[PRO] résolution minimum d'une image pour impression offset

kentuky bird

Membre enregistré
26 Décembre 2007
3
0
Bonsoir,
je m'adresse ici plus au imprimeur, je sais qu'il y en a, mais toutes suggestions, conseils avisés ou experience vecue est la bien venue.
quelqu'un peut il me dire qu'elle est la resolution mini-minimum d'une image (EPS PHOTOSHOP, TIFF) pour une impression offset.
pour une image à 100% dans Xpress, jusqu'à combien je peux descendre pour avoir une impression de qualité acceptable.
je ne blame pas les redacteurs en chef, ils ne sont généralement pas sensibilisés à ce genre de problematique, quand on valide à l'écran (pdf basse def) tout est toujours plus "beau".
je cherche juste à savoir jusqu'ou on peut repousser les limites techniques avec des documents (images) fournis qui ne sont pas toujours de bonne qualité (définition).

merci de m'éclairer

kb
 
La netteté d'une image, c'est la quantité d'information qu'elle contient.
C'est à dire le nombre de pixel "originaux".
Si vous ré-échantillonnez, vous créez artificiellement du volume, mais pas de l'information.
En offset, comme on reproduit à peu près ce que vous donnez, sans destruction de tons de gris, vous pouvez vous permettre de ré échantillonner "un peu". Mais pas en sérigraphie, ou on détruit du "ton de gris". Un original médiocre restera médiocre en offset (ou en numérique), mais sera restitué carrément "mauvais" en sérigraphie.
Le problème, c'est quand vos documents viennent de bric et de broc, avec notamment des images récupérées sur le net et d'autres originales. Quand on touille tout ça, le résultat est souvent décevant, alors qu'à l'écran, ça semblait convenable.
 
Salut,
perso j'ai essaye comme dans l'initule et ca fonctionne tres bien

1 - reechantillonage de l'image sous photoshop 30 % plus grand
(exemple : image a 10 cm à 300 dpi > passer a 13 a 300 Dpi),
l'image ne sera pas pixellisee mais elle sera un peu lissée,
apres un petit coup d'accentuation, c'est quasiment ni vu ni connu...
(saut si tu as tu texte dans ton visuel...)

2 - mise a l'echelle de cette image a 130 % dans Xpress.
A cette echelle, il n'y a pas d'apparition de pixels.

tu obtiens un image propre a environ 16 cm pour un original à 10.

PS : si tu passes de 10 a 16 en reechantillonage, l'image sera floue.
si tu mets l'image a 160 % dans XP, ca pixellisera.
 
Perso une image à 300 dpi je la pousse jusqu'a 140% grand max dans xpress/indesign mais en fait il n'y a pas de régles car cela dépend de chaque image : il faut faire un cromalin pour voir.
 
mais en fait il n'y a pas de régles car cela dépend de chaque image
Non, tout faux : il y a des règles, et ça dépend du procédé d'impression et de l'image...

... alors quand vous répondez à une question sensible, essayez d'y répondre correctement et complètement

300 dpi, 130% max, ça fonctionne pour une impression offset, en trame 150 lpi, pour des images contone.
Pour une impression numérique d'une image contone, ça ne convient pas. Pour une impression offset d'une image au trait, ça ne convient pas non plus.


En offset, ou sérigraphie, il faut :

• des résolutions de sortie égales à 1,5 à 2 fois la linéature d'impression pour des images contones :
- 1,5 à 1,7 fois la linéature au dessus de 133 lpi, mais 2 est toléré et permet d'agrandir jusqu'à 133% (pas 140...)
- 2 fois la linéature à 133 lpi et en-dessous.

• une résolution de sortie à 1200 dpi pour du trait en offset.


En numérique jet-d'encre, la base est à 150 lpi pour du contone, 600 pour du trait.

