Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0
- Créateur du sujet teo
- Date de début
si justement, je suis du cambrésis (ou presque), j'aime Joy division et le dernier PJ Harvey, bin je ne vais pas me suicider malgré les ambiances dramatiques de ces disques
sinon, j'aime pas trop matisse
je remarque que dans le cambrésis on écrit pas que des bétises
(au citron j'adore:love.sinon je signalerais bien une nouvelle signature hautement sympathique sur le label In The Red, connu pour dénicher les groupes au son garage rock intéressant.
en l'occurence il s'agit d'Intelligence:
l'album Deuteronomy est fort appréciable au rayon garage noisy.
remarquez quand on choisit de s'appeler Intelligence il vaut mieux éviter de faire des bétises
(et aussi NME [prononcé enn-em-i], bah oui intelligence avec l'NME, OK je ----------->:affraid
Le second CD que j'ai acheté en 84...
:love: :love: :love:
ah la vague pirate neo romantico new wave 2e edition, tes premières boums :siffle: ça me rappelle quelque chose, je ne sais pas pourquoi...
Là, y'a eu Sweet Drop et Human nature sur Pacha Zenith Ibiza '97 un morceau toujours aussi magique. C'est beaucoup remixé, un anthem comme on dit. Gardez l'original. Rythmique basique, sautillant et saccadé, voix lente, invocation, discrets synthés façon Blade Runner. Un miracle.
J'ai toujours pensé à un chant tradi hébreu ou arabe peut-être, le sample de la voix serait un extrait du Mahâbhârata sur la BO du film de Peter Brook, à ajouter à ma liste des achats de Noël.
J'en viens d'ailleurs à une remarque toute simple, n'hésitez pas à parler de vos découvertes musicales catégorie Traditionnelle / World / Ethnique etc.
Pas Johnny Clegg ou la Compagnie Créole, hein ? Plus le genre Nusrat Fateh Ali Khan, avec un petit descriptif maison ?
Momo Wandel Soumah - Afro Swing
Excellent, découvert par hasard, on dirait la version black de Tom Waits, du moins au niveau cordes vocales, sinon les arrangements sont subtiles et sans fioritures, les chansons très bien écrites, un vrai plaisir.
J'avoue que la World n'est pas trop ma tasse de thé (comme on dit dans les salons de thé
. Mais j'en ai un à vous proposer, vu qu'il est dans mes environsDaniel Waro
On peut dire que c'est lui qui a fixé les traits du Maloya, musique somme toute authentique. Ceci par son intransigeance identitaire (dont je n'apprécie pas trop ni les angles, ni les côtés), mais aussi par son réel talent rythmique. Les paroles disent la beauté du "pays" (avec un réel souffle), la misère (parfois, ça frise l'overdose), mais elles réussissent surtout souvent à transfigurer la banalité du quotidien. Attention, c'est du Créole pur et dur (normal).
Bref, on ne peut que reconnaître la stature de ce musicien, même si c'est avec quelques bémols
Tiens ça faisait "longtemps", super souvenir de concert en plus, à Tourcoing au grand Mix.
Flotation Toy Warning - Bluffer's Guide to the Flight Deck
Flotation Toy Warning - Bluffer's Guide to the Flight Deck
A
Anonyme
Invité
En fait "ne jamais compter sur fig. 5" suffit
On est contre laliénation et la séparation ; donc on est contre le "Rock", le "Jazz", la "Techno", le "Hip-Hop", et toutes les industries, tout particulièrement lindustrie musicale.
