papa dessine moi un mouton

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aricosec a dit:
comme loustic est en vacances,je reprend le manche !:)
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votre explication personnelle de cette maxime !
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"c'est dans les vieux pots que l'on fait la meilleure soupe"
.
.
:zen:
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alors les vacanciers :) , pas d'idées :eek:
 
"C'est dans les vieux pots qu'on fait la bonne soupe"

Nous voilà devant l'exemple flagrant du changement de mots sans altération du sens originel:

à l'origine l'expression exacte était:

"ce sont les vieux beaux qui font la bonne couche" :p

arico, Luc et Thebig consultés, m'ont confirmé dans cette explication et vivement approuvé de la porter à votre connaissance :)

bande de jeunes ignares :p

:siffle:
 
Lemmy a dit:
à l'origine l'expression exacte était:
.
"ce sont les vieux beaux qui font la bonne couche" :p
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arico, Luc et Thebig consultés, m'ont confirmé dans cette explication et vivement approuvé de la porter à votre connaissance :)

:siffle:
.
evidemment cet homme MENT !
.
c'etait au temps des rois faineants,a cette epoque, l'un deux, CHILDERIC II , préférait les voitures tirées par des boeufs,il pouvait ainsi, mieux deguster le paysage lors de ses deplacements.
il n'etait pas malgré tout,trés content de son carrossier,outre la lenteur de ses betes,il y avait l'odeur,en effet,ces charmants bovins emettait tout les cinq cents metres,quelques pets sonnants et odorants,les mouches qui suivait cette procession,virevoltaient dans un balai enervant,le manant affecté au demouchage( :D ) ,se demenait comme un diable,voyant le ciel s'assombrir,CHILDO (son nom intime ) se dit, tiens, la pluie va tomber et me debarrasser de ces miasmes, l'eclair vint d'un seul coup illuminer la rue,le tonnerre qui suivit,amena une trombe d'eau glacée,une surprise epouvantée peignit le visage de la majesté,s'apercevant qu'aucune protection n'etait prévue pour son char,il s'ecria en pensant a son garagiste.
" c'est a cause de ce sot ,que je prend ma douche"
.
ça c'est la vérité:mouais: :o
 
aricosec a dit:
.
evidemment cet homme MENT !
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c'etait au temps des rois faineants,a cette epoque, l'un deux, CHILDERIC II , préférait les voitures tirées par des boeufs,il pouvait ainsi, mieux deguster le paysage lors de ses deplacements.
il n'etait pas malgré tout,trés content de son carrossier,outre la lenteur de ses betes,il y avait l'odeur,en effet,ces charmants bovins emettait tout les cinq cents metres,quelques pets sonnants et odorants,les mouches qui suivait cette procession,virevoltaient dans un balai enervant,le manant affecté au demouchage( :D ) ,se demenait comme un diable,voyant le ciel s'assombrir,CHILDO (son nom intime ) se dit, tiens, la pluie va tomber et me debarrasser de ces miasmes, l'eclair vint d'un seul coup illuminer la rue,le tonnerre qui suivit,amena une trombe d'eau glacée,une surprise epouvantée peignit le visage de la majesté,s'apercevant qu'aucune protection n'etait prévue pour son char,il s'ecria en pensant a son garagiste.
" c'est a cause de ce sot ,que je prend ma douche"
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ça c'est la vérité:mouais: :o

:mad: :mad:

vendu, faux-frère :o

:up: :D :up:
 
Bonjour Aricosec, Grug, Lemmy et tous les autres.
Une apparition rapide, entre deux voyages dans les
Causses pour vous dire ma fierté d'avoir pris la place
de machin truc chose... Et puis je vous révèle la
véritable histoire des vieux pots.

