Pour les profs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Lamar
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Tutafait d'accord !!! Horaires de nordiss ...
 
Le propre du mythe, surtout dans l'E.N., n'est il pas toujours de survivre à la démonstration de son impossible incarnation ? ;)
 
Comme c'est bien dit ! :love:

20 000 fonctionnaires perdus/retrouvés, ça représente à peu près l'effectif de trois légions romaines : "Varus, rends-moi mes légions !".
 
Moi qui tend à opposer le démocrate et le démagogue par cette formule : "le démocrate s'adresse à chacun et le démagogue parle au nom de tous"' me voilà bien ennuyé, dépassé par la droite par cette formule du "pour chacun" opposé au "pour tous". Il y a, en effet depuis peu, paraît-il une "culture pour chacun", joliment étiquettée par quelque boîte de com d'un magnifique "CPC". *Si je relis les textes de nos grands pedagogistes, je vais sans doute voir fleurir des "cultures pour chacun" et des "éducations pour chacun".

Comme quoi tout est une question de contexte : si nous n'avons plus affaire un jour qu'à des "émetteurs" laconiques (pauvres Spartiates, méritaient-ils cela ?) pour "récepteurs"pressés nous ne dirons plus rien et n'entendrons pas davantage.*
Mon cher "le démocrate s'adresse à chacun" peut donc tout aussi bien être mal compris et mal utilisé. Si, en effet, il est *utilisé par des communiquants démagogiques il deviendra : la démocratie, vous le valez bien. La démocratie, c'est les droits de chacun et donc vos droits : réclamez vos droits, tous vos droits, grâce à DPC ! (oui, n'oublions pas que les communiquants en chef sont souvent d'ex-meneurs de "manifs".*
Mais quand je dis que la démocratie est l'affaire de chacun, ce n'est pas pour dire qu'elle doit s'intéresser à chacun mais pour rappeler *que chacun doit s'y intéresser. Qu'est-ce qu'une démocratie à laquelle personne ne s'intéresse ? une démocratie morte, comme le montre Rousseau, autre idole malmenée et déformée par nos chers pédagogistes (dont ils se réclament explicitement, eux, ce qui n'est pas le cas des communiquants faisant de la (mauvaise) rhétorique lacédémonienne sans le savoir).*

Que dire de la future (suis-je optimiste? Ai-je vraiment devancé nos faiseurs de "concepts" iufmeux ou m'ont-ils déjà pris de court ?) Éducation Pour Chacun qui est déjà en application dans moult écoles ? Qu'a priori ne ne suis pas contre le fait d' "individualiser" mon enseignement, mais que dans ce cas il va falloir penser sérieusement à me fournir les effectifs qui vont avec, et me dégager des heures en prime pour réfléchir aux nouvelle pratiques pédagogiques (NPP?) qui vont devoir aller avec aussi ? Comme ça ne sera pas le cas, il faudra donc bien y voir une double arnaque : d'un côté on dégrade terriblement mes conditions de travail (et encore ai-je la chance insigne de ne pas être -pour le moment- sur plusieurs établissements ou muté à Tatooine-sur-Somme - avec des horaires acceptables ... par un natif du village résidant à 5mn à pied de l'établissement), et de l'autre on "vend" aux parents d'élèves un parcours et une pédagogie à la carte qu'on n'a pas les moyens d'assurer avec le ratio profs/élèves qu'on a .. et qu'on ne gardera même pas, d'ailleurs...*

Je sais bien que nous ne sommes pas les seuls à voir nos conditions de travail régresser et être contraints de vendre du vent assorti de boulot mal fait, mais, étrangement, ce genre de constat ne m'a jamais consolé. * *

Note : les petites étoiles, ca doit être des espaces insécables qui ont été sublimés par le formulaire. Je laisse : je trouve ça joli (ou j'ai la flemme, comme vous voulez).
 
Moi qui tend à opposer le démocrate et le démagogue par cette formule : "le démocrate s'adresse à chacun et le démagogue parle au nom de tous"' me voilà bien ennuyé, dépassé par la droite par cette formule du "pour chacun" opposé au "pour tous". Il y a, en effet depuis peu, paraît-il une "culture pour chacun", joliment étiquettée par quelque boîte de com d'un magnifique "CPC". *Si je relis les textes de nos grands pedagogistes, je vais sans doute voir fleurir des "cultures pour chacun" et des "éducations pour chacun".