Exhaust
Architecture in Helsinki - Places like this
3ème album du groupe : toujours aussi foutraque, peut-être un peu moins bon que les précédents, mais quelques titres bien sympas qui donnent la pêche le matin :love:
A
Anonyme
Invité
Après avoir été bassiste de Magazine, membre de Birthday Party et membre fondateur des Bad Seeds, Barry Adamson continue sa voie en solo pour des albums très largement instrumentaux dans un univers à la Enio Moricone, Jon Barry et Lalo Schiffrin
Oedipus Schmoedipus - qui constituera avec Moss Side Story et Soul Murder une trilogie "involontaire" plébiscité" par la critique - est un album mélangeant Gospesl, Jazz, Rock, Noise et Groove avec des co-opérations de Nick Cave, Jarvis Cocker et du regretté Billy McKenzie
Oedipus Schmoedipus - qui constituera avec Moss Side Story et Soul Murder une trilogie "involontaire" plébiscité" par la critique - est un album mélangeant Gospesl, Jazz, Rock, Noise et Groove avec des co-opérations de Nick Cave, Jarvis Cocker et du regretté Billy McKenzie
D
Deleted member 18124
Invité
Pour ses chansons Serge Gainsbourg a parfois fait des emprunts à la musique classique. J'ai appris l'autre soir en regardant la télévision - comme quoi on peut apprendre des choses en regardant la télé - que la musique de 'Initials BB", une de mes chansons de Gainsbourg préférées, est une "reprise" de "La Symphonie du Nouveau Monde" de Dvorak, compositeur tchèque du 19e siècle.
L'original :
[YOUTUBE]-OAXCy3YS54[/YOUTUBE]
La version de Gainsbourg :
[YOUTUBE]-3Iw5x2BRzs[/YOUTUBE]
L'original :
[YOUTUBE]-OAXCy3YS54[/YOUTUBE]
La version de Gainsbourg :
[YOUTUBE]-3Iw5x2BRzs[/YOUTUBE]
A
Anonyme
Invité
Aujourd'hui, le Night Time de Killing Joke, même si je trouve qu'il n'a pas très, trop bien vieilli. Comme Raven d'ailleurs... R.I.P.
Pas re écouté depuis une éternité dans son entier, je dois avoir une copie K7 quelque part :siffle: Love like blood est toujours une tuerie pour moi.
Wailing Wall des Cure qui passe en aléatoire dans mes écoutes étoilées, sur The Top. Ca m'a donné envie de me passer tout l'album.
J'oublie toujours que c'est sur cet album qu'il y a le fabuleux Shake Dog Shake. Un de mes morceaux préférés. Découvert 2 ans après sa sortie, j'ai toujours aimé cet album, sans période de rejet après trop d'écoutes. Assez hétéroclite, cet album est un peu un bazar avec des petites perles plutot amusantes et fraiches, parfois mélancoliques (Piggy in the mirror, Bird mad Girl, Caterpillar , Dressing Up), des morceaux très péchus et nerveux (Shake Dog Shake, Give me it, Bananafishbones ), quelques expérimentations orientalistes qui annonçaient certains morceaux de Kiss me, Kiss me, Kiss me (Wailing Wall, Piggy, Bird mad Girl), bref, un album étonnant, pétillant et toujours aussi agréable à écouter, bientôt 25 ans après sa sortie, loin des tréfonds glacés et tourmentés des Faith, Pornography On sent que The Head on the door n'est pas loin, mais c'est finalement pas si mal pour apprécier l'ombre, un peu de lumière ne fait pas de mal
Et cette pochette lumineuse et colorée, cette typo :zen: en 33T ça pétait grave :love;
Wailing Wall des Cure qui passe en aléatoire dans mes écoutes étoilées, sur The Top. Ca m'a donné envie de me passer tout l'album.
J'oublie toujours que c'est sur cet album qu'il y a le fabuleux Shake Dog Shake. Un de mes morceaux préférés. Découvert 2 ans après sa sortie, j'ai toujours aimé cet album, sans période de rejet après trop d'écoutes. Assez hétéroclite, cet album est un peu un bazar avec des petites perles plutot amusantes et fraiches, parfois mélancoliques (Piggy in the mirror, Bird mad Girl, Caterpillar , Dressing Up), des morceaux très péchus et nerveux (Shake Dog Shake, Give me it, Bananafishbones ), quelques expérimentations orientalistes qui annonçaient certains morceaux de Kiss me, Kiss me, Kiss me (Wailing Wall, Piggy, Bird mad Girl), bref, un album étonnant, pétillant et toujours aussi agréable à écouter, bientôt 25 ans après sa sortie, loin des tréfonds glacés et tourmentés des Faith, Pornography On sent que The Head on the door n'est pas loin, mais c'est finalement pas si mal pour apprécier l'ombre, un peu de lumière ne fait pas de mal
Et cette pochette lumineuse et colorée, cette typo :zen: en 33T ça pétait grave :love;
Pas re écouté depuis une éternité dans son entier, je dois avoir une copie K7 quelque part :siffle: Love like blood est toujours une tuerie pour moi.
