A travers la multiplicité des sources consultables de l'information disponible, internet a modifié le rapport du "sujet des médias" aux "médias" dits "nationaux" qu'il permet de mieux relativiser..
Dans ce sens, internet a fait voler en éclats les précédents monopoles politiques des canaux et du traitement univoque de "l'info" par tous les nationalismes étatiques aussi dissimulés que centralisateurs, habitués à trier et à hiérarchiser les évènements aux grès des seuls intérêts politiques de leurs régimes respectifs..
Certains états l'ont bien compris et tentent d'enfermer au maximum la "capacité de s'informer" de leurs ressortissants dans des systèmes de"bouquets de chaînes" idéologiques incontournables, notamment sur les téléphones mobiles..
Dans ce cas, derrière la multiplicité apparente des programmes émis par ces fameux "bouquets de chaînes", se cache en réalité la même pensée idéologico-nationaliste unique, déclinée en une quantité de programmes et émissions distribué(e)s sur une pluralité (apparente) de chaînes, qui ne sont en fait que leurs sous-traitantes et enseignes à devantures multiples, vendant une identique marchandise, livrée aux divers "segmentations marketing" d'une clientèle toujours aussi captive..
Pour ceux qui parviennent à dépasser le stade de l'endormissement rituel devant leur(s) "télé(s)", internet a ouvert des fenêtres informatives beaucoup plus larges, contribuant ainsi considérablement à "l'éducation au discernement" des esprits aptes, qui en sont rendus plus capables..
Un c'est deux.
Trois c'est cinq.
Huit c'est quatre.
Dix c'est trois.
Comment cela est possible ?
