papa dessine moi un mouton
- Créateur du sujet aricosec
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guytantakul a dit:C'était le soir, non ? Je suis jamais là le soir... Désolé, famille tout ça...
non de non bande de sacripans en pleine journée :mouais: :mouais:
tatouille a dit:non de non bande de sacripans en pleine journée :mouais: :mouais:
Ah, ben mea culpa, alors...
Sais plus comment ça s'est passé, mais je devais avoir du taf ou quelqu'occupation, sinon j'aurais dit "et alors ?" entre chaque post et "c'est tout ? " à la fin
Bassman a dit:Mea culquandmeme, j'ai bien vu que tu nous racontais une histoire mais j'ai pas reagi expres
Ho le salopio poilu je m'en doutais
Bon c'est pas tout au taf elle est ou cette nouvelle expression ?
Ah là là , les femmes saoules à table, quelle plaie !
(enfin, sûrement pas toutes, mais dans mon cas...)
(enfin, sûrement pas toutes, mais dans mon cas...)
Ne rêve pas sur les délais, Bebert : je suis encore par là. Alors, j'ai pas réfléchi trop (ça vous éviter une expression en occitan). Allons-y donc pour (j'espère qu'on l'a pas déjà faite, je suis un peu tête en l'air ces temps-ci) :bebert a dit:Et tu corrigeras les copies après tes vacances ? Cool !
"Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse"
Il me semble qu'il y a de quoi débloquer !
Correction (même pour bebert, demain tard dans la soirée, si vous avez des remarques et contestations diverses à faire, ne vous gênez pas)
A vos ancriers :zen:
Expression campagnarde qui a vu le jour au Moyen-Age, en plein coeur de l'Auvergne.Luc G a dit:
Une donzelle belle et idiote (synonyme ?
), avait pris comme habitude de se rendre à la rivière afin d'y faire sa toilette. Bien entendu, les paysans du coin eurent vite fait de la repérer et de l'espionner. Un jour, elle s'en rendit compte et, vexée, décida de fuir cette contrée sauvage.C'est mon explication, je ne vois que ça
Okay !
Je connais bien cette histoire !
Mais de l'expliquer clairement risque d'être un tantinet coton...
Allez, je me lance :
Toute cette saga verbale vient d'un Alsacien dont l'histoire n'a pas retenu le nom, qui lors de l'affrontement de 1870 avec l'Allemagne (lequel dura six mois) beuglait à qui mieux-mieux cette ritournelle enfantine et patriote :
T'emballe pas, prusse salaud, car enfin, c'est l'Alsace !
Il fut bien sur passé par les armes rapidement, mais comme c'était un homme assez populaire (malgré son parlé vindicatif) en temps de guerre, son leit-motiv fut reprit par ses concitoyens à sa mémoire.
Repris également dans des comptines, jeux de marelle... puis chansons à boire.. voire même dans des jurons.
De proche en proche, le bilinguisme aidant (l'Alsace a changé cinq fois de nationalité depuis lors), cette phrase a pris la forme que nous lui connaissons aujourd'hui : "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse", ce qui signifie que rien n'est éternel. Si le sens n'a plus grand-chose à voir avec celui de ses origine, il nous est forcé de convenir qu'un lien (ténu) de parenté subsiste encore.
Voilà mon explication historique. N'allez surtout pas croire que je n'aime pas l'Allemagne (même si j'ai des aigreurs d'estomac lorsque je repense à mes cours de langues au collège). J'aime ce pays et je m'y rends tous les sept ans (quand c'est possible) pour la Dokumenta (grande expo d'art moderne à Kassel, la ville des cygnes).
Ouf, laborieux, mais j'y suis arrivé
Je connais bien cette histoire !
Mais de l'expliquer clairement risque d'être un tantinet coton...
Allez, je me lance :
Toute cette saga verbale vient d'un Alsacien dont l'histoire n'a pas retenu le nom, qui lors de l'affrontement de 1870 avec l'Allemagne (lequel dura six mois) beuglait à qui mieux-mieux cette ritournelle enfantine et patriote :
T'emballe pas, prusse salaud, car enfin, c'est l'Alsace !
