Vous faites quoi là, maintenant ? (bis)
- Créateur du sujet Spyro
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...là maintenant........
....
...Kikou les gens ......:mouais:
...nan je décoooonnne ...
...là maintenant je me dis que j'ai franchement pas envie de bosser :rolleyes:
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...Kikou les gens ......:mouais:...nan je décoooonnne ...
...là maintenant je me dis que j'ai franchement pas envie de bosser :rolleyes:
...là maintenant........
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...nan je décoooonnne ...
...là maintenant je me dis que j'ai franchement pas envie de bosser :rolleyes:
Tout pareil que miguel
![[Vezøul]Numerø41](/data/avatars/m/29/29556.jpg?1125588453){kind=avatar}
La maintenant je suis déçu que tu n'es pas accordé le bénéfice du doute dans le fil que tu viens de fermé
M'en fout j'ai quand même posté
M'en fout j'ai quand même posté
[Vezøul]Numerø41;5220388 a dit:
Par contre, bosser... Il va falloir te mettre en quarantaine, tu sembles contagieux
A
Anonyme
Invité
Je suis assis. Sur une chaise en toile tendue bleue. Les accoudoirs sont baissés. Face à moi, se trouve un bureau rectangulaire blanc avec posés dessus, de gauche à droite : un bac en plastique noir, un iPod dans sa chaussette, un téléphone, un clavier, un pot à crayon, une souris...
La suite, au prochain numéro.
La suite, au prochain numéro.
....ah ?????......:heu:
Nan j'en ai rien a braire, mais ça lui fait tellement plaisir
....ah ?????......:heu:
Il va peut-être faire un truc avec la chaussette et le pot à crayons
Tes paupières sont lourdes, tu essaies de détendre tes muscles des yeux
, tu sens que tu vas pouvoir évacuer le poids de cette délicate matinée. Respiration contrôlée. C'est parti. Tu te lèves et tu files à la machine à café. Cela va parler fouteboule ce matin. Courage.
Il va peut-être faire un truc avec la chaussette et le pot à crayons
Peut-être même avec le bureau rectangulaire
A
Anonyme
Invité
En continuant, après la souris, voici ma to-do-list maintenue en position verticale par un petit boîtier en plastique noir. Et ma tasse en céramique rouge dans laquelle je bois du thè et qui, actuellement, est vide.
Ensuite, vient mon caisson que je ne détaillerais pas.
Je porte un jean bleu taille basse, des souliers de ville en cuir noir et un t-shirt, noir lui aussi. Le pull coll V que je portais ce matin pour me protéger des frimas est vaguement replié sur l'appui de fenêtre, à ma gauche, là où se trouvent aussi un calendrier petit format barrbouillé du jaune fluo de mes jours de congés et un tas de papier à ammener à la poubelle pour être recyclé.
Comme il est onze heure vingt et que nous sommes mercredi, je m'apprête à me rendre à la piscine.
Comme dit l'autre, c'est tout.
Pour le moment.
A
Anonyme
Invité
Face à moi (si je lève la tête par-dessus l'écran accroché à la petite séparation d'avec le bureau tête-bêche) se trouve un open-space à l'européenne de taille moyenne. J'y compte 17 bureaux, dont le mien, pour seize occupants et une occupante, répartition sexuée caractéristique de l'informatique de mes années estudiantines et que je continue à déplorer.
Je suis à une extrémité de l'espace, ouest, nord-ouest si je me fie à la position de la grande arche et à mes notions de géographie.
Presque tous les bureaux sont occupés.
Le bruit est limité, principalement composé de cliquetis de claviers et d'un vague brouhaha venant du local de la machine à café à environ quinze mètres derrière moi, au-delà de la cloison qui sépare l'espace juste dans mon dos.
Je n'ai pas pris ma montre, aujourd'hui.
Je viens de manger une barre aux fruits, j'ai la bouche sucrée à la pèche.
Il est 11h31.
J'y vais.
Je suis à une extrémité de l'espace, ouest, nord-ouest si je me fie à la position de la grande arche et à mes notions de géographie.
Presque tous les bureaux sont occupés.
Le bruit est limité, principalement composé de cliquetis de claviers et d'un vague brouhaha venant du local de la machine à café à environ quinze mètres derrière moi, au-delà de la cloison qui sépare l'espace juste dans mon dos.
Je n'ai pas pris ma montre, aujourd'hui.
Je viens de manger une barre aux fruits, j'ai la bouche sucrée à la pèche.
Il est 11h31.
J'y vais.
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