Voici plus de cent soixante ans, un dénommé Vandegrèce
patineur, d'arrache-pied se préparait aux Jeux Olympiques.
Chaque matin il recrutait quelques ivrognes qu'il payait
chichement afin qu'ils pédalassent (hum !) pour produire
le froid indispensable au bon état de la surface glacée
de la patinoire. C'est là qu'il rencontra une merveilleuse
créature dont il devint éperdument amoureux.
Hélas Madame de Mortsure refusa ses avances et resta
fidèle à son mari dément.
En guise de consolation, il devint l'amant d'une belle jeune
femme qui ne manquait pas de piquant, la Marquise Dublé
triple championne olympique à l'épée. Mais ce fut décevant
pour ce pauvre Vandegrèce car il lui était bien difficile
de tirer victorieusement la championne.
Alors il se rabattit sur la bonne. En la surprenant dans
la cuisine, il la pliait sur l'évier (un de ces bons gros
éviers de pierre, bien rugueux, comme on en voit encore
de nos jours en Aveyron).
Le patineur raconta cette triste histoire dans un roman
devenu un classique "Je glisse dans la vallée" qui fit
pleurer les champions olympiques dans leur village.
Tous retinrent la dernière phrase émouvante :

C'est dans l'évier, pof, qu'on se fait la bonne, oups !

Cette phrase a subi l'usure du temps et s'est transformée
en citation à l'usage de journalistes sous-alimentés. :) :) :)
 
comme LOUSTIC est un bleu,ont va lui pardonner d'avoir préféré les CAUSSES a son devoir.....Ha ha ha ha !............pourtant je préfére le roquefort ah ah aha !.......je pouffe...quel esprit fin cet arico....:D

quoique son explication,soit archie fausse .............:o
:up: :zen:
 
Lemmy a dit:
:up:

les Causses te font beaucoup de bien, loustic :)
Les Causses ne peuvent que faire du bien. D'ailleurs évitez de me faire démarrer sur les Causses ou je ne réponds plus de rien, je m'y suis encore régalé ces vacances.:zen:

PS D'ailleurs, c'est parce que je suis encore un peu dedans que j'ai du mal à resortir des conneries par ici mais ça ne devrait plus tarder. :D
 
Luc G a dit:
j'ai du mal à resortir des conneries par ici mais ça ne devrait plus tarder. :D

je ne suis pas inquiet: chassez le naturel... :o :eek: :D

après la sieste, c'est plus facile :p
 
Lemmy a dit:
je ne suis pas inquiet: chassez le naturel... :o :eek: :D

D'une part, je ne galope guère (bien trop fainéant pour ça : je ne suis même pas allé voir Marvejols-Mende cette année :D ). D'autre part s'il s'agit de me chasser, Lemmy, faudra t'entraîner un peu, par exemple en passant le balai dans notre tranche, j'ai retrouvé ça dans un état indescriptible :mad: Et je parle pas de TheBig qui nous a ramené plein de boue rhénane : la tête en l'air qu'il avait en écoutant Vaguenez. Il aurait mieux fait de regarder où il mettait les pieds ! :mad: Au lieu de se taper la chevauchée des Valeureuxquirient, il aurait mieux fait de regarder "ma sorcière bien-aimée" et d'aprrendre à se servir d'un balai :rolleyes: (Non, c'est pas moi, c'est le Arico qui a dit qu'il avait la tête de l'emploi :D ).
 
Luc G a dit:
D'une part, je ne galope guère (bien trop fainéant pour ça : je ne suis même pas allé voir Marvejols-Mende cette année :D ). D'autre part s'il s'agit de me chasser, Lemmy, faudra t'entraîner un peu, par exemple en passant le balai dans notre tranche, j'ai retrouvé ça dans un état indescriptible :mad: Et je parle pas de TheBig qui nous a ramené plein de boue rhénane : la tête en l'air qu'il avait en écoutant Vaguenez. Il aurait mieux fait de regarder où il mettait les pieds ! :mad: Au lieu de se taper la chevauchée des Valeureuxquirient, il aurait mieux fait de regarder "ma sorcière bien-aimée" et d'aprrendre à se servir d'un balai :rolleyes: (Non, c'est pas moi, c'est le Arico qui a dit qu'il avait la tête de l'emploi :D ).

