Je préfère encore le Lucy de Besson. Ça ne casse pas trois pattes à un canard mais au moins là c’est une œuvre originale.
Ah, c'est le moment de l'anecdote.
Ma femme me traine au cinoche.
-Y a ce film, là, qu'à l'air pas mal avec Scarlett Johansson, Lucy.
-Scarlett Johansson (j'adore la photogénie de cette actrice - je n'ai aucune idée de ses talents artistiques) ? Ok, allons-y.
Le film commence, ça me déplait pas.
Et à un moment ça se barre en cacahouète. Tout est trop "trop".
Je me penche vers ma femme.
-Oh putain, je sais pas qui est le réalisateur, mais ça fait trop pourri à la Besson.
-M'enfin chéri...
Oui ben pardon, j'avais pas vu. Sur l'affiche devant le ciné je n'ai vu que les yeux de Scarlett.
Le nom du réa n'était pas écrit assez gros.
Je n'aurais pas empêché ma femme d'aller le voir, mais moi je serais allé dans une autre salle.
Et si ça se trouve, ce soir-là j'ai loupé un bon film.