Oui bon t'avais déjà 43 ans...Argh ! Toute ma jeunesse ......![]()
Oui bon t'avais déjà 43 ans...Argh ! Toute ma jeunesse ......![]()
Oui bon t'avais déjà 43 ans...
Oui bon t'avais déjà 43 ans...
Ouais mais faut pas oublier que j etais un grand premature ! Ca fausse tout ! :rateau:
Normalement c'est à peu près l'âge de chevrage masculin.
On va pouvoir refumer la moquette :love:p'tain supermoustachu est de retour, tout le monde le croyait mort, ca a meme ete annoncé icilove:
(...)
plus serieusement, j'aimerais faire une petite dédicace pour certains foromeurs-macgein de la grande epoque qui nous ont quitté (vraiment) cela serait bien de faire un truc officiel un jour
C'est bien vrai :oTout un foin pour Withney qui n'avait fait que deux tubes et presque rien dans le JT de France 2 pour Donna Summer qui avait un vrai répertoire :heu::mad:
plus serieusement, j'aimerais faire une petite dédicace pour certains foromeurs-macgein de la grande epoque qui nous ont quitté (vraiment) cela serait bien de faire un truc officiel un jour
Robin Gibb ......![]()
Bradbury était bien un peu à part au milieu de l'explosion de la science-fiction des années 60-70. Chez lui, ll y a toujours eu un équilibre instable entre la science-fiction, le fantastique, le poétique : il n'était vraiment dans aucun des trois. Un côté quelque part enfantin, peut-être un lointain parallèle avec quelqu'un comme Boris Vian. Au début des années 70, je lisais beaucoup d'auteurs de science-fiction pour le côté imagination débordante (genre Van Vogt par exemple) au prix d'un style souvent à ras des pâquerettes et d'un certain manque d'épaisseur. Je lisais Bradbury pour retrouver un monde poétique dans lequel la science-fiction n'était qu'une façon d'écrire. Les chroniques martiennes n'étaient pas si martiennes que ça.
Je crois que je vais me les relire(enfin dès que j'aurai fini de relire le rivage des Syrtes
)
Bradbury était bien un peu à part au milieu de l'explosion de la science-fiction des années 60-70. Chez lui, ll y a toujours eu un équilibre instable entre la science-fiction, le fantastique, le poétique : il n'était vraiment dans aucun des trois. Un côté quelque part enfantin, peut-être un lointain parallèle avec quelqu'un comme Boris Vian. Au début des années 70, je lisais beaucoup d'auteurs de science-fiction pour le côté imagination débordante (genre Van Vogt par exemple) au prix d'un style souvent à ras des pâquerettes et d'un certain manque d'épaisseur. Je lisais Bradbury pour retrouver un monde poétique dans lequel la science-fiction n'était qu'une façon d'écrire. Les chroniques martiennes n'étaient pas si martiennes que ça.