Pour les profs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Lamar
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Je n'ai pas parlé de stats. C'est ce que je ne cesse de voir, c'est tout.

C'est peut être aussi qu'avant le supérieur, les élèves n'on t pas le choix, et prennent ce qu'on leur fournit...
Sinon pour pronote, via le web cela fonctionne bien pour les bulletins.
Mais il y a un problème: mon administration me "met la pression" pour que rentre toutes mes notes sous pronote (je ne rentrais jusque là que la moyenne, avant les conseils).
Si je fais cela, comme je ne vais pas le faire "en plus" de mes propres relevés (le "gratos pro deo", cela commence à faire), cela signifie que je ne disposerai plus des notes de mes élèves: je ne saurais plus qui progresse, qui ne progresse pas... et même au moment de remplir les bulletins pronote ne me donne que la moyenne, pas la suite des notes...

Avec pronote (et plus généralement les "zenvironnements numériques de travail" tels que définis par l'EN) l'administratif prend définitivement le pas sur l'enseignant qui ne dispose plus a volonté des informations indispensables pour sa classe, celles ci étant détenues (dans tous els sens du terme) par l'administration. Si je rencontre un parent, je dois lui dire que j'ignore totalement le niveau et les progrès de son enfant, à moins d'avoir a portée de main un PCwinwin relié au réseau, qui après 10 min et 4 codes, pourra éventuellement me fournir les infos nécessaires.

Dans la même veine, lors d'une (indispensable) réunion, j'ai entendu dans le demi-sommeil de ma raison inhérent à ce genre de figures imposées que notre administration commençait à vouloir "sévérement borner" les liens que l'on pourrait mettre dans les ENT (nous n'en avons pas encore... ouf!) vers les seuls sites "gouvernementaux", en excluant donc les sites persos des profs... La chose n'est pas claire du tout...

Bref l'informatisation dans l'EN ne remplace pas de façon efficace des procédures archaïques mais s'y superpose, rajoutant un étage "numérique" dévoreur de temps à un ensemble déjà passablement chargé....
 
C'est peut être aussi qu'avant le supérieur, les élèves n'on t pas le choix, et prennent ce qu'on leur fournit...
Sinon pour pronote, via le web cela fonctionne bien pour les bulletins.
Mais il y a un problème: mon administration me "met la pression" pour que rentre toutes mes notes sous pronote (je ne rentrais jusque là que la moyenne, avant les conseils).
Si je fais cela, comme je ne vais pas le faire "en plus" de mes propres relevés (le "gratos pro deo", cela commence à faire), cela signifie que je ne disposerai plus des notes de mes élèves: je ne saurais plus qui progresse, qui ne progresse pas... et même au moment de remplir les bulletins pronote ne me donne que la moyenne, pas la suite des notes...

Avec pronote (et plus généralement les "zenvironnements numériques de travail" tels que définis par l'EN) l'administratif prend définitivement le pas sur l'enseignant qui ne dispose plus a volonté des informations indispensables pour sa classe, celles ci étant détenues (dans tous els sens du terme) par l'administration. Si je rencontre un parent, je dois lui dire que j'ignore totalement le niveau et les progrès de son enfant, à moins d'avoir a portée de main un PCwinwin relié au réseau, qui après 10 min et 4 codes, pourra éventuellement me fournir les infos nécessaires.

Dans la même veine, lors d'une (indispensable) réunion, j'ai entendu dans le demi-sommeil de ma raison inhérent à ce genre de figures imposées que notre administration commençait à vouloir "sévérement borner" les liens que l'on pourrait mettre dans les ENT (nous n'en avons pas encore... ouf!) vers les seuls sites "gouvernementaux", en excluant donc les sites persos des profs... La chose n'est pas claire du tout...

Bref l'informatisation dans l'EN ne remplace pas de façon efficace des procédures archaïques mais s'y superpose, rajoutant un étage "numérique" dévoreur de temps à un ensemble déjà passablement chargé....

