Un petit sujet inspiré par une discussion que j'ai eue ce soir avec quelqu'un de bien tout simplement... minou...
En ce moment j'en chie un petit peu, la vie n'a pas exactement le goût qu'elle avait avant...
Pour faire le parallèle avec les whisky, elle a perdu la douceur capiteuse d'un Cardhu, pour devenir tourbée et puissante comme un Lagavullin.
Les deux sont bons... mais seulement quand on choisit l'un ou l'autre.
Aujourd'hui je ne choisis pas, je ne choisis plus... N'ayant par nature que peu de foi en l'avenir, me voilà pourtant qui espère que ça s'arrange tout seul... Ce serait bien, ça voudrait dire que j'ai pas tranché, que j'ai pas taillé de petits bouts de moi, que j'ai pas laissé un morceau derrière, qu'il n'y a pas eu lutte...
Pourtant lutte il y a.
Lutte quotidienne pour croire encore en quelque chose qui n'a peut être jamais existé, lutte pour essayer de me persuader qu'autrement c'est pareil...
Marrante cette formule... autrement c'est pareil...
Je ne puis me résoudre à penser qu'autrement c'est pareil, j'aime trop la vie, j'aime trop le fil du rasoir, l'adrénaline, pouvoir tout perdre et sans un mot me mettre à reconstruire comme disait Kipling qu'avait oublié d'être con...
Partagé entre la raison, qui me pousse à rester et la vie qui me pousse à partir, je crois que je me perds un peu, des petites fuites de force un peu dans tous les coins, pshittttttttt................ ça se barre, on y peut rien... pas de rustine, pas bombe anti crevaison...
C'est chiant d'avoir toutes les cartes en main, chiant d'avoir à faire le sale boulot, chiant d'avoir le mauvais rôle... le rôle de celui qui part, le rôle de celui qui pense à autre chose, à d'autres gens, le rôle de celui qui abandonne, le rôle du lâche...
Et pourtant, me voilà à écrire un petit torchon de plus et à le partager avec vous, ramassi de crétins indigents... je dois donc encore être assez naif pour croire pouvoir partager des trucs avec d'autres... aussi "sinistrés du calbute" soient ils...
Voilà qui n'est pas fait pour me rassurer.
En attendant ce soir c'est status quo, on s'observe, chacun attend le coup de grace à sa manière.
En ce moment j'en chie un petit peu, la vie n'a pas exactement le goût qu'elle avait avant...
Pour faire le parallèle avec les whisky, elle a perdu la douceur capiteuse d'un Cardhu, pour devenir tourbée et puissante comme un Lagavullin.
Les deux sont bons... mais seulement quand on choisit l'un ou l'autre.
Aujourd'hui je ne choisis pas, je ne choisis plus... N'ayant par nature que peu de foi en l'avenir, me voilà pourtant qui espère que ça s'arrange tout seul... Ce serait bien, ça voudrait dire que j'ai pas tranché, que j'ai pas taillé de petits bouts de moi, que j'ai pas laissé un morceau derrière, qu'il n'y a pas eu lutte...
Pourtant lutte il y a.
Lutte quotidienne pour croire encore en quelque chose qui n'a peut être jamais existé, lutte pour essayer de me persuader qu'autrement c'est pareil...
Marrante cette formule... autrement c'est pareil...
Je ne puis me résoudre à penser qu'autrement c'est pareil, j'aime trop la vie, j'aime trop le fil du rasoir, l'adrénaline, pouvoir tout perdre et sans un mot me mettre à reconstruire comme disait Kipling qu'avait oublié d'être con...
Partagé entre la raison, qui me pousse à rester et la vie qui me pousse à partir, je crois que je me perds un peu, des petites fuites de force un peu dans tous les coins, pshittttttttt................ ça se barre, on y peut rien... pas de rustine, pas bombe anti crevaison...
C'est chiant d'avoir toutes les cartes en main, chiant d'avoir à faire le sale boulot, chiant d'avoir le mauvais rôle... le rôle de celui qui part, le rôle de celui qui pense à autre chose, à d'autres gens, le rôle de celui qui abandonne, le rôle du lâche...
Et pourtant, me voilà à écrire un petit torchon de plus et à le partager avec vous, ramassi de crétins indigents... je dois donc encore être assez naif pour croire pouvoir partager des trucs avec d'autres... aussi "sinistrés du calbute" soient ils...
Voilà qui n'est pas fait pour me rassurer.
En attendant ce soir c'est status quo, on s'observe, chacun attend le coup de grace à sa manière.