C'est toujours la même chose :o :mad:

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et le lit, tu voudrais pas que je le fasse, aussi :confused: :mad:

ça part courir les brebis (tu vas faire tourner le Roquefort :siffle: surtout le Carles © :eek: ) ou TheBig va jouer les romantiques grisonnants en mal de ptéros germaniques :siffle: et qui reste à la maison :confused:

marre :mad:
 
Tiens, finalement, j'ai retrouvé l'origine de ce vieux dicton dans "les mémoires d'un libre penseur" édité à compte d'auteur au début du siècle dans la France profonde. Et voici donc la véridique histoire de "C'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe." et non des billevesées comme on y a eu droit jusqu'ici :

Les méandres de la gastronomie et de la dérive des langues sont remplis de mystères. Je pourrai vous parler d'un quartier qui s'appelle le Camp de Barcelone dans un patelin de Lozère sans qu'aucun catalan n'y ait jamais accompli d'exploit remarquable. Simplement, il y a un bistrot qui était tenu, fut un temps par un certain Marcel, Marcellou familièrement. Comme le/la can désigne simplement un endroit par là-haut (de préférence un plateau, un endroit un peu exposé au vent), on parlait du/ de la can de Marcellou, puis du camp de Marcellou. Est-ce par association d'idée, pour le plaisir de faire un jeu de mots, on a glissé de Marcellou à Barcelone. Les toponymistes ont de quoi s'amuser.

Mais je m'égare (une autre fois je vous dirai pourquoi il y a pas loin un quartier qui s'appelle Montmartre et un peu plus loin un autre quartier qui s'appelle Salonique).

Revenons à nos vieilles peaux, car c'est bien d'elles qu'il s'agit (Arico, personne ne t'a appelé, reste tranquille). En effet c'est bien de cette expression qu'il s'agissait à l'origine :

"C'est chez les vieilles peaux qu'on casse le mieux la croûte". Et il faut avouer que ce proverbe était nettement plus crédible que ce qu'il est devenu. Car, sans parler des vieux pots fendus qui, franchement, ne sont pas idéaux pour la soupe sauf si on l'aime vraiment très épaisse ; les vieux pots trop culottés, ça finit par donner des soupes qui ont toutes le même goût qu'elles soient aus pistou, de poissons, ou à la grimace.

Qu'est-ce que je disais, déjà ? Ah oui, ce dicton était bien connu il y a fort longtemps dans un village perdu juste avant la contre-réforme. C'est à l'occasion de ces chamailleries réforme et contre-réforme que la croûte a molli et les vieilles peaux trop bouffé d'hormones. Faisant assaut de pudibonderie, pasteurs et curés voulurent mettre le hola aux vieilles peaux qui n'en demandaient pas tant. Compte tenu de la résistance de leurs ouailles qui tenaient à leurs peaux, ils firent ce qui avait été fait avec les menhirs christianisés, ils maquillèrent juste un peu histoire d'avoir un dicton moins vulgaire. On en vint ainsi à :

"C'est dans les vieux pots qu'on casse le mieux la croûte". Sauf que entre, d'un côté les protestataires par essence (y a des exemples dans les forums) et les innocents qui voulurent appliquer le dicton et s'escrimèrent à essayer de casser leurs croûtes dans leurs pots (et je peux vous dire que la croûte d'un pain de seigle d'un mois, c'est résistant) et prirent des baffes de leur moitié (et non des moitiés de baffes) pour avoir cassé toute la vaisselle, la révolte grondait. Les esprits forts en profitaient pour se gausser de la religion qui manifestement ne comprenait rien à la cuisine. Un soir de fête, ça tourna au pugilat au moment où on sortait le pain du four dans le dit village. Heureusement un orage du feu de Dieu péta au même moment. Tous furent trempés et surtout les pains qui non contents de prendre la pluie tombèrent dans les vieux pots où chacun avait balancé ses épluchures et les eaux de vaisselle quand la table se renversa dans la bagarre avec les pots de vin en prime (certains prétendent que c'est la première trace historique de l'invention de sangria, mais d'autres contestent et ceci serait une autre histoire).