(toujours résolution de sortie... donc il faut commencer par apprendre ce qu'est une résolution de sortie !)



il faut faire un cromalin pour voir.
Re tout faux : ça c'est la conneries à ne pas faire... car aujourd'hui les chromalins sont faits avec des imprimantes jet-d'encre, donc avec un système qui n'a pas besoin de la même résolution qu'une impression offset ou sérigraphie, et donc qui donnera un résultat différent de l'impression finale...

... à 100 dpi, une imprimante jet-d'encre sort quelquechose de correct, alors qu'en offset c'est pourri...
 
ok ok monsieur je suis nul et t'as tout compris, désolé

je continue quand même a croire à ce que j'ai dit :

— ça dépend de chaque photo BIENSUR, certaines images supportent très bien d'être imprimé à 140% et d'autres non (certain vont même au delà…). Si tu n'as jamais remarqué, fais toi une faveur et achète toi des lunettes de vue.

De plus il faudrait savoir de quoi on parle : photographies ? couleur ? illustration ? magazine ? journal ? plaquette ? livre d'art ?

Puisque tu veux rentrer dans des aspects techniques, je suis incroyablement surpris que tu ne parles pas du rôle du papier, qui est un élément qui peut tout changer en la matière…

— je te conseille de changer ton fournisseur de Cromalins.
 
car aujourd'hui les chromalins sont faits avec des imprimantes jet-d'encre, donc avec un système qui n'a pas besoin de la même résolution qu'une impression offset ou sérigraphie, et donc qui donnera un résultat différent de l'impression finale...

Il y a confusion entre chromalin et épreuvage, l'épreuvage peut se faire en chromalin ou autrement, le chromalin est un chromalin (c'est une marque déposée, d'où le nom).

:up:
 
— ça dépend de chaque photo BIENSUR, certaines images supportent très bien d'être imprimé à 140% et d'autres non
Non, la possibilité d'utilisation d'une résolution de sortie dépend du procédé d'impression et de la linéature de trame.

300 dpi à 140%, ça fait une résolution de sortie de 214 dpi :
- ça suffit largement pour une impression offset en trame 100lpi (puisqu'il aurait fallu 200 dpi),
- c'est un peu juste pour une impression offset en trame 150 lpi (225 dpi théorique mini),
- c'est insuffisant pour une impression offset en trame 175 (262 dpi) ou 200 lpi (300 dpi),
- et c'est largement trop pour une impression numérique jet-d'encre qui se contente de 150 dpi...

... mais tu crois ce que tu veux !!!



(certain vont même au delà…).
Oui, et ce sont en général les mêmes qui n'ont pas compris ce qu'est une résolution, et encore moins ce qu'est une résolution de sortie..., et qui croient à tort qu'une image à 300 dpi reste à 300 dpi à l'impression même si elle est agrandie 4 fois...

... le genre qui font une affiche au quart avec une image à 300 dpi agrandie à 120 % dans son bloc d'image "parceque ça fait une image moins lourde", et qui ne comprennent pas pourquoi c'est tout pixellisé à l'impression offset trame 175 lpi... : ben , c'est normal, ça fait une résolution de sortie de 62,5 dpi... et c'est 3 fois en-dessous de la très extrême limite !



Dans l'absolu, la très extrême limite, c'est d'avoir une résolution de sortie égale à la linéature d'impression... ça marche, mais ce n'est pas recommandé... car, surtout, pour faire ce genre de bidouillage à la limite du possible, il vaut mieux bien savoir ce que l'on fait, et donc bien savoir calculer sa résolution réelle de sortie finale pour ne pas descendre en-dessous de la limite...

... sinon, quand on ne sait pas, il vaut mieux rester dans les standards, qui ont l'avantage d'offrir une marge de sécurité suffisante pour avoir un résultat correct : l'image contone à 300 dpi avec un agrandissement maximum de 133,3 % (allez, je t'accorde 140%) est un de ces standards, défini à l'époque où les imprimeurs travaillaient en trame 150 lpi, et qui permettait de laisser une marge d'agrandissement sans risquer de dégrader la qualité d'impression et sans avoir besoin de savoir calculer la vraie résolution de sortie...

