C'est décidé, j'arrête de fumer

Ben je sais.

Et ça fait 3 ans sans rien. Et pis j'ai encore envie.

pas cool :sick: ça dépends des gens en fait, j'ai la chance de ne plus y penser sauf quand je suis en grosse galère, il te faut trouver un dérivatif, pour moi ce fut la chupa chups :love: :D :D (véridique :D )


edit: je viens d'aller sur http://www.chupachups.com/ il ont une page sur le plaisir de sucer contre le plaisir de fumer :bebe: :D :D

et plus sérieusement ils parlent aussi d'un effet au niveau du cerveau qui remplace le sentiment de plaisir que j'avais expliqué plus haut


tobacco_centr.jpg
 
Mon père a arrêté en 1989 après un infarctus et il a encore envie aujourd'hui, courage donc Ed... et tous les autres :up:
 
En fait, je voulais juste relever un peu la platitude ;) de la remarque précédente. Je refume après avoir arrêté pendant un an et je n'en suis pas vraiment fière en réalité... Pour ce qui est du tabagisme passif, je suis satisfaite par l'interdiction de fumer dans les lieux publics. Attention tout de même à ne pas en faire trop en culpabilisant les fumeurs systématiquement.

Je ne suis pas sûr que le but soit de culpabiliser les fumeurs. Mais en tous cas de leur faire prendre conscience et de les sensibiliser au fait que les tabagisme passif est nocif pour la santé des autres. En tant que non fumeur, j'ai toujours eu fortement l'impression qu'ils (pour la plupart) n'en avaient strictement rien à foutre, ou alors qu'ils restaient dans une position de dénie...
 
J'ai quand même encore des doutes...
Mieux vaut arreter avec un "Stop c'est finit je n'y touches plus jamais" et si un jour j'y retouche tout est foutut ou plutôt se dire "je ne fume plus que très rarement, voir plus du tout, mais si j'ai un jour envie d'une cigarette je ne vais pas m'immoler"...
Parce que je n'aimes pas trop cette idée du non définitif qui donnerait un côté trop tragique à toute "rechute"...je préfererais un côté un peu plus laxiste mais sans tomber dans la déchéance.
 
Je crois qu'il n'y a pas de recettes pour tous
Dans mon cas c'etait du définitif, car c'est plus difficle de gêrer la tension entre envie et raison que de se tenir à une décision.
 
Moi, ça a duré à peu près cinq ans, de fréquemment au début, à très rarement à la fin.

L'envie a été inversement proportionnelle à la subtilité de tes calembours ? :D

Blague à part, ça va bientôt faire 5 ans (quand Madame était enceinte de notre premier enfant) que je n'ai plus touché une cigarette (de 30-40 à 0 en 1 jour :D - 2 paquets de patches, et des NTB au début), eh bien, je l'avoue, ça me manque encore des fois. Comme Naas, dans les périodes de galère, on se souvient du bien que cela procurait et de l'effet déstressant... Mais d'avoir cotoyé ma mère pendant un mois avec ses Gitanes internationales, j'avoue que l'odeur m'indisposait tellement que j'avais presque envie de gerber... Mais n'empêche, malgré ça, j'ai encore eu envie.

Sauf que là on regarde le chemin parcouru, et on continue.
 
Ouais. Edifiant :mouais:

Ben moi, j'ai arrêté plus de 4 ans… Et j'ai repris du jour au lendemain :) Même pas dur. Et dans quelles conditions en plus :love: Bref.

Qu'on arrête de fumer, oui. Qu'on tente d'utiliser ce fil pour faire passer les fumeurs pour des parias, non.
 
Je ne fume pas - je n'en ai jamais eu l'envie. Mais je vis avec un fumeur. Et mes parents étaient des fumeurs, d'ailleurs, ma mère se fout complètement de fumer ou non devant ses petits enfants.

Or, il y a des conséquences à ça.

Je me pose cette question, très sérieusement. Comment réagir? En fait... dois-je réagir?

Cette question ne concerne pas ma mère, je ne vis pas avec elle, et je ne paranoïe pas. Fumer devant ma fille, de temps en temps, n'aura sûrement pas trop de conséquences. Et puis, ma vieille à 75 ans... je ne m'attends pas à un changement de sa part.

Mais quand c'est au quotidien, avec son conjoint, quand c'est pour toujours?

Où est la limite?

Elle n'est que personnelle? Je dois assumer mon amour et ce qui vient avec? Tant pis pour moi et les autres et basta?

So what, on crève bien un jour non (argument fatal du conjoint)? :mouais:
 
Je ne fume pas - je n'en ai jamais eu l'envie. Mais je vis avec un fumeur. Et mes parents étaient des fumeurs, d'ailleurs, ma mère se fout complètement de fumer ou non devant ses petits enfants.

Or, il y a des conséquences à ça.

Je me pose cette question, très sérieusement. Comment réagir? En fait... dois-je réagir?

Cette question ne concerne pas ma mère, je ne vis pas avec elle, et je ne paranoïe pas. Fumer devant ma fille, de temps en temps, n'aura sûrement pas trop de conséquences. Et puis, ma vieille à 75 ans... je ne m'attends pas à un changement de sa part.

Mais quand c'est au quotidien, avec son conjoint, quand c'est pour toujours?

Où est la limite?

Elle n'est que personnelle? Je dois assumer mon amour et ce qui vient avec? Tant pis pour moi et les autres et basta?

So what, on crève bien un jour non (argument fatal du conjoint)? :mouais:

Pose lui la question de savoir ce que ça lui fait d'écourter la vie de sa fille clope après clope, peut-être que ça le fera réfléchir ? Lui, il a le plaisir du tabac avec le poison, ceux qui sont autour de lui n'ont que le poison, eux !

