Le thread post-mortem [v.2]

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Réactions: teo
Normalement c'est à peu près l'âge de sevrage masculin.
 
p'tain supermoustachu est de retour, tout le monde le croyait mort, ca a meme ete annoncé ici :o:love:

moi j'aimerais voir gribouille revenir pour une semaine de gribouille-max , du genre gribouille les dix ans, les nioubs vont aimer :o

plus serieusement, j'aimerais faire une petite dédicace pour certains foromeurs-macgein de la grande epoque qui nous ont quitté (vraiment) cela serait bien de faire un truc officiel un jour
 
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p'tain supermoustachu est de retour, tout le monde le croyait mort, ca a meme ete annoncé ici :o:love:
(...)
plus serieusement, j'aimerais faire une petite dédicace pour certains foromeurs-macgein de la grande epoque qui nous ont quitté (vraiment) cela serait bien de faire un truc officiel un jour
On va pouvoir refumer la moquette :love::D
C'est vrai ca, faut celebrer ceux qu'on a du placer en maison de retraite, les Sonnyboy et compagnie.

Tout un foin pour Withney qui n'avait fait que deux tubes et presque rien dans le JT de France 2 pour Donna Summer qui avait un vrai répertoire :heu::(:mad:
C'est bien vrai :o
 
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Réactions: thebiglebowsky
plus serieusement, j'aimerais faire une petite dédicace pour certains foromeurs-macgein de la grande epoque qui nous ont quitté (vraiment) cela serait bien de faire un truc officiel un jour

Tintintin et gnagnagna, c'était mieux avant et maintenant c'est tout pourri :(

[mode chrisantèmes]à nos chers disparus, décrétons un jour de gloire nationale[/mode chrisantèmes]

Bon maintenant je vais coller une baffe au morpion à coté qui joue à Team Fortress :casse:
 
Et oui, Donna Summer, Robin Gibb. Les chanteurs de mon enfance.

Par contre, Sandra Kim vit toujours. Il devrait bien y avoir moyen de la couler dans une dalle de beton ou un truc du genre. Que fait la Justice?
 
le baryton Edouard Khil était devenu un des chouchous des internautes grâce à son"tube" : "trololo".


[YOUTUBE]1orMXD_Ijbs[/YOUTUBE]
 
Il n'est pas vraiment mort, j'ai appris Farenheit par cœur et je vais le réciter dans la forêt…
 
Bradbury était bien un peu à part au milieu de l'explosion de la science-fiction des années 60-70. Chez lui, ll y a toujours eu un équilibre instable entre la science-fiction, le fantastique, le poétique : il n'était vraiment dans aucun des trois. Un côté quelque part enfantin, peut-être un lointain parallèle avec quelqu'un comme Boris Vian. Au début des années 70, je lisais beaucoup d'auteurs de science-fiction pour le côté imagination débordante (genre Van Vogt par exemple) au prix d'un style souvent à ras des pâquerettes et d'un certain manque d'épaisseur. Je lisais Bradbury pour retrouver un monde poétique dans lequel la science-fiction n'était qu'une façon d'écrire. Les chroniques martiennes n'étaient pas si martiennes que ça.

Je crois que je vais me les relire :D (enfin dès que j'aurai fini de relire le rivage des Syrtes :D)
 
Bradbury était bien un peu à part au milieu de l'explosion de la science-fiction des années 60-70. Chez lui, ll y a toujours eu un équilibre instable entre la science-fiction, le fantastique, le poétique : il n'était vraiment dans aucun des trois. Un côté quelque part enfantin, peut-être un lointain parallèle avec quelqu'un comme Boris Vian. Au début des années 70, je lisais beaucoup d'auteurs de science-fiction pour le côté imagination débordante (genre Van Vogt par exemple) au prix d'un style souvent à ras des pâquerettes et d'un certain manque d'épaisseur. Je lisais Bradbury pour retrouver un monde poétique dans lequel la science-fiction n'était qu'une façon d'écrire. Les chroniques martiennes n'étaient pas si martiennes que ça.

Je crois que je vais me les relire :D (enfin dès que j'aurai fini de relire le rivage des Syrtes :D)

Bradbury a toujours été un cas "à part" dans la science-fiction, à son époque, deux écoles dominaient le genre : le "space opera" (Van Voght, Hamilton …) et dans une moindre mesure la cyber-SF (Asimov, Clarke …). Restaient aussi quelques émules d’Edgar Rice Burroughs, à la frontière entre SF et fantastique. Dans tous les cas, c'était de la SF "épique", je sort de l'univers, ou au moins de la planète, dépendait toujours plus ou moins de l'action des héros de ces romans, Bradbury, lui, c'était de l'aventure plus "prosaïque", une SF plus "quotidienne", aux implications beaucoup plus localisées, le tout écrit dans un style beaucoup plus "littéraire". Il était un peu à la SF ce que H. P. Lovecraft était au fantastique, je pense.

Cela dit, dans ma période "science-fiction", mes livres de chevet, ceux que je relisais régulièrement, c'étaient plus Van Voght (la faune de l'espace) ou Vance (le cycle de Tschaï, le cycle de la planète géante …) que Bradbury. Maintenant, j'ai mal tourné, je suis passé au fantastique (tendance sword and sorcery) :rose:
 
Bradbury était bien un peu à part au milieu de l'explosion de la science-fiction des années 60-70. Chez lui, ll y a toujours eu un équilibre instable entre la science-fiction, le fantastique, le poétique : il n'était vraiment dans aucun des trois. Un côté quelque part enfantin, peut-être un lointain parallèle avec quelqu'un comme Boris Vian. Au début des années 70, je lisais beaucoup d'auteurs de science-fiction pour le côté imagination débordante (genre Van Vogt par exemple) au prix d'un style souvent à ras des pâquerettes et d'un certain manque d'épaisseur. Je lisais Bradbury pour retrouver un monde poétique dans lequel la science-fiction n'était qu'une façon d'écrire. Les chroniques martiennes n'étaient pas si martiennes que ça.

Ta réflexion me fait aussi penser à Jack Vance, et notamment au "Cycle de Tschaï', que je vais m'empresser de relire. :D
 
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