... mais il n'est plus valable aujourd'hui où la majorité des imprimeurs travaillent en trame 175 lpi : pour conserver la même sécurité avec une trame 175 lpi, tu n'as plus droit qu'à un agrandissement à 115%. (ça se calcule !!!)



ok ok monsieur je suis nul et t'as tout compris, désolé
Non, j'ai tout simplement appris mon métier (et j'ai compris ce que j'ai appris).




AbracadabraPDF a dit:
le chromalin est un chromalin (c'est une marque déposée, d'où le nom).
Oui, tu as raison, mais l'époque du vrai Chromalin (avec films et poudre) est aujourd'hui révolue...
... et maintenant, un "chromalin" est devenu une impression jet-d'encre (certains parlent de "chromalin numérique"...), donc une "épreuve" qui souvent ne reproduit plus réellement le résultat imprimé, notamment au niveau du tramage (et des problèmes de résolution et de types d'image qui vont avec).
 
Perso une image à 300 dpi je la pousse jusqu'a 140% grand max dans xpress/indesign mais en fait il n'y a pas de régles car cela dépend de chaque image : il faut faire un cromalin pour voir.

Oui, si tu regarde dans la palette Informations de InDesign CS2/CS3 (en attendant qu'XPress s'y mette) la résolution effective (ppp effectifs) d'une image (originellement fixée à 300 ppp dans Photoshop) agrandie à 130% est de 231 ppp. (Ce qu'un simple calcul suffit aussi à montrer)

Si on tient compte de la règle communément admise selon laquelle au minimum : résolution = linéature X 1,5, cela convient très bien puisqu'une linéature de 150 lpp X 1,5 = 225ppp minimum.

Si on imprime avec une linéature de 133 lpp, on peut très bien agrandir une image (originellement fixée à 300 ppp dans Photoshop) jusqu'à 140 % puisque sa résolution effective est alors de 214 ppp, et que cette même règle nous donne dans ce cas une résolution minimale de 199,5 ppp (disons 200 ;-)).

Si on imprime avec une linéature de 175 lpp, cette même règle nous donne un seuil minimal de 262,5 ppp (que l'on peut avantageusement arrondir également ;-)).

A cela il faut bien sur aussi préciser que selon l'image, le franchissement de ce seuil minimal de résolution aura des conséquences plus ou moins visibles...

J'ai travaillé des années chez un flasheur qui nous faisait systématiquement réduire toutes les images des boulots des clients à 250 ppp (sur les fichiers natifs uniquement, pas les PDF) avant le flashage (parce que le RIP était un peu faiblard), jamais personne n'est venu s'en plaindre !

:)
 
Si on imprime avec une linéature de 133 lpp, on peut très bien agrandir une image (originellement fixée à 300 ppp dans Photoshop) jusqu'à 140 % puisque sa résolution effective est alors de 214 ppp, et que cette même règle nous donne dans ce cas une résolution minimale de 199,5 ppp (disons 200 ;-)).
Je suis absolument d'accord à 100% avec tout le reste de ton post, mais là, je mettrais un petit bémol : à 133 lpi et en-dessous, il est conseillé d'avoir un facteur de qualité (ou facteur d'échantillonnage) de 2 fois... (mais ça marche aussi à 1,5).




J'ai travaillé des années chez un flasheur qui nous faisait systématiquement réduire toutes les images des boulots des clients à 250 ppp
J'imprime en trame 150 lpi, et je fais mes images à 250 ppi... et je réduits aussi les images des clients pour avoir une réso de sortie à 250 ppi... voir même 225 ppi...
 
Ca ne doit pas empêcher de rester courtois...
Je reste poli et courtois mon ami, mais je dis ce que je pense et comme je le pense, sans fausse diplomatie... autrement dit, j'appelle un chat, "un chat", et une connerie, "une connerie"...

... et quand c'est faux, je dis "c'est faux" ;)
 
Je reste poli et courtois mon ami, mais je dis ce que je pense et comme je le pense, sans fausse diplomatie...