Je n'ai jamais utilisé ProNotes mais il doit bien y avoir un carnet de notes qui te permet de surveiller la progression de tes élèves? Et il doit être possible d'exporter ce carnet de notes en PDF ou de l'imprimer afin de mieux aborder une rencontre avec les parents. Si ce n'est pas le cas, c'est effectivement pas terrible ... (en même temps, je suis revenue au carnet "papier" en plus du relevé en ligne ... souvenir de bugs et notes qui disparaissent ...)

Elles sont basées sur quoi tes stats ?
Expérience personnelle (mais pas représentative) : équipe de segpa, 12 personnes, 3 macs (MbP de différentes générations). Nous sommes pourtant des enseignants du primaire à la base, enseignant au collège. Mais nous sommes spécialisés, c'est peut-être ce qui nous rapproche du supérieur. :D

Oui mais je suppose que vous utilisez votre matériel personnel. J'ai peu de collègues qui utilisent leur ordinateur personnel . En général, ils passent par ceux fournis par l'établissement --> Windows only. (ce qui n'empêche pas certains d'utiliser un Mac à la maison).
 
Avec pronote (et plus généralement les "zenvironnements numériques de travail" tels que définis par l'EN) l'administratif prend définitivement le pas sur l'enseignant qui ne dispose plus a volonté des informations indispensables pour sa classe, celles ci étant détenues (dans tous els sens du terme) par l'administration. Si je rencontre un parent, je dois lui dire que j'ignore totalement le niveau et les progrès de son enfant, à moins d'avoir a portée de main un PCwinwin relié au réseau, qui après 10 min et 4 codes, pourra éventuellement me fournir les infos nécessaires.

Il est toujours possible d'imprimer. Mais cela contredit effectivement l'objectif sottement proclamé du "zéro papier". On finit par écrire les notes dans un carnet personnel, à l'ancienne, pour ensuite les saisir sur Pronote, avant d'imprimer le résultat, pour vérification et par prudence (on peut perdre son carnet, être victime d'un sinistre informatique, etc). Globalement, cela fait deux fois plus de papier. Quant à aller toujours davantage dans le contrôle et la domination de l'administration sur les enseignants... L'Éducation nationale n'a tout simplement pas d'autre dynamique ni d'autre rationalité. Courteline se cache dans tous les coins et recoins du Ministère, des rectorats, des établissements. Dans mon lycée, le désir du proviseur de vérifier plusieurs jours à l'avance les appréciations de synthèse rédigées par les PP (il a le syndrome de la mouche du coche et du petit inspecteur des travaux finis), a pour conséquence l'arrêt de la saisie des notes et des commentaires une semaine avant le conseil. Tout l'avantage que l'on pourrait retirer de l'usage de Pronote s'en trouve annulé.
 
Il est clair que l'impression papier va à l'encontre du principe de dématérialisation, d'où ma suggestion d'exporter en PDF ou d'enregistrer le carnet de notes. Mais cela signifie également que l'enseignant doit avoir un portable à sa disposition le jour où il reçoit les parents. Et comment fait-il si le Conseil Général ou l'établissement ne lui fournit pas de portable? Il se sert de son ordi perso évidemment (parce que tous les enseignants sont supposés avoir un ordi personnel et l'utiliser en classe, notamment pour de la vidéoprojection ... dixit certains inspecteurs ...) :(

Non seulement, le fardeau est de plus en plus lourd mais en plus, il faut banquer pour le porter ...:siffle:

Bon, je m'arrête là sinon je vais débuter une petite déprime du dimanche soir :D
 
Non seulement, le fardeau est de plus en plus lourd mais en plus, il faut banquer pour le porter ...:siffle:

Bon, je m'arrête là sinon je vais débuter une petite déprime du dimanche soir :D

:mouais: Avec le puissant antidépresseur de 11,6" que tu viens d'acheter chez le marchand de pommes du coin, je n'y crois pas du tout ! ;)
 
Je parlais des profs pour l'utilisation Mac/PC en Supérieur/Secondaire-Primaire ...;)

Sinon pour ce qui est de la saisie via ProNote (ou pire, Campus) : je sacrifie depuis déjà quelques années à la double (ou triple) saisie. Je sais, c'est très con, et Fatalis a raison de refuser de faire les deux.
On devrait tous le faire.

