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Un truc que j'adorais : son côté papi-flingueur. Il comparait la musique techno à de la musique de nazis (une-deux une-deux) et puis sa détestation de Chostakovitch "troisième pression à froid de Gustav Mahler". :smuggrin:
Je ne suis pas un très grand amateur de Barenboïm pour la musique romantique mais les deux fois où je l'ai vu diriger des pièces de Boulez, il m'a ébloui : il réussit à rendre cette musique intelligible (enfin, pas loinMoonwalker a dit:J'ai plus de mal avec le compositeur. Il faut dire que je n'y suis pas retourné depuis de très longues années et qu'il a beaucoup évolué, moi aussi. Il est possible qu'on se rencontre un jour. Peut-être faudra-t-il quelqu'un d'autre que Boulez pour diriger du Boulez ?
Là, il semble que je sois immunisé contre cette terrible affection.Moonwalker a dit:En tout cas, un soir d'été 1984, avec son complice Chéreau, il a fait plus pour mon éducation musicale que tous les profs de musique que je m'étais tapé au collège (de sinistres cons soi-dit en passant). Incidemment, je suis devenu wagnérien, une sorte de dommage collatéral.
Je préfère Prokofiev mais j'aime bien quelques trucs de Chosta, dont la 10e et la 6e. À un moment j'ai l'impression qu'il tourne en rond.Il demeure un de mes compositeurs préférés, pour sa musique de chambre en général et ses quatuors à cordes en particulier [question symphonie, ça dépend beaucoup : j'ai un faible pour la Xe malgré tout].
Je ne suis pas un très grand amateur de Barenboïm pour la musique romantique mais les deux fois où je l'ai vu diriger des pièces de Boulez, il m'a ébloui : il réussit à rendre cette musique intelligible (enfin, pas loin)
Là, il semble que je sois immunisé contre cette terrible affection.![]()
Puis un autre en sapin, que du sur mesure.Pour son oraison funèbre, on lui taillera des costards.