amok a dit:
C'est à des plaisanteries de ce type qu'on remarque que l'âge ne saurait mentir et que la retraite est une invention remarquable, tant certaines vieilles personnes méritent le repos. :zen:
Cette phrase pleine de mystère m'a intrigué et j'ai fait de longues recherches avant d'en comprendre le sens. Il faut se rendre à l'évidence, seuls les plus anciens pouvaient comprendre ce que S.A.S. amok voulait dire. La phrase "Ici Cognac-Jay." était jadis une manière de dire "Bonjour" (du moins est-ce ainsi que je l'interprète au vu des documents vidéo que j'ai pu consulter). C'était à l'époque, désormais lointaine, où la télévision était sous la coupe d'un organisme d'état : l'ORTF.[1]
Mais revenons à notre histoire. J'ai pu consulter un document rare et édifiant : il s'agit du journal intime d'un certain Léon Zitrone qui raconte la bataille épique qu'il a dû mener pour conquérir le c½ur d'une présentatrice qui s'appelait Denise Fabre. Son Altitude amok la courtisait et tenait la corde. D'autres documents attesteraient même qu'amok sut séduire sa dulcinée. Mais cela ne dura qu'un temps et Léon gagna la bataille. Depuis, certaines nuits, lorsque la lune est pleine, on entend les hurlements d'amok qui pleure la belle ; car jamais il ne se remit de ce chagrin et toutes les conquêtes qu'il fit depuis ne furent que de pâles copies de son idéal féminin. Aussi, je ne saurais trop mettre en garde les brunes qui ressemblent un peu à Denise Fabre de se méfier des charmes que S.A.S. amok déploie pour les enjôler. La relation est, hélas, vouée à l'échec. Pour celles, nombreuses nécessairement, qui ne connaîtraient pas cette speakerine (c'est ainsi qu'on les appelait aux temps anciens), j'ai pu trouver
un portrait de sa bien-aimée. Si vous y ressemblez peu ou prou, méfiez vous. Je vous aurais prévenu. :zen:
À+
[1] Non, non, la France n'était pas communiste, voyons, mais c'était comme ça. Je vous raconterai cette histoire quand mes investigations seront plus abouties.