De toute façon ce qu'on devrait surtout faire c'est former un nouveau syndicat qui défendrait vraiment nos conditions de travail et l'enseignement en général.
Parce que là ça se barre en c... Le mot d'ordre c'est "diviser pour mieux régner".
Cf. le génial concept de "préfet des études" arrivant au collège : on est en train de créer des "super profs" qui super-viseront le boulot des autres en étant mieux payé et en se faisant décharger.
 
Cf. le génial concept de "préfet des études" arrivant au collège : on est en train de créer des "super profs" qui super-viseront le boulot des autres en étant mieux payé et en se faisant décharger.

C'est pour moi un éternel sujet d'insatisfaction: les "décharges"... Je considère qu'aucun prof ne devrait être dispensé de la noble tâche d'enseigner (et cela permettrai de faire "atterrir" certains IPR et autres donneurs de leçon), ne serais-ce qu'une heure par semaine...

Je doute que pronote connaissent l'export pdf. Par contre, une copie d'écran sur le mac avec la version web, peut s'envisager... mais ne permet pas d'informer le parent d'élève qui débarque de façon impromptue...

Sinon les ordis perso des profs (les seuls qui fonctionnent) sont dans mon établissement, en sciences, 50% mac (j'ai fait des convertis) et 50% PC (des netbooks pas cher, qui font leur ouvrage).
 
On peut faire une impression basique en .PDF depuis nos Mac (ou depuis un PC doté d'un PDF Creator ou autre, que ceux qui fournissent parfois des ordis devraient coller en série dessus). Mais effectivement c'est assez restreint.

En ce moment, je déconne un peu : je fais confiance à Bento pour mes notes (j'ai une base d'élèves, je colle les notes au fur et à mesure et j'exporte en ce que je veux)...
 
c'est former un nouveau syndicat qui défendrait vraiment nos conditions de travail et l'enseignement en général.
Ben jusqu'à maintenant, les conditions de travail n'étaient l'objet d'aucune commission, ni au niveau des établissements (même si évoqué dans les CA), ni au niveau des IA (aucune commission paritaire ad'hoc, il ne s'agissait que de CHS).
Donc "normal" que le côté conditions de travail ne soit pas abordé (sauf pour ce qui concerne la sécurité et l'hygiène).

Ca change depuis cette année, puisque les CHS deviennent CHSCT.
Les conditions de travail rentrent donc dans le champs de compétence de cette commission, tant au niveau des bahuts que des IA.
Les CHSCT académique se sont réunis pour la première fois en début de mois un peu partout, et cela sera suivi dans les départements et les établissements.

Siégeant à cette commission départementale, ainsi qu'au CA du clg de mon fils, on va voir ce que ça change et ce qui peut être bousculé... ;)
Y'a du boulot :mouais:

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Concernant ta remarque sur l'enseignement en général, je pense qu'en suivant les actions et les communiqués de presse des syndicats (mais dans le secondaire, c'est clairement moins "audible" que dans le primaire), la défense de l'enseignement est une préoccupation de base.
Le problème, c'est aussi que c'est aussi aux collègues de se remuer...
 
Le problème, c'est lorsqu'on ne se reconnaît plus dans aucun syndicat.
Quand les syndicats "de gauche" ressemblent à une annexe du PS (c'est pour dire) et tiennent un discours lénifiant quand ils ne soutiennent pas les "nécessaires transformations" de notre travail ... Quand on en est parfois à avoir l'impression qu'un syndicat dit de droite rue un peu plus dans les brancards ... Quand on passe notre temps à entendre :"il faut faire grève pour les retraites" et autres choses, peut-être importantes alors que notre travail se fait laminer un peu plus tous les jours...