Il fut bien sur passé par les armes rapidement, mais comme c'était un homme assez populaire (malgré son parlé vindicatif) en temps de guerre, son leit-motiv fut reprit par ses concitoyens à sa mémoire.
Repris également dans des comptines, jeux de marelle... puis chansons à boire.. voire même dans des jurons.
De proche en proche, le bilinguisme aidant (l'Alsace a changé cinq fois de nationalité depuis lors), cette phrase a pris la forme que nous lui connaissons aujourd'hui : "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse", ce qui signifie que rien n'est éternel. Si le sens n'a plus grand-chose à voir avec celui de ses origine, il nous est forcé de convenir qu'un lien (ténu) de parenté subsiste encore.
Voilà mon explication historique. N'allez surtout pas croire que je n'aime pas l'Allemagne (même si j'ai des aigreurs d'estomac lorsque je repense à mes cours de langues au collège). J'aime ce pays et je m'y rends tous les sept ans (quand c'est possible) pour la Dokumenta (grande expo d'art moderne à Kassel, la ville des cygnes).
Ouf, laborieux, mais j'y suis arrivé
ne vous laissez pas endormir par GUYTANTAKUL,l'est menteur comme un deputé en mal d'election
non ma version est plus plausible:siffle:
.
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse"
.
que celui qui a quelque chose a dire le dise,ou se taise a jamais
cette phrase pompeuse dite,le curé marieur balança la sauce benite
sur les deux mouflets endimanchés,le guignol qui se mariait avait
une banane radieuse,depuis le temps qu'il attendait pour depuceler la friponne,
ça commençait a bien faire,ce soir son assaut serait vainqueur,jeanne lakruchen
de vielle famille prussienne ,avec ses mamelles bien fournies lui promettait du plaisir
,ses cuissots bien dodus lui ferait un bon cache col,ce soir ce serait gala.
james paleau,( c'etait le nom du futur cornard) sitot sorti de l'eglise, sauta
(non ! non ! pas encore )dans sa voiture,il eut d'ailleurs du mal a se glisser
sous le volant,les nerfs a vif,des phantasmes plein la tete,il voyait a peine
la route,
"n'avait il pas oublié son bouquin du kamasoutra ?,avait il ses pastilles
de competitions?,et son pot de vaseline".
ayant fait le point,rassuré,il se calma et conduisit peinard.
jeanne lakuchen,assise a l'arriere,se remmemora les consignes de bertha
sa soeur ainée.
n'oublie pas que ton mari,dés le premier jour voudra voir tes dents,si
il juge qu'il y a trop d'aspéritées,il te les fera limer,les hommes aiment
bien les dents alignés,ce sont des esthétes,tu sera obligé de te prosterner
devant lui,il te demandera de le deshabiller,pour ne pas salir ses habits,
il se peu que dans l'affolement du mariage,il est oublié de mettre son slip
ne t"en offusque pas,tu verras un miracle,
au bout de quelques années,il disparaitra,et tu le regrettera"
jeanne ainsi mis au parfum,etait pret a affonter le grand mechant loup
oubliant la prediction d'une de ses amis
"lakruchen oublie paleau,casse toi"
.
bien sur cette phase est tombée dans le langage commun,comme vous le savez
:zen:
non ma version est plus plausible:siffle:
.
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse"
.
que celui qui a quelque chose a dire le dise,ou se taise a jamais
cette phrase pompeuse dite,le curé marieur balança la sauce benite
sur les deux mouflets endimanchés,le guignol qui se mariait avait
une banane radieuse,depuis le temps qu'il attendait pour depuceler la friponne,
ça commençait a bien faire,ce soir son assaut serait vainqueur,jeanne lakruchen
de vielle famille prussienne ,avec ses mamelles bien fournies lui promettait du plaisir
,ses cuissots bien dodus lui ferait un bon cache col,ce soir ce serait gala.
