Des souris dansent chez Quick
Ben alors Pascal, tu n'assumes plus tes commentaires et tu préfères les poster discretos avec un cdb ?Comme les autres. En bossant.
Ben alors Pascal, tu n'assumes plus tes commentaires et tu préfères les poster discretos avec un cdb ?
Donc pour te répondre : elle n'a plus l'âge de bosser mais sa famille est à la base d'une société qui a réussi. Ils ont bossé pour ça et créé de l'emploi. Beaucoup d'emplois.
Donc, oui, la réussite mérite récompense, n'en déplaise aux grincheux.
Cette jalousie typiquement française de la réussite des autres est assez gerbante parfois.
Hermano Nephou, il a dit "stop", d'où le commentaire en CDB, mais pour te mettre les points sur les zi, non, elle n'a pas bossé pour ça, elle a fait bosser les autres, c'est pas pareil, le travail est partagé, mais pas les bénéfices.
«Si Novartis lemporte, le monde pourra dire adieu au rêve dun accès universel aux médicaments.» Leena Menghaney, du bureau indien de Médecins sans frontières, ne cache pas son inquiétude : le procès qui se déroule actuellement devant la Cour suprême indienne pourrait porter un coup fatal à bon nombre de programmes de santé publique de lONG, en Inde, mais aussi dans le reste du monde. Au final, cest même la capacité de lindustrie pharmaceutique indienne à produire des médicaments génériques qui est en jeu. Or celle-ci fournit 20% de la production mondiale de ces traitements à bas prix, voire 80% en ce qui concerne les trithérapies.
Putain d'enculés de labo pharma de merde...
Tout ça à cause du récent accord commercial anti-contrefaçon qu'est l'ACTA :
Je vais me faire l'avocat du diable, là : si les labos pharmaceutiques ne peuvent plus protéger leurs innovations, ils n'auront plus aucun intérêt à investir dans la recherche, donc, s'en prendre à eux dans l'état actuel de l'art, c'est tuer la poule aux œufs d'or, parce qu'aujourd'hui, il n'existe plus de recherche pharmaceutique à but non lucratif dans le monde.
Alors quelle est la solution ?
Il n'y en a que deux :
1) la situation actuelle
2) étatiser toute la recherche de ce domaine … Avec tous les risques que ça sous-entend.
une mesure intermédiaire n'aurait aucune chance de succès, vu qu'aucune structure de recherche étatique ou associative n'est en mesure de concurrencer les laboratoires privés dans la chasse aux chercheurs de talent, qui iront toujours vers le plus offrant.
Tout ça pour dire que c'est bien beau de dénoncer les problèmes, beaucoup s'y attèlent, mais je ne vois pas grand-monde proposer des solutions réalistes.
Ou alors faut faire comme l'Afrique du Sud : dire merde aux labos et faire produire en local les génériques sans demander l'autorisation.
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Quand le brevet tombe dans le public, le médicament est déjà largement rentabilisé. Et sachant que sur 100% de consommateurs, ils ne se tournent pas tous vers les génériques, les labos ont encore du fric à se faire sans nous faire croire qu'ils vont crever du jour au lendemain...
Ce sont les mêmes, ce sont les mêmes,
Qui administrent le poison et le remède,
Ce sont les mêmes, ce sont les mêmes,
Pas étonnant que ça soient les mieux renseignés !
Je vais me faire l'avocat du diable, là : si les labos pharmaceutiques ne peuvent plus protéger leurs innovations, ils n'auront plus aucun intérêt à investir dans la recherche, donc, s'en prendre à eux dans l'état actuel de l'art, c'est tuer la poule aux œufs d'or, parce qu'aujourd'hui, il n'existe plus de recherche pharmaceutique à but non lucratif dans le monde.
Sauf que, dans 90 % des cas (c'est mon chiffre à la louche hein...), mais c'est dit dans l'article, ils se contentent de modifier une broutille dans la formule de base et hop ils posent un brevet.
Du coup je me demande pourquoi on pourrait pas continuer à génériquer l'ancienne version ?![]()
"Nous, au Front National" !
Gérard Longuet
Ah les petits lapsus politiques sont toujours savoureux !![]()