Compiler en pascal

Ti utilise le pascal ainsi que les logiciels tels que Xcas ou deriv.
En fait je crois que pour tout ce qui est mathématique le pascal est le plus performant puisque tous les exemples que j'ai donné, qui sont quand même des pointures dans leur dommaine utilisent ce langage.:zen:
alors pour toi le simple calcul et la geometrie basique ca fait des pointures des maths?

Ti texas instrument, cest pour cela qu ils ont ecrit le ti basic (1989 18ans) et plus tard passes a un pseudo asm (1992 15 ans)?
je ne vois pas le rapport avec l utilisation du pascal

c est ca que tu sous entends? je travaille ici avec deux medailles ils n utilisent pas le pascal (1975), mathlab R...

si tu parles de Derive Maple et Xcas ce sont des logiciels pour aider comme mathlab ca na rien a voir avec un language de prog et derive c est plutot pour les enfants... je ne vois pas le rapport avec l utilisation du pascal

tu me diras il y a toujours des golios pour faire du fortran (1952) ou du cobol (1959), le pascal comme le basic (1963) sont outdated
pas bien maintenu incomplet portes a bout de bras par des collectionneurs, ha ils sont ou tes exemples?

je veux bien parler Maths j ai des vagues souvenirs..., et ici au pays de l informatique tous les universitaires utilisent le c et le c++ c ou OCaml pour faire du procedurale , c'est un exercice impose car coherence des codes/portabilite/partage (rt oui recherche fondamentale et appliquee vivent ensembles ici)

faite ce que vous voulez et rester au moyen age, maitriser plusieurs languages informatiques sur le bout des doigts est chose tres rare ds ma profession, quand tu apprends un language meme pour apprendre autre chose tu es super dependant de la forme, de l outil, tu peux apprendre un raisonnement sur de l outdated ok mais de la a le reproduire avec un autre outil j attend de voir les enfants, donc pour moi cela enferme volontairement l apprenti ds une forme outdated pour longtemps voir a jamais


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Quelques remarques enn ce qui concerne les maths et l'informatique :

- l'essentiel des maths aujourd'hui encore se fait sans informatique et n'utilise pas plus C que Pascal. L'informatique est utilisée dans certains domaines, c'est sûr mais ça reste très minoritaire et, même dans les domaines où c'est utilisé, c'est un simple outil : les maths, ce n'est pas de l'informatique.

- l'informatique est très utilisée en analyse numérique, au moins dans sa partie application mais énormément de choses se font dans ces domaines en utilisant des bibliothèques toutes faites : ce qui compte c'est d'avoir les bonnes API, plus que le langage qui va servir à les appler. Ceux qui ont les moyens utiliseront des outils bien léchés comme Mahtlab, d'autres continueront à utiliser le Fortran parce que Fortran manipule bien les matrices et que les compilateurs, bien rodés, sont efficaces ; d'autres utiliseront C parce que C est devenu générique mais franchement ce n'est pas le choix du langage qui fera la qualité des mathématiques qui en sortiront.

- Les maths comme la science en général n'avancent pas toujours aussi vite qu'on le croit en restant fixé sur le progrés technique. En d'autres termes la science ne se démode pas aussi vite que les processeurs. Certains continuent à lire Euclide et à réfléchir dessus sans parler d'Evariste Galois, de Poincaré (la théorie du chaos, c'était déjà largement dans Poincaré) et de bien d'autres.

Plus généralement, un domaine scientifique n'est jamais indépendant de son contexte historique et on a tout intérêt, lorsqu'on s'y intéresse, à prendre le temps de s'intéresser à cet aspect historique. En informatique, Fortran comme Pascal ou C font partie de cette histoire et c'est dommage de ne pas essayer de comprendre comment et pourquoi ces langages sont apparus et ont été pensés.

Un ordinateur peut être démodé, un concept scientifique, j'en doute : il peut avoir été invalidé éventuellement mais cette invalidation même est de la science. Il est dommage aujourd'hui, enfin c'est mon avis purement personnel, de voir trop de gens brillants tirer un rideau sur le passé en pensant que ce qui a plus de quelques années ne peut rien apporter, en se limitant à tel ou telle ligne, aussi brillante soit-elle.