Le jeu du dernier mot

Marche, Hans. Hurle ! Lape ! L'as du vil, à genoux dans sa tenue de cuir, aboyait ses ordres sadiques au pauvre teuton qui ne cessait de se demander comment il avait bien pu arriver là.
 
Ces deusses deux, Man' : des cons ! Mentent. Y lavaient ? Bee empua à river l'axe le sol du garage et c'est toujours aussi dégueulasse...
 
Gars, rat, j'essaie tout. Joues roses ? Si des gueux lacèrent mes barbelés, je tire dessus, que leur tête soit rose, noire ou jaune. Je suis pas raciste, j'aime personne.
 
C'est que, de vent, l'amer vit nœud zéro assis encalminé

Jouet de cet oeil d’eau morne, je n’y puis prendre,
ô canot immobile ! oh ! bras trop courts ! ni l’une
ni l’autre fleur : ni la jaune qui m’importune,
là ; ni la bleue, amie à l’eau couleur de cendre.
 
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Réactions: Bigdidou
La "fumelle" mate. «'tain ! Égée, t'es ample...». «Hein ? Ne formule pas ça vulgairement : c'est la prestance de l'Hégémon..»
 
Promenade bretonne au petit bonheur

Les geais. Monts. Golfe. Fi' ! Est née fleur... Pa' ! Dolmen, tombes : les nuits, il y a des fées ?
 
--> Fées d’hiver est un lieu de création pluri-disciplinaires qui accueille des artistes en résidence de création, d’expérimentation.
 
Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.

Ris, Dan ! Le départ te ment d'eux : laissons naître le souvenir