C'est un peu facile de dire "il faut se bouger": on n'est pas mal à en avoir marre de la manière dont on brade notre boulot, mais franchement, ça ne semble pas franchement intéresser les syndicats. Maintenant si c'était une question "technique" qui faisait qu'ils ne semblaient pas s'y intéresser...

J'ai vécu ça quand j'étais étudiant : les syndicats étudiants prenaient les gens pour des cons, partaient du principe qu'ils fallait les appâter avec de l'intérêt individuel (des questions de fric) et perdaient un nombre incroyable d'adhérents potentiels honnêtes en faisant ça.

Un peu aussi comme ce PS débranché qui persiste à proposer un accompagnement du néo-libéralisme alors qu'il faut lui faire face. On dit "les gens veulent", "les gens réclament" en s'appuyant sur des conneries de sondages et on se plaint de "les gens ne s'investissent pas" quand quelques jours dans une réunion d'un parti donne envie de se suicider tellement ils sont à côté de la plaque et qu'ils n'entendent rien.

Les syndicats sont de grosses machines en dehors du monde. En général quand on leur pose une question d'ordre général on obtient une réponse technique et administrative ... Apparemment le technique et l’administratif sont sur la bonne voie si je déchiffre bien ton post, Michio. Tant mieux...

---------- Nouveau message ajouté à 13h30 ---------- Le message précédent a été envoyé à 13h23 ----------

Florilège :
- Parlez de la question des contractuels à un syndicaliste, et calculez la vitesse à laquelle il regarde ailleurs.
- Essayez de discuter un peu sur les retraites et calculez la vitesse à laquelle il vous regarde de travers
- Entendu un jour (dans la bouche d'un responsable SNES) : "les profs sont des nantis"..
- Entendu encore de nombreuses fois : des critiques sur les comportements des profs tout à fait caricaturales, et devant les parents d'élèves ... rires de gens qui se sont entendus en rabaissant des collègues (pour des raisons éminemment discutables)
- Tendance à sanctifier la réunionite et la façon de bosser "prof de langues" pour tout le monde... (réunions et travail collectif)

J'ai parfois entendu des choses absolument scandaleuses sur des profs "de mauvaise volonté" chez des responsables syndicaux.
 
Le problème, c'est lorsqu'on ne se reconnaît plus dans aucun syndicat.
Quand les syndicats "de gauche" ressemblent à une annexe du PS (c'est pour dire) et tiennent un discours lénifiant quand ils ne soutiennent pas les "nécessaires transformations" de notre travail ... Quand on en est parfois à avoir l'impression qu'un syndicat dit de droite rue un peu plus dans les brancards ... Quand on passe notre temps à entendre :"il faut faire grève pour les retraites" et autres choses, peut-être importantes alors que notre travail se fait laminer un peu plus tous les jours...
C'est aussi ce que je voulais dire quand je parlais du second degré.
Sans vouloir critiquer les collègues du secondaire, dans le primaire, on a "l'avantage" d'être plus en contact de chaque gamin, et de connaître chaque famille (28 gamins, 28 familles, c'est plus facile que 150 gamins et la grille du collège / lycée à passer...)
Bref, l'avantage d'être un peu plus dans la société que le secondaire.
D'où notre rapport à la société différent.
Les préoccupations professionnelles du primaire sont également différentes de celles du secondaire : 60% des demandes de liquidations de retraites en 2009 étaient frappées de décote (départ des instits à 55 ans).
Elu du Snuipp, je côtoie quelques collègues du Snes lors de mon jour de décharge... je ne partage pas nécessairement tous leurs points de vue, alors que nous sommes dans la même grosse barque FSU.
Comme tu le dis, selon les syndicats (je parle toujours du secondaire), les discours lénifiants, ou au contraire, révolutionnaires, ou "réformistes" sont aussi stériles les uns que les autres. Les rapports aux instances décisionnelles y sont aussi pour quelque chose (le 1er degré passe directement devant l'IA quand le secondaire passe par le filtre du principal pour pas mal de décisions).

