Le jeu de l'avatar du dessus

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Sphincter fistulé d'un personnage de SouthPark :p
 
American pâtisserie.
 
va nous sortir toute la page Grinch l'Anus Solaire rose opiacé des Dunkin 's toys...
 

REQUIN, subst. masc.

A. − 1. ICHTYOL. Grand poisson de mer, vorace et redoutable, appartenant à l'ordre des squales, au corps allongé, au museau pointu, dont la bouche, largement fendue en arc, est située sur la face ventrale et comporte des mâchoires puissantes. Hameçon à pêcher le requin; cuir de requin; huile de foie de requin; potage aux ailerons de requin. Puis il la lança [une perruche morte] à la mer, et le requin qui nous suivait la croqua comme une ablette (LOTI, Mon frère Yves, 1883, p. 82). Le requin est presque aveugle et ne voit guère qu'en se retournant sur le dos. Est guidé par un petit poisson qui lui fait comprendre (mais comment?) ce qu'il peut manger et ce qu'il fera mieux de ne pas toucher (GREEN, Journal, 1950, p. 340).
− P. ext. Squale de grande taille.
(DS ROB., Lar. Lang. fr.)
2. P. anal. Personne cupide et impitoyable en affaires. Les requins de la finance. Madame de L. (...) avait légué toute sa fortune, nommément, aux victimes de son mari, un des plus avides requins de la grande banlieue, un Topaze, directeur d'une banque de prêts et d'hypothèques (CENDRARS, Homme foudr., 1945, p. 355).
B. − P. anal. (de forme). Yacht de régate habitable, de 9 m 60, très rapide mais peu logeable et échouant mal (d'apr. MERRIEN 1958).
REM. 1.
Requin-, élém. de compos. entrant dans la constr. de subst. masc. pour désigner des squales de grande taille. Requin-marteau (v. requin II A 4 b), requin-taureau, requin-tigre. Dans les Poissons nectoniques des eaux profondes se rangent les grands squales. Le Requin-Baleine (...), le Pèlerin (...), le Requin bleu (...), le Requin-Renard (...), le Requin-Taupe (Zool., t. 4, 1974, p. 1264 (Encyclop. de la Pléiade)).
2.
Requinisme,
subst. masc., rare. [Corresp. à supra A 2] Fait de se montrer cupide. Celui qui, lorsqu'il a trouvé quelque chose de bon à prendre, referme sa patte dessus (...) comme tout le monde, mais la referme avec élégance, la referme sans que cela se voie. C'est ce qu'on peut appeler le requinisme inapparent, le requinisme mondain (DUHAMEL, Désert Bièvres, 1937, p. 244).
Prononc. et Orth.: [ʀəkε̃]. Homon. requint. Att. ds Ac. dep. 1740. Étymol. et Hist. 1. 1539 zool. (J. et R. PARMENTIER ds DELB. Notes mss); 2. 1790 fig. (Aux voleurs, aux voleurs, numéro 5, 4 ds QUEM. DDL t. 19). Orig. controversée. Peut-être de quin, forme norm. de chien (cf. chien de mer « requin », 1re moit. XIIIe s., v. chien étymol. B 1, encore att. en Normandie, v. FEW t. 2, 1, p. 194a); FEW t. 2, 1, p. 197a, note 16 doutait de cette étymol. en raison du préf. qui présente aussi la forme ra- (Marseille ds MISTRAL; Wallonie d'apr. SAIN. Sources t. 3, p. 418); BL.-W. propose d'interpréter le préf. comme un intensif. En tout cas le mot est souvent associé à chien de mer d'où la forme rechien (1614, YVES D'EVREUX, p. 132 ds FRIED. 1960, p. 544) et dès 1578 requien (LÉRY, pp. 32-33, ibid.), puis requiem 1695 (LE MAIRE, p. 116, ibid.) par l'effet d'un rapprochement avec requiem* d'où l'étymol. de Huet ds MÉNAGE 1750: « quand il a saisi un homme... il ne reste plus qu'à faire chanter le Requiem, pour le repos de l'âme de cet homme-là ». Pour d'autres étymol. peu convaincantes, v. BARBIER ds R. Lang. rom. t. 56 1913, pp. 230-231, L. SPITZER ds Z. rom. Philol. t. 42 1922, pp. 342-343, SAIN. t. 2, p. 349, GUIR. Lex. fr. Étymol. obsc. 1982. Fréq. abs. littér.: 196.
 
edit : merde j'avais pas vu, y'a déjà marteau enfait


(n. m.)


Outil de fer qui a un manche, ordinairement de bois, et qui est propre à battre, forger, cogner, enfoncer. Marteau de serrurier, de menuisier, de charpentier. Marteau de forgeron, d'orfèvre, de chaudronnier. Enfoncer des clous avec un marteau. Donner un coup de marteau. Battre avec le marteau, au marteau, à grands coups de marteau. Marteau de commissaire-priseur, Petit marteau dont se sert le commissaire-priseur pour en frapper un coup sur la table et indiquer ainsi que les enchères sur tel ou tel objet sont closes.

Il se dit, particulièrement dans l'Administration forestière, d'un Marteau de fer dont le gros bout porte une marque en relief, que l'on imprime sur des arbres en les frappant. Marquer des arbres avec le marteau.

Fig., Être entre l'enclume et le marteau. Voyez ENCLUME.

Fig. et fam., Il faut être enclume ou marteau. Voyez ENCLUME.

Marteau d'horloge, Marteau qui, dans une horloge, frappe sur le timbre pour annoncer les heures.

Marteau de porte, Sorte d'anneau ou de battant de fer qui est attaché au milieu d'une porte à l'extérieur et avec lequel on frappe pour se faire ouvrir.

Fig. et fam., Avoir un coup de marteau. Voyez COUP.

Fig. et fam., Perruque à trois marteaux, Perruque qui avait une longue boucle entre deux noeuds.

MARTEAU, en termes de Facteur d'instruments, se dit des Petites tringles de bois que l'on fait mouvoir en touchant le clavier d'un piano et dont une extrémité, garnie de peau, sert à frapper les cordes de l'instrument.

En termes d'Anatomie, il désigne Un des quatre osselets de l'oreille.

MARTEAU-PILON, en termes d'Arts, désigne un Gros marteau de forge actionné par un mécanisme mû par la vapeur, l'électricité, etc.
 
DEPUIS LE TEMPS QUE CE SOURIRE ME NARGUAIT, IL FALLAIT BIEN QUE JE LE DÉFINISSE.

;)

EDIT : GRILLÉ PAR UNE VOITURE NUMÉRIQUE !!!
 
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