
 
aricosec a dit:
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o gréce immortelle,de soleil enflammée
en vénérant le ciel,tes colonnes dressées
portent comme un défi de colosses aieux
la trace d'une vie en offrande aux dieux
Mes aieux !
L'arico assomé,
par les chiottes classieux
du sus-nommé Musset,
en oublie l'ordre pieux
du ton lin respecter,
nous fait des rimes en -ieux,
nous fait des rimes en -é,
bref, joue les audacieux,
avec les règles par lui ennoncées.
 
vu la contribution que d'aucun y apporte
il n'est pas riche enfin,ce fil de prestige
j'ai decidé soudain,d'en ouvrir les portes
et ne pas se soucier, d'en etre homme lige
foin de respect en somme,pour le chemin donné
et nous irons ensemble,sus a la loi impie
les rimes et vers,sont pas moi trop aimés
pour ne pas reagir a cette indolie
 
Avant d'ôter le pantalon

Faites trois fois le tour du salon

Avec la cloche drelin drelin

Demain sonnera la saint-glinglin
 
:D nouvelle terminaison
-
ille
eau
-------
il l'a connu dans les rues de manille
elle la pu tin,lui qui etait puceau
il avait un probléme,et un peu peur des filles
mais aujourdh'ui,c'est le pire des maqu'reau

et du boul' mich jusqu'a la place bastille
on l'aperçoit a l'heure de l'apéro
jouer aux courses,ou il touche sa bille
c'est bien moins dur que d'aller au boulot
-
hé ! hé ! hé ! ,faudra pas m'accuser de faire des fautes :p
un chat est un chat, enfin ou une chatte
pas de sectarisme :mad:
 
Dansant un quadrille
et faisant le beau,
séduisant les filles
comm' un p'tit maq'reau,
dandy pacotille,
pâle et maigre sôt,
sentant la vanille,
bienheureux cabot....

Fantôme mondain qui jamais ne brille
hors les caves sombres où l'on joue......... Disco !
 
PonkHead a dit:
Merde !
Un vrai poète...
-
mouais ! :( :mouais: , mais ça n'empeche que la petite a eu mal ! :eek:
-
je connais la meme histoire avec un canari !
_
le type qui se la coince dans un etau ,et qui la lime en disant !
j'aurai ton ... , j'aurai ton ...
 
j'ai connu de sages filles,qui n'aimaient pas les oiseaux
elles affutaient leurs couteaux,et redressait une bille
une bille de bois de chene,ou etait ce de l'ormeau
elles y posaient le cou frele, de jeunes oiseaux des iles
quand le sang giclait des tetes,de ces pauvres passereaux
elles hurlaient les possédées,et entamaient un quadrille
sur la lande de fouesnant,comme sorcieres en sabots
leurs sabbats etaient etranges,lancinant comme une vrille
et s'enfonçaient dans la tete, jusqu'a atteindre les os
depuis cet etrange été, je ne frequente plus les filles
et je vais aux champignons ,avec mon ami jojo
 
aricosec a dit:
j'ai connu de sages filles,qui n'aimaient pas les oiseaux
elles affutaient leurs couteaux,et redressait une bille
une bille de bois de chene,ou etait ce de l'ormeau
elles y posaient le cou frele, de jeunes oiseaux des iles
quand le sang giclait des tetes,de ces pauvres passereaux
elles hurlaient les possédées,et entamaient un quadrille
sur la lande de fouesnant,comme sorcieres en sabots
leurs sabbats etaient etranges,lancinant comme une vrille
et s'enfonçaient dans la tete, jusqu'a atteindre les os
depuis cet etrange été, je ne frequente plus les filles
et je vais aux champignons ,avec mon ami jojo
Bigre ! Le bougre !

Entre la lande de Fouesnant et le petit coin adorable de Musset,
aucune hésitation...

:afraid: :afraid: :afraid:

Pire qu'une aire d'autoroute !
Toujours occupé !
Quelqu'un aurait un remède contre la stipationcon ?
 
Sur mon petit îlot,
L'hameçon de ma canne, en cédille,
Un appat au bout, flottait sur l'eau.
Pret à déguerpire, grace à mes espadrilles,

Posées sur le sable chaud.
Repensant à mon frigo,
Se dilatait ma pupille.

Ce reve, interrompu, par mon gros
Televiseur,qui criait:"vive notre hero",
Ne m'a pas laissé tranquille.

:rateau:
 
ce matin,il fait beau,je suis avec une fille
assis au bord de l'eau,au ciel le soleil brille
j'y caresse le dos,et la belle fretille
je decouvre sa peau,et ses beaux yeux scintillent
ma gaule est déja prete,elle forme le cerceau
si plus rien ne l'arrete,c'est la bete a deux dos
qui fera c'est tout bete, prendre le maquereau
qui a perdu la tete,comme un pauvre puceau
:D
 
Bolchevik a dit:
je me disais bien que le vieux de Drancy était dans les parages... :D :love: :D
-
qui qu'c'est , qui t'ai toi ? , je cherche et ne trouve pas ! :eek:
-
envoi moi un signe ,seigneur ! :love:
 
NA !

mes matins au bord de mer,ou j'aime me promener
pour ecouter le ressac,de vagues sur la jetée
me transporte trés souvent,vers de lointaines contrés
qui m'amenent dans le vent,les odeurs de la marée
j'y est fait de beaux voyages,dans des pays de l'orient
et rencontré quelques sages , je venais d'avoir vingt ans
revenu de ces contrés,un peu trop ensoleillées
non je n'ai pas oublié,les acquis qu'eles m'ont donné



 
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