Tu reviens, tu reviens… C’est bien ! Mais tu mélanges un peu tout et brode je-ne-sais-quoi autour du message de Louis.Je reviens sur ce message
Quand il dit :
Il parle de l’usage. Quand la voiture roule. Elle n’émet pas de dioxyde de carbone, de CO2 si tu préfères. Et c’est justement cela, les gaz à effet de serre, que l’essor de la voiture électrique personnelle compte bien faire diminuer, en remplacement du parc de véhicules thermiques.Le but d’une voiture électrique est (…) de ne pas polluer.
Que tu souhaites conserver ta vieille voiture pour économiser les ressources nécessaires à la fabrication de sa remplaçante, libre à toi. Que tu choisisses un véhicule thermique d’occasion, et sa pastille crit’air qui va bien, libre à toi. Mais celui qui a besoin d’un véhicule neuf peut tout à fait choisir un modèle électrique, et sa pastille crit’air zéro émission de dioxyde de carbone. (on ne s’étalera pas sur le pourquoi du comment le système des pastilles est arrivé sous nos pare-brises si ce n’est qu’il est en lien avec l’objectif européen de neutralité carbone d’ici à…)
Tu parles d’avenir… Mais les véhicules personnels, historiquement parlant, avant de fonctionner à l’essence de pétrole, étaient mus par l’électricité. C’est parce que le pétrole offrait de parcourir plus de distance avant la recharge suivante – comprendre faire le plein – qu’il a supplanté l’électricité dans les automobiles. Nous sommes des singes, ne l’oublions pas, on va donc au plus simple, au moindre effort. Donc plutôt que plancher sur comment abandonner le plomb des batteries automobiles de l’époque, on a développé le thermique et son super au plomb… Puis sans… Puis avec du distillat de colza… Avec toujours le même résultat… Des émissions de CO2.