Il s'exprime mal ou ne connait que partiellement le sujet. Mais il n'a pas TOTALEMENT tort.
1- En droit des contrats, on doit pouvoir connaitre les restrictions avant achat et non durant l'installation. Apple a toujours eu gain de cause cependant, pour le moment.
2- Il y a un problème au niveau du contrat en lui même de mac OS qui ne serai pas valable en Europe. Apple aura gain de cause ... Mais quoique ... parfois il y a des surprises.
3- Les droits d'auteurs ne sont pas illimité dans le temps ....
En gros un revirement de jurisprudence ... et ....
Marrant quand il s'agit de la loi française pour les vices cachés vous êtes bien content par contre quand il s'agit de remettre en cause APPLE, tout de suite il y a moins de monde.
J'arrête le H.S.
et je re-propose unbutu
1. "Important : l'utilisation de ce produit est soumise à l'acceptation de ou des contrats de licence logicielle inclus dans ce paquet. www.apple.com"
VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT CE CONTRAT DE LICENCE DE LOGICIEL (« LICENCE ») AVANT D’UTILISER LE LOGICIEL APPLE. EN UTILISANT CE LOGICIEL, VOUS RECONNAISSEZ ÊTRE LIÉ PAR LES TERMES DE CETTE LICENCE, SAUF SI VOUS RESTITUEZ LE LOGICIEL APPLE CONFORMÉMENT À LA POLITIQUE D’APPLE RÉGISSANT LES RETOURS. SI VOUS ACCÉDEZ AU LOGICIEL APPLE PAR MOYEN ÉLECTRONIQUE, APPUYEZ SUR LE BOUTON « ACCEPTER » POUR ACCEPTER D’ÊTRE LIÉ PAR LES TERMES DE CETTE LICENCE. SI VOUS ÊTES EN DÉSACCORD AVEC LES TERMES DE CETTE LICENCE, N’UTILISEZ PAS LE LOGICIEL APPLE ET CLIQUEZ SUR « REFUSER ». SI VOUS ÊTES EN DÉSACCORD AVEC LES TERMES DE LA LICENCE, VEUILLEZ RESTITUER LE LOGICIEL APPLE, DURANT LA PÉRIODE IMPARTIE, À L’APPLE STORE OU AU DISTRIBUTEUR AGRÉÉ, POUR EN OBTENIR LE REMBOURSEMENT, CONFORMÉMENT À LA POLITIQUE APPLE DE GESTION DES RETOURS DISPONIBLE À L’ADRESSE
http://www.apple.com/legal/sales_policies. POUR POUVOIR BÉNÉFICIER D’UN REMBOURSEMENT POUR UN LOGICIEL APPLE INTÉGRÉ À UN MATÉRIEL ACHETÉ, VOUS DEVEZ RESTITUER L’EMBALLAGE DU MATÉRIEL/LOGICIEL.
2. Il faut savoir, "il y a" ou "il serait" ? La confusion des modes traduit la confusion de l'argumentation. Le contrat de licence de Mac OS X n'est pas différent de n'importe quel contrat de licence logicielle, même de la licence GPL. C'est une suite d'obligations contractuelles qui conditionne l'utilisation du produit par l'utilisateur final et même sa distribution concernant la GPL.
Le coup du fumeux "droit européen" ne repose que sur les mêmes trolls que précédemment. Un "il serait" devient rapidement une certitude sans qu'aucune référence juridique sérieuse (ou même fantaisiste) ne vienne l'appuyer. Les élucubrations de commerciaux appointés par un "cloner" sont reprisent comme si elles étaient les tables de la loi. La tendance en Europe est au renforcement du droit d'auteur. Et encore une fois, Apple n'est pas seule concernée, essayez de lire la licence d'un Live-CD d'Ubuntu avant de l'introduire dans la machine ou de n'importe quel logiciel GPL avant de le télécharger.
3. Le droit patrimonial. En ce qui concerne le droit moral, il est perpétuel et inaliénable. De toute manière, les droits d'Apple sur Mac OS X ne sont pas près d'expirer.
Comme tout auteur d'une oeuvre, Apple est libre de décider dans quel cadre elle doit être diffusée ou utilisée. Vous n'êtes pas plus propriétaires de Mac OS X que d'un enregistrement de Pierre Boulez ou du dernier tube de Coldplay.
Il n'y a aucun monopole. Les solutions alternatives en matière de système d'exploitation existent. Windows ou une des nombreuses distribution Linux, voire les BSD. La seule motivation du "Hackintosh" est le détournement de l'oeuvre d'Apple en matière d'ergonomie et de technologies logicielles.
Un contrat non valide annule la transaction. Il ne transfert aucune propriété et ne confère aucun droit supplémentaire.
L'argument idéologique "anti-propriétaire" est d'autant plus hypocrite qu'il existe des solutions libres et ouvertes. Vous êtes pour le développement du logiciel libre : soutenez-les en les utilisant et en les faisant connaître plutôt que de faire l'apologie de la crapulerie.
Je me fous des intérêts d'Apple, je ne suis pas avocat appointé par Cupertino, mais toute cette hypocrisie finit par me révulser.
Assumez cet acte pour ce qu'ils est : une malversation.