Oui mais dire et écrire ce n'est pas pareil, surtout au niveau de ressenti puisqu'on ne maîtrise ni l'environnement, ni l'état d'esprit de(s) (l')interlocuteur(s).
Il est donc plus prudent d'adopter un ton plus pondéré par écrit, surtout sur un forum où l'on vient plutôt pour chercher des conseils et des infos que pour se faire tancer.

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir une formation complète et certains rament dur pour s'en sortir...

:cool: :)
 
  • J’aime
Réactions: giga64
Oui mais dire et écrire ce n'est pas pareil, surtout au niveau de ressenti puisqu'on ne maîtrise ni l'environnement, ni l'état d'esprit de(s) (l')interlocuteur(s).
Il est donc plus prudent d'adopter un ton plus pondéré par écrit, surtout sur un forum où l'on vient plutôt pour chercher des conseils et des infos que pour se faire tancer.

Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir une formation complète et certains rament dur pour s'en sortir...

:cool: :)
ah la fameuse histoire du ton, du langage et des courbettes à faire.... un peu pour cela que je viens de moins en moins aier sur les forums... enfin bref...
En attendant à mon humble avis (et hop un rond de jambe courbette baiisé de chapeau) le Claude n'a rien à apprendre sur un forum concernant la résolution et la liéature... Il vient encore gentiment difuser sa science d'une manière gratos et sur son temps perso... il ne faudrait pas l'oublier... alors le faire chier quand il veut dire connerie ou autre je trouve ça fort de café....
Mais bon ça n'engage que moi car quand je vois mon Claudius encore user son clavier et ses doigts à écrire des choses maintes fois dites par lui ou d'autres je lui lèves mon chapeau:zen:
 
Le manque de courtoisie, 'claude72' en connaît un rayon, apparemment il a la science infuse et prends les autres pour des idiots, sans arriver à prouver ces dires…

Et bien sache mon cher que c'est toujours une erreur, surtout quand on ne sait pas à qui on s'adresse, de prend les gens pour des …buses, et ça ne montre ni tes compétences ni ton intelligence.

En l'occurrence je le dis encore une fois :
— Il est tout à fait possible d'avoir de vrai Chromalin, c'est mon cas, et donc il est idiot d'affirmer que tous les Chromalins sont en fait des jets d'encres : dans les boites sérieuses, on a le choix. Tu veux des adresses ?

— C'est très bien de livre des livres mais la pratique peut aussi t'apprendre beaucoup, en… regardant. Il est tout à fait vrai et reconnu qu'une image peut mieux supporter une faible résolution qu'un autre (et d'ailleurs tu ne parles toujours pas du papier je remarque).
J'ai travaillé pendant longtemps dans un magazine qui parlait justement de ces problèmes techniques et nous avons donc pu essayer beaucoup de choses, comme l'impression de différentes images à différentes résolution, de suréchantilloner, etc et voir le resultat EN OFFSET. Même s'il y a des règles mathématiques, ce n'est pas aussi simple : la réalité est beaucoup plus complexe et beaucoup de choses peuvent influencer le résultat. A commencer par la structure, la qualité, la provenance (numérique, scan etc.) l'image elle même, il faut être aveugle pour ne pas se rendre compte que certaine photos sont plus simple à reproduire que d'autres et les transformations nécessaires sont parfois empirique, surtout au plus haut niveau (impression de livre d'art photo, je connais).

Mais puisque la conversation n'est ni sympathique ni constructive, je vous laisse avec ce cher 'claude72' qui va répondre à toute vos questions, merci bien.

NB. je ne t'ai pas attendu pour savoir ce que c'est qu'une trame et son influence sur le résultat imprimé, c'est la base, mais il faut savoir aller plus loin, tu me fais rire… Enfin peut être que tu peux arriver à impressionner un débutant, si ça te fait kiffer…
 
apparemment il a la science infuse...

(...)

Et bien sache mon cher que c'est toujours une erreur, surtout quand on ne sait pas à qui on s'adresse, de prend les gens pour des …buses, et ça ne montre ni tes compétences ni ton intelligence.