Wailing Wall des Cure qui passe en aléatoire dans mes écoutes étoilées, sur The Top. Ca m'a donné envie de me passer tout l'album.
J'oublie toujours que c'est sur cet album qu'il y a le fabuleux Shake Dog Shake. Un de mes morceaux préférés. Découvert 2 ans après sa sortie, j'ai toujours aimé cet album, sans période de rejet après trop d'écoutes. Assez hétéroclite, cet album est un peu un bazar avec des petites perles plutot amusantes et fraiches, parfois mélancoliques (Piggy in the mirror, Bird mad Girl, Caterpillar , Dressing Up), des morceaux très péchus et nerveux (Shake Dog Shake, Give me it, Bananafishbones ), quelques expérimentations orientalistes qui annonçaient certains morceaux de Kiss me, Kiss me, Kiss me (Wailing Wall, Piggy, Bird mad Girl), bref, un album étonnant, pétillant et toujours aussi agréable à écouter, bientôt 25 ans après sa sortie, loin des tréfonds glacés et tourmentés des Faith, Pornography On sent que The Head on the door n'est pas loin, mais c'est finalement pas si mal pour apprécier l'ombre, un peu de lumière ne fait pas de mal
Et cette pochette lumineuse et colorée, cette typo :zen: en 33T ça pétait grave :love;
pochain album en Mars et Bercy dans la foulée...
:siffle:
C'est une bonne remarque en effet ... je ne sais pas si Gainsbourg s'est inspire ou a carement utilise cette Symphonie (je ne peux pas voir les videos) mais il semble qu'il s'est souvent inspire d'oeuvres de courant musicaux majeurs quand lui s'y essayait ...
Par exemple, pour l'album Aux Armes Etc il a emprunte aux standards du reggae, me semble t-il ... mais tout en sachant ce qu'il voulait ... il a apparement bluffe les zicos du studio d'enregistrement ... c'est quand meme le premier blanc a enregistrer un album de reggae ...
Je me demande si je vais pas aller découvrir le At the Control d'Agoria en live
Any volonteer ?
Any volonteer ?
La discographie de funeral, groupe fondateur avec Thergothon et consor du "funeral" doom metal (joli nom hein ?)
Donc les 4 vrais albums (les divers EP sont incorporés dedans) :
2° : Tristesse (1994)
Le premier avec le line-up originel, 3 pistes pour 40minutes, du doom ultra lent, des voix growl à mort, une ambiance pas super joyeuse, malsaine, comparable avec ce qu'ont fait Esoteric, dISEMBOWELMENT and co plus récemment.
2° Tragedies (1995)
Le groupe est rejoint par une chanteuse, un CD de 5 chansons pour 58min, le même esprit que le précédent, avec beaucoup moins de growl, des passages guitares folk (au début de toutes les pistes sauf Moment In black, avec des acalmies en plein milieux, superbes, surtout sur les 2 premières chansons, Taarene et Under Ebony Shades).
Donc funeral doom très lent, symphonique par moment, quelques refrains, une voix éthéré parfois accompagné d'un growl, quelques fois d'un violoncelle, des riffs parfois désespérants, parfois méchants (enfin pas autant que le riff de Thoughs of Tranquility qui suit la partie acoustique), quelques refrains (enfin si on peut appeller le refrain de 1minutes qui revient 2 fois en 13minutes sur Under Ebony Shades), le Ze chef d'oeuvre du groupe.
