Postez Vos Plus Belles Photos (4)
- Créateur du sujet hegemonikon
- Date de début
- Statut
quand ce sera fixé hein ?!!
dites, je sais pas vous mais je suis en vacances et franchement, j'ai autre chose à faire (bon, ok, je suis à Rennes et il fait un temps de merde mais bon, quand même !
)et si vous postiez des photos maintenant ? (je savais bien que j'aurais du rien écrire et vous laissez mariner
)
[MGZ] alèm;4260271 a dit:Bonjour à tous,
il semblerait que benjamin ait installé un Hack permettant de limiter automatiquement la taille des images*. Pensez quand même au poids !
à bientôt tertous !
Ça me semble une bonne idée, en tous cas pour tous ceux qui comme moi, utilisent directement des images de leur site avec une taille standard : ça évite de se poser des questions métaphysiques quand la photo fait 700 pixels mais 760 avec un cadre blanc autour (qui pèse évidemment peanuts)
Et en tant qu'utilisateur sporadique de modem 56ko, je pense et j'ai toujours pensé que le poids en octets était le paramètre le plus à surveiller si on veut penser aux ruraux
Reste plus à Benjamin qu'à trouver un hack pour compresser automatiquement les images trop lourdes
Reste plus à Benjamin qu'à trouver un hack pour compresser automatiquement les images trop lourdes
Ca va faire des heureux :siffle:
y'aura toujours raleurs ... si tout le monde faisait des images de 600px et 100ko max
le problème ne se poserait même pas
mais la mégalophoto ....
Qu'est-ce que je suis bien dans l'ancien pyjama de ma maman.
Et qu'est-ce que c'est bon de pouvoir reporter le 20D. :love:
Et qu'est-ce que c'est bon de pouvoir reporter le 20D. :love:
IL est mimi tout plein....
en regardant un peu vite, j'avais d'abord cru que tu avais offert un iPOD "Red" à ta femme :rateau:
Mais en regardant mieux, j'ai constaté qu'il n'y avait pas d'écouteurs
en regardant un peu vite, j'avais d'abord cru que tu avais offert un iPOD "Red" à ta femme :rateau:
Mais en regardant mieux, j'ai constaté qu'il n'y avait pas d'écouteurs
A
Anonyme
Invité
A
Anonyme
Invité
C’est un ramasseur de coquillages qui découvrit son corps au pied de la Vigie du Diable, plié en deux autour d’un saillant. Une petite procession le ramena au hameau le plus proche pour le faire examiner par un prétendu médecin - en réalité un ancien aide-infirmier des armées impériales. Le corps de Rodolphe n’avait pas ce gonflement spécifique aux noyés ni les profondes contusions des suicidés des falaises. Le hasardeux praticien déclara alors qu’il s’était “cassé de l’intérieur” en ayant été mortellement projeté sur les rochers par une puissante lame de fond. La plupart admirent cette hypothèse d’autant qu’ils avaient maintes fois aperçu Rodolphe sur les platiers, entre deux marées, occupé à ses étranges constructions.
La fouille de ses habits ne leur révéla rien sur son identité. Seule une petite clé d’argent leur ouvrit une porte latérale de la villa dans laquelle, de nouveau, aucun indice ne put y lever le mystère de sa présence ici ni même son nom. Ils découvrirent avec étonnement la sobriété dans laquelle Rodolphe avait vécu en ces lieux. Assurément rien de commun avec les manières habituelles des brigands ou des usurpateurs. Sans plus de preuves, ils en conclurent qu’il devait certainement appartenir à l’ancienne famille propriétaire du domaine, voire qu’il en était l’ultime descendant. Sa mort avait fait comme se lever le charme protecteur de la villa car elle fut pillée peu de temps après.
Les gens du pays étaient devenus presque indifférents aux morts de leur voisinage. Singulièrement celle de Rodolphe les rassembla dans un sentiment mêlé de piété diffuse et de besoin d’appartenance. Ils résolurent de l’inhumer dans le cimetière du village voisin. La décision fut même prise de placer une stèle sur sa dernière demeure. Mais la question se posait de ce qu’il fallait y inscrire. Puis un soir, dans le silence de la veillée funèbre, une très vieille femme prononça soudain dans l’antique langue du Pays : “Marü dap ees...”, ce qui signifiait : “Il est mort ici”.
Ce fut son unique épitaphe.
La fouille de ses habits ne leur révéla rien sur son identité. Seule une petite clé d’argent leur ouvrit une porte latérale de la villa dans laquelle, de nouveau, aucun indice ne put y lever le mystère de sa présence ici ni même son nom. Ils découvrirent avec étonnement la sobriété dans laquelle Rodolphe avait vécu en ces lieux. Assurément rien de commun avec les manières habituelles des brigands ou des usurpateurs. Sans plus de preuves, ils en conclurent qu’il devait certainement appartenir à l’ancienne famille propriétaire du domaine, voire qu’il en était l’ultime descendant. Sa mort avait fait comme se lever le charme protecteur de la villa car elle fut pillée peu de temps après.
Les gens du pays étaient devenus presque indifférents aux morts de leur voisinage. Singulièrement celle de Rodolphe les rassembla dans un sentiment mêlé de piété diffuse et de besoin d’appartenance. Ils résolurent de l’inhumer dans le cimetière du village voisin. La décision fut même prise de placer une stèle sur sa dernière demeure. Mais la question se posait de ce qu’il fallait y inscrire. Puis un soir, dans le silence de la veillée funèbre, une très vieille femme prononça soudain dans l’antique langue du Pays : “Marü dap ees...”, ce qui signifiait : “Il est mort ici”.
Ce fut son unique épitaphe.
Le vitrier nyctalope :
@ Virpeen : très belle composition de passage...
@ Virpeen : très belle composition de passage...
- Statut
Sujets similaires