(...)

Enfin peut être que tu peux arriver à impressionner un débutant, si ça te fait kiffer…
Ah, la science infuse... ça c'est (comme le reste de tes attaques) la réponse typique du mec qui commence à perdre pied et à être dépassé par la discussion... et qui veut sauver la face...
Mais non je n'ai pas la science infuse : je ne sais que ce que j'ai appris !

Et je n'ai rien à montrer, ni à prouver, et personne à impressionner !

On ne fait pas ici un concours de celui qui a la plus grosse... : il y a eu une question de posée, et j'y réponds, le plus précisément possible... et pas seulement en balaçant une vague info, du genre "une image à 300 dpi je la pousse jusqu'a 140% grand max", sans aucune autre précision, alors que ce n'est vrai que dans certaines circonstances qui méritent d'être précisées.

Maintenant, si tu ne veux pas qu'on te prenne pour une... buse, ne fait pas des réponses de buse : soit précis et explique pourquoi 140% maxi à partir de 300 dpi, dans quelles circonstances, etc., bref, ce que j'ai fait à ta place.
 
Bon. On se calme ? :)

Moi qui pensait que c'était un sujet qui allait rouler tout seul !

Encore une fois on voit deux approches qui s'affrontent :
- le technicien qui applique une équation toute faite mais qui a fait ses preuves
- le graphiste qui applique le fruit de son expérience

Qui a raison ? Mais les deux !

D'ailleurs dans 95 % des cas ça reviendra au même…

Moi je dirais au débutant : dans le doute, suis toujours, l'avis du technicien

Mais puisque je suis graphiste j'affirme aussi "ça dépends des images"… (en restant dans la fourchette technique liées aux problèmes de trames…). Un paysage brumeux ou flou ou très peu contrasté, supportera une résolution très nettement inférieure à une photo de mode, par exemple ou une illustration…

C'est le boulot des techniciens de mettre en garde les graphistes quand leur travail dépasse la norme. Mais le graphiste reste maitre s'il prends la responsabilité de passer outre. Il m'est arrivé à plusieurs reprises qu'un imprimeur me dise qu'il dégage toute responsabilité sur un travail (pour des bichromies très poussées avec des courbes de ouf) pour la simple raison qu'il ne pouvait se représenter ce que ça donnerait (même les logiciels d'Adobe n'y arrivaient pas) mais par expérience je savais que ça passerai.

Mais en même temps, cette expérience était nourrie de la compréhension du procédé d'impression qui m'a été apportée par l'imprimeur lui même (et son service pré-presse) à mes débuts.

Bref bref bref… Ne partons pas de l'idée que l'autre a tord. Partons de l'idée qu'il y a des raisons, des approches, des contraintes, des problématiques à résoudre différentes et demandons nous pourquoi l'autre pense autrement et si son point de vue ne peut pas enrichir et nuancer le nôtre.

Par contre, personnellement, je ne laisse jamais la main au logiciel PAO avec des 140 % ou je ne sais quoi. Je ré-échantillone (si absolument nécessaire) uniquement dans Photoshop, pour avoir une maitrise entière du résultat et corriger ni nécessaire des détails de l'image que j'importe à 100% dans le logiciel de PAO.
 
Salut tout le monde !
Non, non je ne vais pas participer au vaste débat ci-dessus (je suis assez d'accord avec ce que viens de dire Niconemo...), je viens juste jouer mon "Maître Capello" avec cette définition pompée dans Wikipédia :
Cromalin est un système d'épreuves couleurs mis au point par la société DuPont. Il sert au contrôle, à la validation et à l'épreuve contractuelle (bon à tirer ou BAT) des documents destinés à être imprimés. C'est une marque utilisée comme nom, et par extension il est utilisé quelques fois par les professionnels pour désigner tous les systèmes semblables et de marques concurrentes.

Donc, Cromalin s'écrit définitivement sans "h" !!
Et hop, je remets 100 F dans le nourrain :D