3° In Fields of Pestillent Grief (2002)
Putain, la surprise ! Après avoir changé une 3eme fois de chanteuse (1 sur tragedies, puis une autre sur un EP pas très connu juste après) le groupe reprend sa route sur un album beaucoup moins lent, loin des atmospheres de Tragedies, dans un Doom/Death/Goth (héhéhé ca fait pas con de dire ça pour définir un genre déjà, beaucoup plus rapide, se rapprochant plus d'un Draconian et que de l'ancien Funeral (A ce moment là du groupe, sur les 5membres fondateurs 1 est parti et un autre s'est suicidé je crois, donc a peine plus de la moitié du line-up de base), beaucoup plus sympho, des titres beacoup plus courts (2 fois plus de morceaux que Tragedies pour moins longtemps, on passe de 8pour le plus court et 14pour le plus long sur Tragedies (et 12 à 18 sur tristesse) à 2min pour l'intro jusqu'à 8minutes, pas vraiment la même chose).
La chanteuse à une voix qui monte beaucoup plus que celle sur Tragedies.
Bref, changement d'ambiance, mais on voit encore beaucoup les influences des anciens albums sur celui-là, 9 ans (pas très actives, à part 2 EP introuvables) après les débuts du groupe.
4° From These Wounds (2007)
Après 4ans d'inactivité du groupe (après que le chanteur du groupe ai été retrouvé mort chez lui), le groupe reprend avec seulement 2 membres sur les 5 et un nouveau line-up, un retour inespéré, après qqes années sans nouvelles.
Pitay'n ! Comme pour In Fields..., le disque surprend, et pas qu'un peu; déjà, les pistes sont toutes d'une longueur plus proches que les 1ères, plus lentes, et surtout, plus de voix féminines, seulement un chant clair.
Ensuite, les influences du premier Funeral sont un peu plus présentes dans les guitares et les batteries lourdes (d'un côté les 2membres restants sont le gratteux et le batteur), mais moins lourdes que sur In Fields..., où la grosse caisse résonnait énormement, et où le son de batterie était énorme comme je l'aime, mais limite too much.
Par contre, les pistes sont beaucoup moins variées que sur In Fields..., qui révolutionnait vraiment, alors que cet album n'est plus du Funeral, à part comme je l'ai dit, quelque riffs ou rythmiques de batterie de temps en temps, c'est un nouveau groupe.
Apparement le groupe à souhaité garder le nom de Funeral en hommage aux ex-membres morts, joli geste, mais entre Tristesse et Tragedies, In Fields et ce dernier album, on voit 3 groupes différents dans les mélodies, mais il reste un fil conducteur.
Bref, même avec les changements de genre, ce groupe est énorme.
C'est pas la peine d'essayer de trouver un extrait de nimporte quel album de ce groupe, donc pour ceux qui veulent écouter, vive le blanc :siffle:
[removed by l’affreux qui embrasse même quand il pique]
:zen:
Donc les 4 vrais albums (les divers EP sont incorporés dedans) :
2°
: Tristesse (1994)
Le premier avec le line-up originel, 3 pistes pour 40minutes, du doom ultra lent, des voix growl à mort, une ambiance pas super joyeuse, malsaine, comparable avec ce qu'ont fait Esoteric, dISEMBOWELMENT and co plus récemment.
2°
Tragedies (1995)
Le groupe est rejoint par une chanteuse, un CD de 5 chansons pour 58min, le même esprit que le précédent, avec beaucoup moins de growl, des passages guitares folk (au début de toutes les pistes sauf Moment In black, avec des acalmies en plein milieux, superbes, surtout sur les 2 premières chansons, Taarene et Under Ebony Shades).
Donc funeral doom très lent, symphonique par moment, quelques refrains, une voix éthéré parfois accompagné d'un growl, quelques fois d'un violoncelle, des riffs parfois désespérants, parfois méchants (enfin pas autant que le riff de Thoughs of Tranquility qui suit la partie acoustique
), quelques refrains (enfin si on peut appeller le refrain de 1minutes qui revient 2 fois en 13minutes sur Under Ebony Shades), le Ze chef d'oeuvre du groupe.3°
In Fields of Pestillent Grief (2002)
Putain, la surprise ! Après avoir changé une 3eme fois de chanteuse (1 sur tragedies, puis une autre sur un EP pas très connu juste après) le groupe reprend sa route sur un album beaucoup moins lent, loin des atmospheres de Tragedies, dans un Doom/Death/Goth (héhéhé ca fait pas con de dire ça pour définir un genre déjà
, beaucoup plus rapide, se rapprochant plus d'un Draconian et que de l'ancien Funeral (A ce moment là du groupe, sur les 5membres fondateurs 1 est parti et un autre s'est suicidé je crois, donc a peine plus de la moitié du line-up de base), beaucoup plus sympho, des titres beacoup plus courts (2 fois plus de morceaux que Tragedies pour moins longtemps, on passe de 8pour le plus court et 14pour le plus long sur Tragedies (et 12 à 18 sur tristesse) à 2min pour l'intro jusqu'à 8minutes, pas vraiment la même chose).La chanteuse à une voix qui monte beaucoup plus que celle sur Tragedies.
Bref, changement d'ambiance, mais on voit encore beaucoup les influences des anciens albums sur celui-là, 9 ans (pas très actives, à part 2 EP introuvables) après les débuts du groupe.
4°
From These Wounds (2007)
Après 4ans d'inactivité du groupe (après que le chanteur du groupe ai été retrouvé mort chez lui), le groupe reprend avec seulement 2 membres sur les 5 et un nouveau line-up, un retour inespéré, après qqes années sans nouvelles.
Pitay'n ! Comme pour In Fields..., le disque surprend, et pas qu'un peu; déjà, les pistes sont toutes d'une longueur plus proches que les 1ères, plus lentes, et surtout, plus de voix féminines, seulement un chant clair.
Ensuite, les influences du premier Funeral sont un peu plus présentes dans les guitares et les batteries lourdes (d'un côté les 2membres restants sont le gratteux et le batteur), mais moins lourdes que sur In Fields..., où la grosse caisse résonnait énormement, et où le son de batterie était énorme comme je l'aime, mais limite too much.
Par contre, les pistes sont beaucoup moins variées que sur In Fields..., qui révolutionnait vraiment, alors que cet album n'est plus du Funeral, à part comme je l'ai dit, quelque riffs ou rythmiques de batterie de temps en temps, c'est un nouveau groupe.
Apparement le groupe à souhaité garder le nom de Funeral en hommage aux ex-membres morts, joli geste, mais entre Tristesse et Tragedies, In Fields et ce dernier album, on voit 3 groupes différents dans les mélodies, mais il reste un fil conducteur.
Bref, même avec les changements de genre, ce groupe est énorme.
C'est pas la peine d'essayer de trouver un extrait de nimporte quel album de ce groupe, donc pour ceux qui veulent écouter, vive le blanc :siffle:
[removed by l’affreux qui embrasse même quand il pique]
:zen:
vive les dépressifs canadiens alors
.sinon, j'aime bien le dernier Hermano, ...into the Exam Room.
Dans le genre, Scanner est pas mal du tout.
J'ai déjà parlé ici de sa musique pour la salle des départs de l'hôpital de Garches (un article). Une pièce d'une grande mélancolie mais ni morbide ni sinistre, simplement, je trouve, digne. Cette musique est en parfaite adéquation avec ce que ce lieu doit être [recueillement, initimité et zone de transit vers l'au-delà]. Après l'avoir écoutée, on peut aussi lire Au Piano de Jean Échenoz, tiens.
Hier j'écoutais 52 Spaces du même Scanner, bien plus étouffant. Moi qui suis légèrement claustrophobe, cette musique me donne l'impression que je vais rester enfermé quelque part. Excellent album