C'est un peu facile de dire "il faut se bouger": on n'est pas mal à en avoir marre de la manière dont on brade notre boulot, mais franchement, ça ne semble pas franchement intéresser les syndicats. Maintenant si c'était une question "technique" qui faisait qu'ils ne semblaient pas s'y intéresser...
C'est une question technique, mais aussi une question de personne. Il y a, comme partout, des bons et des pas bons. Ceux qui donnent le bon conseil, et les autres (exemple d'actualité : le départ en retraite des collègues femme ayant plus de 15 ans de service comme instit et trois enfants, nés après 1961... La plupart doivent partir maintenant, à 48 ans, 47 ans, sous peine de ne pas pouvoir partir avant 15 ans... pour toucher une retraite supérieure de ... 150 euros).
Après, il faut que les personnes qui siègent dans les commissions paritaires préparent leurs dossiers, connaissent les problématiques, parce que le côté technique est incontournable (connaître les textes, connaître les pratiques, ...). Et ce n'est pas toujours le cas.
 
Je n'ai pas parlé de stats. C'est ce que je ne cesse de voir, c'est tout.

Comme moi en fait.
A la relecture, je m'aperçois qu'un petit smiley "humour" manquait dans mon message et lui donnait un "ton" un peu trop sec, voire agressif. Désolé. ;)

---------- Nouveau message ajouté à 21h05 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h02 ----------

Oui mais je suppose que vous utilisez votre matériel personnel. J'ai peu de collègues qui utilisent leur ordinateur personnel . En général, ils passent par ceux fournis par l'établissement --> Windows only. (ce qui n'empêche pas certains d'utiliser un Mac à la maison).

Oui, ce sont nos ordis perso, évidemment. :rolleyes:
Ceci dit, il faudrait me payer cher pour utiliser un pc, même au boulot. :rateau:

---------- Nouveau message ajouté à 21h11 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h05 ----------

Cf. le génial concept de "préfet des études" arrivant au collège : on est en train de créer des "super profs" qui super-viseront le boulot des autres en étant mieux payé et en se faisant décharger.

Je n'ai pas entendu parler de ça.
Ça a l'air intéressant ça ! :D
 
Je n'ai pas entendu parler de ça.
Ça a l'air intéressant ça ! :D

Dans la foulée des nouveaux dispositifs à la con ... Ce qui nous attend tous dans pas longtemps...
 
Super-prof chargé de superviser le boulot des autres ?

Traduction française : lèche-bottes stipendié de l'administration, chargé de fliquer ses pairs et de pondre des rapports sur leur efficacité/dévouement/servilité ("comment ça, tu refuses de lire la lettre de Guy Môquet ?"), moyennant une indemnité de trente pièces de ce type :

tibredenierg.png
 
On peut se les faire enlever, c'est même obligatoire...
Pour les femmes par contre, il y a une pose nécessaire ...
 
Ouais, mais ton profil ne correspond pas : faut pas de couilles :rateau:

Ma réputation me précède. :D

Tiens, sinon, ce matin, un mot dans un carnet de liaison me disant que l'élève que j'avais puni la veille ne ferais pas la punition que je lui ai donné et qu'il faudrait que j'arrête de m'acharner sur lui, parce qu'il ne vient pas au collège pour recevoir des punitions. S'en suit une demande de rendez-vous pour mettre les choses au clair. Dont acte. Je pense leur faire signer une décharge me dégageant de toutes responsabilité en cas d'échec futur de leur gamin, en tant qu'élève et en tant que citoyen. :mad: