Nous devons cette expression au Maréchal Espagnol San d'Ancre
Lors de la dernière conquête de l'Espagne
par les Arabes, à la suite de la bataille de Xérès en 711,
les Espagnols qui n'avaient pas voulu se soumettre à là
domination musulmane avaient trouvé un refuge derrière
les Pyrénées asturiques ; c'est de cette bande étroite, entre
les montagnes et la mer, que ne tarderons pas à sortir les Chrétiens
pour commencer cette croisade de huit siècles qui nous montrera,
au XVem siècle, les Arabes refoulés au sud-est derrière la Sierra Morena,
comme les Chrétiens au VIII siècle l'avaient été au nord-Ouest, derrière des Asturies.
Dès le XIVe siècle, fantassins de l'armée ottomane recrutés parmis les "capitulari",
"esclaves de la grande porte", souvent de jeunes chrétiens des Balkans,
pour former une troupe d'élite sous le contrôle direct du Sultan.
Ils accédèrent aux plus hautes fonctions.
À partir du XVIIe siècle, cette troupe devenue caste influente se concentre
sur la protection de ses intérêts.
Ces troupes pratiquant la sodomie comme moyen d'humiliation pour leurs prisonniers
afin que leurs langues se déliassent rapidement.
La sodomie est l'action d'introduire un pénis ou un objet dans l'anus
de son partenaire. Elle peut se pratiquer chez l'homme comme la femme.
La personne pénétrée est appelée "passive", et celle qui pénètre est appelée "active".
Lors des premières sodomies la personne "passive" ressent souvent l'envie d'aller
aux toilettes une fois que son partenaire s?est retiré ou même de déféquer
lors de la pénétration. Phénomène normal car votre ampoule rectale est
stimulée de la même manière que lorsque qu'elle est pleine de matière fécale.
Votre sphincter, qui est un muscle entourant l'anus dont
il assure l'ouverture et la fermeture réagit donc de la même manière que si
vous aviez envie d'aller aux toilettes. Donc avant toute pénétration anale,
allez à la selle pour éliminer. De plus les va-et-vient du pénis ou de
l'objet (gode, bouteille, etc.) font entrer de l'air dans votre rectum
ce qui a pour effet de vous donner des gazes et faire assez mal, ce qui est normal et naturel.
En effet, il n'existait point de Gel lubrifiant BASSKARMA à cette époque,
et notant au passage que la sélection de ses troupes d'élites ne se faisait point
sur la propension à être violant mais sur la taille de leur KARMA , ce que les historiens
ont écarté car tout à chacun sait que nous sommes héritiers d'un passif judeo-crétin
qui a beaucoup influencé le miroir de l'histoire.
" Capturé tout jeune lors d'une bataille, San d'Ancre
passa près de vingt ans en captivité dans l'Empire ottoman
du XVe siècle. À son retour en terre chrétienne, devenu dominicain,
il s'inspire de son expérience pour rédiger, dans son vieil âge, son
Traité sur les m½urs, les coutumes et la perfidie des Turcs.
À la fois réquisitoire théologique implacable contre la culture turque,
prophétie apocalyptique, récit de captivité et précis ethnographique
unique pour cette époque, le Traité fait alterner l'effroi, l'admiration et le
désespoir.
San d'Ancre est convaincu que les Turcs entraîneront
avec eux tout l'Occident dans la géhenne. Non pas tant parce qu'ils
sont de terribles combattants, mais surtout parce qu'ils détiennent
un diabolique pouvoir de fascination. Ils sont en apparence le
plus subtil, le plus sobre, le mieux policé et le plus vertueux
des peuples.
Devant la beauté du diable, nul ne peut résister.
Et San d'Ancre parle d'expériences douloureuses ........
et confesse à mots couverts .........
Il en demeure une peur immense, la Peur du Turc, millénaire désormais,
et que l'on s'accorde encore fort peu à raisonner "
" Il s'agit d'un pamphlet d'une rare violence et très étrange
contre la "secte" des Turcs, les suppôts de l'Antéchrist.
À la fois somme théologique et récit de captivité,
c'est surtout un document d'une rare précision sur les Turcs
et les pays qu'ils occupaient.
L'½uvre relève pour une grande part de l'ethnographie,
rédigée par un témoin qui ne peut se défendre d'un ambigu sentiment
d'admiration pour ceux qu'il considère pourtant comme d'ignobles pourvoyeurs
de la fin des temps. (Syndrome de Stockholme).
Et la plus grande force de fascination du Traité réside dans cette ambiguïté. "
Les Trucs vexés (nourri ,blanchi pendant 20 ans merde) ayant lu le dit San d'Ancre
se foutèrent de sa gueule. D'ou l'expression se faire un San d'Ancre ou avoir peur des Turcs.
Le sens et devenu commun lors d'une situation de stress avoir peur de l'inconnu. Et l'on aura
compris les contemporains essayent toujours de rapprocher ce
qu'ils entendent à des mots connus et c'est ainsi
devenu quelque siècle plus tard "se faire un sang d'Encre".
:zen: bon ok j'ai vu la porte
même pas
