Le Francophone à l'accent traînant de la vidéo de
YouTube n'a oublié qu'un
détail pourtant
crucial : c'est que les dossiers protégés en
Lecture/Écriture sont susceptibles de
grandir en taille. La méthode de l'
Image-Disque de Dossier, génératrice d'un
.dmg, ne permet la création que d'une image-disque de
taille strictement équivalente d'entrée à celle du dossier concerné, et donc
insusceptible d'augmentation si l'on fait jouer la faculté pré-définie d'
écriture.
Il s'agit donc, comme on dit, d'une
contradiction in adjecto.
La méthode pertinente n'est donc pas celle-là [désolé si
macomaniac fait encore la preuve ici de son esprit d'
alambiquage 
], mais au contraire celle qui passe par la création d'une
image de faible densité, dite
SPARSEIMAGE, dont la caractéristique essentielle consiste dans le
différentiel entre la
taille potentielle et la
taille actuelle. La
taille potentielle désigne la
capacité limite qui est choisie à l'origine pour un fichier
.sparseimage (on peut sans aucun inconvénient la choisir extrêmement élevée, genre : 100 GO!) ; la
taille actuelle est le
poids par défaut de l'image-vide, qui est d'environ
3% de la
taille potentielle (300 MO pour 100 GO)
+ le seul
poids actuel des fichiers enregistrés sur le
disque-image. Exemple : j'ai fait 'écrire' un film de 1,45 MO sur mon disque-image : il pèse donc 1,45 GO + 300 MO = 1,75 GO pour 100 GO de taille potentielle dont la capacité inemployée
ne pèse rien ; j'ai fait 'écrire' une série de films qui équivalent à 45 GO. Mon disque-image
.sparseimage pèse actuellement 45 GO + 300 MO = 45,3 GO.
Ce qui signifie : la
taille potentielle ne pèse rien par elle-même, excepté les 3% de sa capacité virtuelle que la création du fichier
.sparseimage doit acquitter d'entrée = la «
Tare» du fichier ; c'est la taille actuelle des fichiers qu'i y sont écrits qui définit le poids réel de la
.sparseimage = le «
Lest» du fichier. Une
.sparseimage ne pèse donc jamais que la somme de la
Tare initiale et du
Lest actuel.
2 visuels pour décrire le procédé :
En résumé : il est absolument crucial de créer des
.sparseimage et pas des
.dmg, dès lors qu'on envisage une
écriture ouverte dans l'espace constitué, càd. ce qu'on appelle des
images extensibles. Dès que l'apport d'écriture est volumineux, par exemple si l'on gère des fichiers-vidéos ou même des fichiers-images, le format
.sparseimage (image extensible de faible densité actuelle relativement à sa capacité potentielle) est incontournable, n'en déplaise à notre démonstratif Francophone et quitte à
macomaniac d'avoir une énième fois
alambiqué comme à plaisir