Comme quoi tout est une question de contexte : si nous n'avons plus affaire un jour qu'à des "émetteurs" laconiques (pauvres Spartiates, méritaient-ils cela ?) pour "récepteurs"pressés nous ne dirons plus rien et n'entendrons pas davantage.*
Mon cher "le démocrate s'adresse à chacun" peut donc tout aussi bien être mal compris et mal utilisé. Si, en effet, il est *utilisé par des communiquants démagogiques il deviendra : la démocratie, vous le valez bien. La démocratie, c'est les droits de chacun et donc vos droits : réclamez vos droits, tous vos droits, grâce à DPC ! (oui, n'oublions pas que les communiquants en chef sont souvent d'ex-meneurs de "manifs".*
Mais quand je dis que la démocratie est l'affaire de chacun, ce n'est pas pour dire qu'elle doit s'intéresser à chacun mais pour rappeler *que chacun doit s'y intéresser. Qu'est-ce qu'une démocratie à laquelle personne ne s'intéresse ? une démocratie morte, comme le montre Rousseau, autre idole malmenée et déformée par nos chers pédagogistes (dont ils se réclament explicitement, eux, ce qui n'est pas le cas des communiquants faisant de la (mauvaise) rhétorique lacédémonienne sans le savoir).*

Que dire de la future (suis-je optimiste? Ai-je vraiment devancé nos faiseurs de "concepts" iufmeux ou m'ont-ils déjà pris de court ?) Éducation Pour Chacun qui est déjà en application dans moult écoles ? Qu'a priori ne ne suis pas contre le fait d' "individualiser" mon enseignement, mais que dans ce cas il va falloir penser sérieusement à me fournir les effectifs qui vont avec, et me dégager des heures en prime pour réfléchir aux nouvelle pratiques pédagogiques (NPP?) qui vont devoir aller avec aussi ? Comme ça ne sera pas le cas, il faudra donc bien y voir une double arnaque : d'un côté on dégrade terriblement mes conditions de travail (et encore ai-je la chance insigne de ne pas être -pour le moment- sur plusieurs établissements ou muté à Tatooine-sur-Somme - avec des horaires acceptables ... par un natif du village résidant à 5mn à pied de l'établissement), et de l'autre on "vend" aux parents d'élèves un parcours et une pédagogie à la carte qu'on n'a pas les moyens d'assurer avec le ratio profs/élèves qu'on a .. et qu'on ne gardera même pas, d'ailleurs...*

Je sais bien que nous ne sommes pas les seuls à voir nos conditions de travail régresser et être contraints de vendre du vent assorti de boulot mal fait, mais, étrangement, ce genre de constat ne m'a jamais consolé. * *

Ben tu sais, dans l'état actuel de l'avancement de la science, la démocratie à beau être le meilleur système possible, dans l'absolu, elle reste un très mauvais système, du fait qu'elle est très facile à confisquer au seul profit d'une classe de privilégiés, d'une part (il n'y a qu'à voir la république bananière qu'est devenue la France depuis 2007 :siffle:), et que, lorsque ça n'est pas le cas (lorsqu'elle n'est pas confisquée …), elle revient à demander aux peuples leur avis sur des questions dont la majorité des individus les constituant ne comprennent pas le premier mot (et je ne te parle même pas des "intérêts catégoriels") !

Cela dit, tu ne voudrais quand même pas que nos chers dirigeants diminuent leur train de maison (payé … Grassement, par nos soins, à nous, contribuables) pour qu'on embauche des profs, quand même ? Que deviendraient ils sans ces 50 ou 60 personnes (par tête) en permanence à l'affût de leur moindre besoin à satisfaire ? tu te rends pas compte ? ils devraient faire certaines choses eux même, tu conviendras avec moi que ça serait intolérable ! :hein:

