Je te comprends. Ici en Lorraine, nous n'en avons quasiment plus, alors ceux qui restent (bouchers, cordonniers, légumiers etc.) on les "soignent". Non pas qu'on aille faire tous nos achats chez eux, mais plutôt que dès lors qu'on veut un "plus" (et c'est fréquent) c'est vers eux qu'on se tournera.Gregg a dit:Tout a fait , je suis d'accord avec toi mais quand on habite dans une ville comme Paris difficile de trouver encore des ptits " crèmiers " ou " épiciers " bien sympathiques malheureusement.
Et puis, si les épiciers parisiens sont désagréables, je pense qu'ils apprécient comme les notres un bonjour, un brin de dialogue, un sourire. Une fois apprivoisés, alors tu les verras différemment, j'espère, comme eux te verrrons différemment.