james paleau,( c'etait le nom du futur cornard) sitot sorti de l'eglise, sauta
(non ! non ! pas encore )dans sa voiture,il eut d'ailleurs du mal a se glisser
sous le volant,les nerfs a vif,des phantasmes plein la tete,il voyait a peine
la route,
"n'avait il pas oublié son bouquin du kamasoutra ?,avait il ses pastilles
de competitions?,et son pot de vaseline".
ayant fait le point,rassuré,il se calma et conduisit peinard.
jeanne lakuchen,assise a l'arriere,se remmemora les consignes de bertha
sa soeur ainée.
n'oublie pas que ton mari,dés le premier jour voudra voir tes dents,si
il juge qu'il y a trop d'aspéritées,il te les fera limer,les hommes aiment
bien les dents alignés,ce sont des esthétes,tu sera obligé de te prosterner
devant lui,il te demandera de le deshabiller,pour ne pas salir ses habits,
il se peu que dans l'affolement du mariage,il est oublié de mettre son slip
ne t"en offusque pas,tu verras un miracle,
au bout de quelques années,il disparaitra,et tu le regrettera"
jeanne ainsi mis au parfum,etait pret a affonter le grand mechant loup
oubliant la prediction d'une de ses amis
"lakruchen oublie paleau,casse toi"
.
bien sur cette phase est tombée dans le langage commun,comme vous le savez
:zen:
guytantakul a dit:
d'ou l'expression bien connu outre-Rhin :
dich eingepackten nicht, Frankreich, denn schließlich, es ist Elsaß!
Bonjour.
Les explications précédentes sont proches de la vérité.
Mais proches seulement.
Il s'agit bien d'une origine alsacienne.
Autrefois près de Sélestat deux apiculteurs se disputaient
le meilleur emplacement pour installer leurs abeilles chéries.
Un jour ils en vinrent presqu'aux mains et l'un d'eux, le Seppela,
lança dans l' Ill une ruche de son adversaire.
Il reçut une tonitruante bordée d'injures, en français, mais
avec un copieux accent alsaco.
On retint surtout cette invective :
t' envoie la ruche à l'eau, galopin, ça m'agace !
(certains disent : ça la casse)
C'est la vérité vraie .
Les explications précédentes sont proches de la vérité.
Mais proches seulement.
Il s'agit bien d'une origine alsacienne.
Autrefois près de Sélestat deux apiculteurs se disputaient
le meilleur emplacement pour installer leurs abeilles chéries.
Un jour ils en vinrent presqu'aux mains et l'un d'eux, le Seppela,
lança dans l' Ill une ruche de son adversaire.
Il reçut une tonitruante bordée d'injures, en français, mais
avec un copieux accent alsaco.
On retint surtout cette invective :
t' envoie la ruche à l'eau, galopin, ça m'agace !
(certains disent : ça la casse)
C'est la vérité vraie .
Bon, je vois qu'on est parti sur de bonnes bases, je m'en vais me jeter un cruchon et me sustenter un peu après une rude dernière journée de boulot. À tout à l'heure et n'hésitez pas à pondre aux heures des repas : c'est bon pour les lignes.
Corrige déjà les fautes aprés on jouera...aricosec a dit:un petit jeu
.
je donne une expression courante,a vous de donner votre explication,pas la version
du dico,mais une vision personnelle ou une maniere de resoudre un probleme,
si possible amusante ou irrationnelle.
.
exemple :
"chercher une aiguille dans une botte de foin"
quel explication en donner vous.
.
le lendemain verra le jugement d'un arbitre impartial :heu:
la version retenue designera le dauphin du jeu
.
.
.
si ça coule,tant pis
sonnyboy a dit:
Les fautes du Arico lui sont consubstantielles, sans elles, ce ne serait plus le Arico. C'est comme les rosiers sans épines, leurs fleurs sont-elles encore des roses ?
PS. Ceci dit, on fait tous des fautes, souvent moins que le Arico, presque toujours moins que le Mackie
mais on en fait, même Sonny quand il fait des remarques au Arico. - Statut