:D
 
Il est toujours étrange de voir d'authentiques privilégiés "que c'est nous qu'on les payent" pointer du doigts comme privilégiés les armées de l'ombre qui ont déjà payés très chers la fameuse sécurité de l'emploi. Rappelons que la Republique Francaise censée garantir un "droit à l'emploi" n'est hors des clous que lorsqu'elle emploie elle-même des sous-contrats super-precaires ...Ce que bien sûr elle ne fait pas ... La garantie de l'emploi est un droit, voilà qu'elle devient un privilège !
 
elle est très facile à confisquer au seul profit d'une classe de privilégiés, d'une part (il n'y a qu'à voir la république bananière qu'est devenue la France depuis 2007 :siffle:), et que, lorsque ça n'est pas le cas (lorsqu'elle n'est pas confisquée …), elle revient à demander aux peuples leur avis sur des questions dont la majorité des individus les constituant ne comprennent pas le premier mot
Euh, Pascal, tu oublies le cas où la classe privilégiée, qui a confisqué le pouvoir, demande son avis au peuple* qui forcément se trompe dans sa réponse ; elle se réunit entre elle alors en disant qu'ils font un Congrès qui lui, va prendre la bonne décision... :hein:



*"peuple, populace, pitoyable troupeau de péquenots, tu pues, pollues et me répugnes"... les Inconnus ;) Chacun sa culture :D
 
SOS Prof en détresse !

Un prof en détresse ? :heu:

PLÉONASME, subst. masc.
LING., STYL. Terme ou expression qui ajoute une répétition (consciente ou inconsciente) à ce qui a été énoncé. Synon. battologie, périssologie, tautologie. Les expressions «je l'ai vu de mes yeux, entendu de mes oreilles» sont des pléonasmes admis et fort usités. Quand le pléonasme n'ajoute rien à la force ou la grâce du discours, il est vicieux (Ac. 1935). Lequel, laquelle, duquel, de laquelle, etc., ne sont autre chose que qui, dont et que, auxquels on a attaché, par pléonasme, l'article le qu'ils renferment déjà (DESTUTT DE TR., Idéol. 2, 1803, p.152). Il y a (...) une histoire sociale, médiocre, mais qui ne trouverait guère à s'enrichir au contact des mauvaises études de la sociologie typologique (pour ne pas dire ce qui serait pléonasme: la sociologie sociale) (Traité sociol., 1967, p.89).
Parfois p.plaisant. [À propos d'un terme ou d'une expr. que l'on feint de considérer comme superflu ou répétitif] Un homme de lettres et d'esprit (il n'y a pas là de pléonasme) eut, il y a quelques années, l'idée ingénieuse de composer une histoire de France en chansons (JOUY, Hermite, t.4, 1813, p.258).
P. métaph. V. brique ex. 2.
Prononc. et Orth.: []. Ac. 1694 et 1718: pleo-; dep. 1740: pléo-. Étymol. et Hist. 1610 (P. COTON, Institution catholique, I, 49 ds R. Philol. fr. t.43, p.131). Empr. au b. lat. gramm. pleonasmus, -i «id.» (Ves.), du gr. «id.», d'abord «surabondance, excès», dér. de «être surabondant, amplifier», de neutre de compar. de . Cf. en m. fr. la forme gr. Pleonasmos au sens mod., empl. au XVIes. par FABRI (Rhetor., l. I, p.192 ds HUG.) et pleonasme 1571 (J. LEBON, Etymologic. franc. de l'Hetropolitain, fo 4 vo ds GDF. Compl.: Nous procopons, syncopons, et apocopons (semble plus de raison) les vocables latins, grecs et estrangers, en les affranchissant, et les rendant quasi tous monosyllabes et pleonasmes, sine arte et ratione), et au sens «addition d'une ou de plusieurs lettres dans l'intérieur d'un mot» (MONTLYART, Hierogl., p.344, éd. 1615, ibid.). Fréq. abs. littér.: 30.
DÉR. Pléonastique, adj., ling., styl. Relatif au pléonasme; qui constitue un pléonasme. Emploi, expression, forme, tour pléonastique. Une suite de mots est pléonastique dès que les éléments d'expression sont plus nombreux que ne l'exige l'expression d'un contenu déterminé (Ling. 1972, s.v. pléonasme). []. 1re attest. 1842 (Ac. Compl.); de pléonasme, p.substitution du suff. -atique* à -asme*. Cf. l'angl. pleonastic de même sens dep. 1778 ds NED.
BBG. SCHMITT (Ch.) Gräkomane Sprachstreitschriften als Quelle für die französische Lexikographie. In: [Mél. Baldinger (K.)]. Tübingen, 1979, p.606.
 
