En application de la règle : le Lundi, on est là pour en baver...
Tente toujours depuis le terminal, App Store stoppé de taper la commande :
rm -r $TMPDIR../C/com.apple.appstore
je doit être sacrément a la ramasse … je ne comprend pas non plus ta manip
Le succès « pratique » de la manœuvre (et l'euphorie allant de pair) n'ont pas dû ôter
math, « mathématiquement » parlant, de l'incompréhension initialement attestée. Voici donc quelques éclaircissements destinés à satisfaire une curiosité « théorique » résiliente...
À la racine de l'architecture du Système, existe un répertoire (invisible au
Finder) intitulé
/private, qui se subdivise en 3 sous-répertoires :
/etc,
/tmp et
/var. Le sous-répertoire
/private/var recèle des données à contenu sujet à variation en fonction de l'emploi du Système dû à des actions d'utilisateurs, d'où son nom abrégé de
var. Un des dossiers de
/private/var s'intitule
folders ("dossiers") et est réservé à l'enregistrement des données d'« action-Système » temporaires des utilisateurs. Dans ce dossier
/private/var/folders il y a toute une arborescence de sous-dossiers portant des noms binaires (de type :
8n..
8r..
v8..
zz) - autant dire rien de parlant au visiteur. Chacun de ces dossiers au nom binaire recèle un sous-dossier unique nanti d'un intitulé alpha-numérique singulier de 30 caractères (de type :
582g7q1x6bd6wpvk0g9gmlgr0000gn ou
0lxn8nrj4nv_yf8qm5bg8f_80000gn...). À l'intérieur de chacun de ces dossiers à l'intitulé de 31 caractères alpha-numériques, il y a toujours un sous-dossier
C (comme
Contents).
L'idée directrice de ce "foutoir" est la suivante : chaque utilisateur de l'OS (parmi lesquels l'utilisateur
admin principal) se voit affecté personnellement un des sous-dossiers binaires de
/private/var/folders (par exemple l'
admin toto se verra octroyer le dossier binaire
v8, le
System Adminstrator root se verra octroyer le dossier binaire
zz etc.), et dans ce dossier personnel le sous-dossier unique aura donc un identifiant alpha-numérique de 30 caractères spécifique à l'utilisateur concerné. Exemple encore : l'utilisateur
admin toto se verra affecter le dossier personnel suivant :
/private/var/folders/v8/582g7q1x6bd6wpvk0g9gmlgr0000gn, dans lequel résidera le sous-dossier
C (comme "
Contents") recelant des données d'usage du Système qui se rapportent spécifiquement à lui, et ont donc un contenu rapporté à cette variable active représentée par l'utilisateur.
Le Système sait très bien trouver le dossier
C afférant à tel utilisateur, pour y enregistrer les données temporaires résultant de l'usage variable du Système par cet utilisateur. Mais
quid de l'utilisateur lui-même, s'il a besoin d'aller fureter dans les données enregistrées de ton dossier
C ? Normalement (quand tout se passe bien) il n'a pas besoin d'aller y fureter - mais en cas de "cagade" logicielle (comme ce qui arrivé à
math), il peut être nécessaire d'aller purger certaines données enregistrées dans le dossier
C afférant à l'utilisateur, pour repartir d'un pas neuf. Le problème de l'utilisateur, alors, est de suivre un fil d'
Ariane pour aller débusquer le
Minotaure dans le Labyrinthe de Crète ce foutu dossier
C rapporté à lui-même dans le fatras logique inénarrable du sous-dossier :
/private/var/folders...
Il existe pour cela un raccourci que l'on peut passer au «
Terminal», lequel va le comprendre sans erreur : c'est le raccourci =>
qui équivaut, en mode abrégé, à l'ordre : dans le répertoire de données d'usage temporaires (
TMPDIR =
temporary_directory =
/private/var/folders), relativement à l'arborescence qui se rapporte spécifiquement à l'utilisateur dont la session est ouverte (
$) descends de 2 crans (
../ => ce qui est interprété par exemple comme :
/v8/582g7q1x6bd6wpvk0g9gmlgr0000gn/) et trouve le dossier des contenus (
C) => ce raccourci fera donc sans faute suivre un chemin absolu qui sera par exemple du type suivant :
Bloc de code:
/private/var/folders/v8/582g7q1x6bd6wpvk0g9gmlgr0000gn/C
Pour donner une idée des ressources de "contenus à caractère variable temporairement" se rapportant à l'utilisateur, j'invite l'aimable lecteur de cette explication de texte à aller à :
Applications/Utilitaires et à lancer le «
Terminal». Un simple copier-coller dans la fenêtre ouverte de la commande :
(commande garantie absolument sans danger, car se contentant d'appeler l'utilitaire
open dont la fonction, sur un objet-cible constitué par un dossier, est d'« ouvrir » graphiquement son contenu en l'affichant dans une fenêtre du
Finder) => en résultat, va s'afficher la fenêtre-
Finder des contenus du fameux dossier
C relatif à l'usage que l'utilisateur dont la session est ouverte fait du Système (ça va donc plus profond que les simples fichiers
.plist de
Preferences stockés dans la Bibliothèque Personnelle de compte et qui sont relatifs à l'emploi d'« applications », càd. de ressources surajoutées au fonctionnement "organique" du Système).
J'attire l'attention de l'aimable public sur le sous-dossier du dossier
C intitulé :
com.apple.appstore. Dans ce dossier enregistrant l'activité relative à l'Appstore, il y a des caches et des dossiers de données de téléchargement résiduelles, pas forcément encore purgées. C'est dans ce dossier
com.apple.appstore notamment, que tout ce qu'on télécharge depuis l'AppStore (par exemple un installateur d'
OS X) se trouve localisé sous forme de paquet (
package) de réception avant déplacement à la localisation finale (par exemple l'installateur du répertoire des
Applications). D'inénarrables "ratatouillages" sont, bien entendu, susceptibles de se produire (comme il est arrivé à
math).
Si donc je reviens à la commande de
Jean
(dont on peut imaginer qu'au petit déjeuner, quand ce n'est pas des proses du sous-signé, il se délecte de petits biscuits faits "maison" sur lesquels il a imprimé à l'avance toutes sortes de commandes - à la place des « je t'aime » traditionnels - du genre donc : « open $TMPDIR../C/ » ce qui lui permet de joindre l'utile <réviser> ) à l'agréable <croquer> ☜
ceci est une blague amicale de début de semaine
) :
Bloc de code:
rm -r $TMPDIR../C/com.apple.appstore
☞ je suppose que son fulgurant raccourci est désormais aussi évident à quiconque qu'une eau transparente (de source (de montagne)) : l'utilitaire
rm (comme
remove = "supprimer") est appelé en sujet-verbal de la commande, affecté de l'option récursive
-r (= "opérer sur toute la profondeur de l'objet-cible") parce qu'il est prévu d'affecter un dossier (et pas un simple fichier) avec, donc, en objet-cible le fameux :
$TMPDIR../C/com.apple.appstore dont tout le monde comprend qu'il intime à
rm de se rendre dans le répertoire des données temporaires
/private/var/folders, en y descendant de 2 crans
../ relativement aux données de l'utilisateur dont la session est ouverte (
$), d'ouvrir alors le dossier
C/ des Contenus y localisé et d'exercer récursivement l'action de suppression sur le sous-dossier
com.apple.appstore trouvé (avec tous ses contenus inclus). Ce sous-dossier sera automatiquement re-créé purgé de ses traces d'utilisation préalable.