Quande tout le monde fut, sinon dégrisé, du moins un peu calmé, on balaya le tout dans le feu (par chance abrité de la pluie). Vu que les convives étaient aussi pleins que les pots, ils ne firent pas le tri et les pots pleins cuirent tranquillement avec les débris de meubles. Comme nos villageois étaient plus soupe au lait que vraiment teigneux, ils se réconcilièrent bientôt et recommencèrent à faire la java. Par plaisanterie, l'un d'eux avisa un pot et en versa le contenu dans l'assiette du maire pendant que celui-ci pérorait au lieu de lui verser la soupe à l'ail. Quand le discours fut fini, y avait des yeux dans le bouillon mais tout le monde vit avec surprise le maire, une fois la première lapée avalée, se lécher les babines. Tous voulurent y goûter et restèrent tout ébaubis du goût céleste de la chose. Et le maire de s'écrier: "y a pas à dire, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe" (les élections étaient prévus pour la quinzaine suivante et il était temps de démaguoger un peu). Je ne vous expliquerai pas sur ce coup pourquoi c'est aussi ce jour-là qu'on a inventé l'expression "tremper la soupe" ni comment un pot qui avait reçu en prime sa dose de vin échut à un certain Chabrot, ça nous mènerait trop loin.

La morale de cette histoire, c'est qu'à condition de bien taper et tremper, même les vieilles croûtes deviennent tendres. Ceci dit, je ne dis pas ça pour moi. Par contre, ça les empêche pas de causer. :D
 
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Réactions: loustic
ha le salopio :D :D

putaing les plus courtes sont les meilleurs c'est mort dans ce thread
:love: :love:

maximum :zen: :zen: :zen: :zen: :zen:
 
tatouille a dit:
ha le salopio :D :D

putaing les plus courtes sont les meilleurs c'est mort dans ce thread
:love: :love:

maximum :zen: :zen: :zen: :zen: :zen:
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comme tu dit,:eek: ,les vacances ne l'arrange pas :mouais: , cette année ne va pas etre triste :(
mais comment une si jolie contrée peut elle deboussoler ce citoyen ???:heu:
.
prions pour lui mes fréres :zen: :zen: :zen:
:D
 
C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes

Dans des temps si reculés que le petit Guy Degraine n'est pas encore né, la soupe constitue la base de l'alimentation du crétin qui vit dans un temps si reculé qu'il bouffe sans doute avec les doigts. Le plouc de c'te temps là (pas très bien informé, la RTBF étant en grève) se sert d'un récipient banal pour faire sa soupe. :rolleyes:

C'est alors que Charles Martel, potiers de son état, a l'idée de lancer une gamme de récipients spécialisés.

Parmi ceux là le pot constitue le must dans la gamme des récipients spécialisé et polyvalents.
(qui, plus tard deviendra la colonne vertébrale d'un style alliant à la perfection le moderne et le traditionnel dans le respect du consommateur averti mais sensible au fond).
bref, en gros, le pot c'est du milieu de gamme produit en masse.

Malgré la passion du patron pour son produit phare, ça se vend correct, mais sans plus,.
Bref, quand Charles Martel (qui avec l'âge perdait un peu la boule et se mettait à chasser les arbres) vient à passer de vie à trépas (à trépasser quoi) laisse à son fils, Bleustein-blanchet (un prénom très courant à l'époque) tout un stock de vieux invendus.

Soucieux de préserver la mémoire de son père et d'agrandir son living room, Bleustien-blanchet décide qu'il faut absolument écouler ces stocks d'invendus et lance une grande campagne de publicité ayant pour slogan : "C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes" (étonnant non? ).

le succès fut tel que de nos jours, certains croient même qu'il s'agit d'une vérité scientifique
(sachant que A+B=C, vieux+pots=meilleures soupes :rolleyes: )

C'est bien sur inexact, depuis il a été démontré qu'une vielle soupière est bien plus efficace.

:zen:
 
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Réactions: loustic
Bonsoir à tous.
Je maintiens avec acharnement que l'expression vient véritablement,
indubitablement, incontestablement, vraiment du roman
"Je glisse dans la Vallée" dont c'est aujourd'hui le 154ème anniversaire
de la disparition de l'auteur.
(Un C.D.B. à celui qui trouve de qui il s'agit) :) :) :)
 
loustic a dit:
Bonsoir à tous.
Je maintiens avec acharnement que l'expression vient véritablement,
indubitablement, incontestablement, vraiment du roman
"Je glisse dans la Vallée" dont c'est aujourd'hui le 154ème anniversaire
de la disparition de l'auteur.
(Un C.D.B. à celui qui trouve de qui il s'agit) :) :) :)
une simple recherche sur google (Je glisse dans la Vallée) me donne en n°1 : le site officiel d'Indochine (les paroles de l'aventurier) :p :D :D :D
 
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