Un prof en détresse ? :heu:

PLÉONASME, subst. masc.
LING., STYL. Terme ou expression qui ajoute une répétition (consciente ou inconsciente) à ce qui a été énoncé. Synon. battologie, périssologie, tautologie. Les expressions «je l'ai vu de mes yeux, entendu de mes oreilles» sont des pléonasmes admis et fort usités. Quand le pléonasme n'ajoute rien à la force ou la grâce du discours, il est vicieux (Ac. 1935). Lequel, laquelle, duquel, de laquelle, etc., ne sont autre chose que qui, dont et que, auxquels on a attaché, par pléonasme, l'article le qu'ils renferment déjà (DESTUTT DE TR., Idéol. 2, 1803, p.152). Il y a (...) une histoire sociale, médiocre, mais qui ne trouverait guère à s'enrichir au contact des mauvaises études de la sociologie typologique (pour ne pas dire ce qui serait pléonasme: la sociologie sociale) (Traité sociol., 1967, p.89).
Parfois p.plaisant. [À propos d'un terme ou d'une expr. que l'on feint de considérer comme superflu ou répétitif] Un homme de lettres et d'esprit (il n'y a pas là de pléonasme) eut, il y a quelques années, l'idée ingénieuse de composer une histoire de France en chansons (JOUY, Hermite, t.4, 1813, p.258).
P. métaph. V. brique ex. 2.
Prononc. et Orth.: []. Ac. 1694 et 1718: pleo-; dep. 1740: pléo-. Étymol. et Hist. 1610 (P. COTON, Institution catholique, I, 49 ds R. Philol. fr. t.43, p.131). Empr. au b. lat. gramm. pleonasmus, -i «id.» (Ves.), du gr. «id.», d'abord «surabondance, excès», dér. de «être surabondant, amplifier», de neutre de compar. de . Cf. en m. fr. la forme gr. Pleonasmos au sens mod., empl. au XVIes. par FABRI (Rhetor., l. I, p.192 ds HUG.) et pleonasme 1571 (J. LEBON, Etymologic. franc. de l'Hetropolitain, fo 4 vo ds GDF. Compl.: Nous procopons, syncopons, et apocopons (semble plus de raison) les vocables latins, grecs et estrangers, en les affranchissant, et les rendant quasi tous monosyllabes et pleonasmes, sine arte et ratione), et au sens «addition d'une ou de plusieurs lettres dans l'intérieur d'un mot» (MONTLYART, Hierogl., p.344, éd. 1615, ibid.). Fréq. abs. littér.: 30.
DÉR. Pléonastique, adj., ling., styl. Relatif au pléonasme; qui constitue un pléonasme. Emploi, expression, forme, tour pléonastique. Une suite de mots est pléonastique dès que les éléments d'expression sont plus nombreux que ne l'exige l'expression d'un contenu déterminé (Ling. 1972, s.v. pléonasme). []. 1re attest. 1842 (Ac. Compl.); de pléonasme, p.substitution du suff. -atique* à -asme*. Cf. l'angl. pleonastic de même sens dep. 1778 ds NED.
BBG. SCHMITT (Ch.) Gräkomane Sprachstreitschriften als Quelle für die französische Lexikographie. In: [Mél. Baldinger (K.)]. Tübingen, 1979, p.606.

Ben … Tu oublies l'enseignement privé ! Pis on sait pas, c'est peut être un suisse :siffle:

:D
 
Oh ! À mon humble avis, ça doit être un pléonasme aussi dans le privé... enfin, je ne sais pas ...
Elle est belle en tout cas...:D
 
Je viens coup sur coup de repérer deux infos utiles sur l'ipad:

1 - les colléges de Corrèze dotés en ipad, ainsi que les profs. Une expérience en vrai grandeur à suivre (espérons que le responsable prenne la peine de suivre l'invitation de Lamar et de venir nous en causer céans).