Voit (un peu plus haut dans ce fil) ce qui est arrivé à mon fils aîné, alors que j'avais arrêté de fumer six mois avant de le mettre en route, je n'ose imaginer ce qui aurai pu se passer si j'avais continué à fumer ?
 
Vous êtes hors-sujet !!!!!!!
Et moi, un de mes arrières grands pères est mort à 93 ans d'un arrêt cardiaque. Il avait commencé à fumer dans les champs à 12 ans. Mon arrière grand mère avec qui il a toujours vécu n'a jamais fumé que passivement. Et elle est morte à 98 ans avec des poumons "normaux", d'un arrêt cardiaque aussi.

Est-ce que vous croyez que je vais faire la bêtise de poser ça ici et d'en faire une généralité ?

Le respect doit fonctionner dans les deux sens.

Et ce fil est là pour que les gens qui arrêtent de fumer parlent entre eux. Et pour rien d'autre. Il est toujours possible de dire des choses et leur contraire, et d'élever ça au niveau d'un débat dont l'intérêt n'est que très lointain. Je suis absolument désolé de ce que vous vivez ou avez vécu, mais macgeneration n'a pas vocation à se substituer à Ménie Grégoire…

Merci de respecter ça au moins !
 
Quelques infos glanées ici et là:
La première cause de cancer du poumon est le tabagisme. La plupart des patients atteints d’un cancer du poumon sont de grands fumeurs invétérés – plus la consommation de cigarettes est importante et plus la période de tabagisme est longue, plus le risque est élevé. Cependant, le tabac n’est pas une substance inoffensive, quelle qu'en soit la quantité. Le risque de cancer du poumon est également accru chez les personnes exposées à la fumée secondaire de tabac à la maison ou au travail.



D’autres facteurs pourraient accroître le risque de cancer du poumon, notamment ceux qui sont énumérés ci-dessous :

*
activités professionnelles nécessitant la manipulation de substances telles que l’amiante, l’arsenic, le nickel et des produits à base de pétrole, surtout chez les fumeurs;
*
exposition à un gaz appelé radon.

D’autres produits utilisés en milieu de travail et d’autres polluants atmosphériques font actuellement l’objet d’études. Le cancer du poumon peut parfois apparaître en l’absence de tous ces facteurs de risque.

En tant qu'ancien fumeur je trouve interressant de savoir que d'anciens fumeurs ont toujours envie de fumer même après des années, et du coup je me trouve très heureux de ne plus y penser, et lors des rares fois ou j'ai envie, je pense aux autres personnes qui ont posté ici et cela m'aide et si je peux partager mon experience pourquoi pas :)
 
...Or, il y a des conséquences à ça.

Je me pose cette question, très sérieusement. Comment réagir? En fait... dois-je réagir?

Aïe pas facile :rose: peut être de rencontrer un groupe d'anciens fumeurs s'il est prêt a arrêter, ou en parler avec un ami docteur ?
le problème c'est que ce genre de discussion tourne très vite au vinaigre car il y d'un coté un soucis sanitaire et de l'autre coté un transfert sur la liberté et la privation de plaisir

il faut en fait trouver ce qui pourrait faire tilt chez lui, et ça .... c'est très difficile :rose:
 
naas, le conjoint ne pourra pas rencontrer un groupe d'anciens fumeurs, là où il est il n'y en a pas. Il est prêt à arrêter de fumer parce que fe-femme en a marre, mais jamais parce que ça lui tente, il a-dore fumer, je le vois bien, ça lui procure beaucoup de plaisir. Un ami docteur? Il ne pourra que lui dire ce qu'il sait déjà: c'est dangereux. Pour tous.

Pascal, je n'aime pas l'utilisation de la culpabilité, qui ne fonctionne définitivement pas. Et infantilise.

Je lui ai acheté des nicoderm (patch), qui durent 3 semaines, avec une diminution de nicotine à chaque semaine. Il a accepté de le faire. On verrra bien si ça fonctionne.

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Bien d'accord, ce fil porte le titre: "... j'arrête de fumer". "Je". Par contre, je fume aussi la fumée des autres. Et ma fille aussi. Donc, nous fumons tous en famille.

Mais je vais respecter le titre du post, resterai hors du sujet, puisque je ne fume pas cigarette en bouche, et m'arrêterai ici :zen:

Bonne chance à tous ceux qui tentent d'arrêter de fumer :up:
 
naas, le conjoint ne pourra pas rencontrer un groupe d'anciens fumeurs, là où il est il n'y en a pas. Il est prêt à arrêter de fumer parce que fe-femme en a marre, mais jamais parce que ça lui tente, il a-dore fumer, je le vois bien, ça lui procure beaucoup de plaisir. Un ami docteur? Il ne pourra que lui dire ce qu'il sait déjà: c'est dangereux. Pour tous.

Malheureusement, c'est le genre de "mauvaise" motivation. Je pense qu'il faut d'abord vouloir arrêter pour soi, pour pouvoir s'y tenir, et encore ;)

Sinon, des amis docteurs, bah tous ceux que je connais fument comme des pompiers :D
 
Ah ben oui ! Bonne idée ! Il ne doit pas savoir comment ça marche. Peut-être même qu'il ne sait pas ce que c'est qu'un cancer. :rolleyes: Je suis sûr que Caro va mieux là.
 
Mon beau père qui et mon oncle par alliance en avaient "une vague idée", peut être que s'ils avaient été informés en temps et heure cela aurait changé queqlue chose, c'est du moins l'opinion de leurs filles.