2 - Apparemment, le futur keynote serait capable de streamer ses présentations sur l'apple TV via wifi. Dans ce cas, un apple TV branché sur un videoprojecteur permettrait de diffuser:
- les films d'un mac, sans avoir à le brancher
- les présentations keynote contrôlées depuis l'ipad, sans fil à la patte....

à suivre...
 
J'avais noté aussi l'info sur les 3300 ipads distribués par le Conseil Général de Corrèze. Il m'a fallu quelques secondes pour saisir que ce n'était pas une blague... Espérons qu'il ne s'agira pas que d'un coup d'épée dans l'eau.
 
2 - Apparemment, le futur keynote serait capable de streamer ses présentations sur l'apple TV via wifi. Dans ce cas, un apple TV branché sur un videoprojecteur permettrait de diffuser:
- les films d'un mac, sans avoir à le brancher
- les présentations keynote contrôlées depuis l'ipad, sans fil à la patte....
C'est sans compter avec les anti-ondes-en-tous-genres... :rateau: ... ou alors dire qu'ils sont reliés par dentbleue :siffle:

Mais j'aime bien l'idée quand même :up:


Père Noël, si tu m'entends de chez les Bisounours...;)
 
Je viens coup sur coup de repérer deux infos utiles sur l'ipad:

1 - les colléges de Corrèze dotés en ipad, ainsi que les profs. Une expérience en vrai grandeur à suivre (espérons que le responsable prenne la peine de suivre l'invitation de Lamar et de venir nous en causer céans).

2 - Apparemment, le futur keynote serait capable de streamer ses présentations sur l'apple TV via wifi. Dans ce cas, un apple TV branché sur un videoprojecteur permettrait de diffuser:
- les films d'un mac, sans avoir à le brancher
- les présentations keynote contrôlées depuis l'ipad, sans fil à la patte....

à suivre...

Encore ne faut-il pas s'occuper de gamins, ce qui te met en situation selon certains de nos employeurs de ne pas avoir droit à la wifi, "puisque les gamins ne l'ont pas"...
 
Salut à tous,

j'espère que le responsable du projet iPad au CG19 va venir participer à nos discussions, j'ai pas mal de choses à lui demander (et je ne pense pas être le seul ici). Je lui ai envoyé un message par l'intermédiaire de MacGé, mais je ne sais pas si cela suffira.

J'en profite pour vous poser une petite question :
depuis plus de deux ans, j'utilise un videoprojecteur qui m'appartient, exclusivement en classe. De cette façon je ne monopolise pas l'un des rares videoproj disponibles dans le collège et je ne suis pas dépendant d'un matériel en panne, perdu ou réservé par d'autres.
Ce matin j'ai demandé si le collège accepterait de payer le remplacement de ma lampe lorsque celle-ci viendrait à me lacher. La réponse négative n'a pas tardé. On m'a conseillé de profiter de la prochaine dotation (trois videoproj supplémentaires), pour remplacer mon videoproj par un du collège (ce qui en fera un de moins dans la rotation). Je trouve cela dommage, mais j'aimerais avoir des avis de collègues. Alors, qu'en pensez-vous ?
 
Salut à tous,

j'espère que le responsable du projet iPad au CG19 va venir participer à nos discussions, j'ai pas mal de choses à lui demander (et je ne pense pas être le seul ici). Je lui ai envoyé un message par l'intermédiaire de MacGé, mais je ne sais pas si cela suffira.

J'en profite pour vous poser une petite question :
depuis plus de deux ans, j'utilise un videoprojecteur qui m'appartient, exclusivement en classe. De cette façon je ne monopolise pas l'un des rares videoproj disponibles dans le collège et je ne suis pas dépendant d'un matériel en panne, perdu ou réservé par d'autres.
Ce matin j'ai demandé si le collège accepterait de payer le remplacement de ma lampe lorsque celle-ci viendrait à me lacher. La réponse négative n'a pas tardé. On m'a conseillé de profiter de la prochaine dotation (trois videoproj supplémentaires), pour remplacer mon videoproj par un du collège (ce qui en fera un de moins dans la rotation). Je trouve cela dommage, mais j'aimerais avoir des avis de collègues. Alors, qu'en pensez-vous ?
Echange ta lampe avec une de celle du collège :siffle:

Plus sérieusement : prends un des rétros du collège.