Appel à témoins Apple, bientôt 50 ans… Partagez vos souvenirs !

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Mon histoire avec Apple a commencé avec l’iPhone 5. Bien plus tard que de nombreux témoignages ici, donc. Mon histoire avec l’informatique a, quant à elle, commencé beaucoup plus tôt, avec l’Amstrad CPC 464 à cassette et sa programmation en langage BASIC… mais ce n’est pas le propos de cet appel à témoins.. À l’époque, je ne me doutais absolument pas que ce téléphone allait m’ouvrir la porte d’un écosystème entier.

Très vite, j’ai eu envie d’aller plus loin. J’ai d’abord acheté un iMac 2009 d’occasion, simplement pour voir si macOS allait me correspondre, ou non. Verdict : macOS m’a parfaitement convaincu. Au fil du temps, j’ai même fini par trouver Windows comme une véritable usine à gaz, bien plus complexe et moins cohérente à mes yeux.

Puis sont arrivés — un peu dans le désordre — une Apple TV HD, remplacée quelques années plus tard par une Apple TV 4K (2017) lors de mon passage à un écran 4K, des HomePods première génération, des HomePod mini, des AirPods (1ʳᵉ génération), puis des AirPods 3 et enfin des AirPods Max, un MacBook 12 pouces, un MacBook Air M1, et pour finir plusieurs Apple Watch (Series 1, 2, 4, 6, 7, 10)

Ce qui m’a immédiatement marqué chez Apple, c’est cette impression que tout est pensé pour fonctionner ensemble, simplement. Les appareils se répondent, tout est fluide, fiable, presque évident. On n’a pas besoin de bricoler ni de passer des heures à chercher des solutions, comme cela peut arriver ailleurs. Et quand un problème se présente, l’assistance Apple s’est toujours montrée à la hauteur : réactive, claire et compétente. Assez rapidement, Windows et Android ont complètement quitté mon quotidien. Aujourd’hui, je n’utilise plus que des appareils Apple, tant l’écosystème s’est imposé naturellement dans mes usages.

Depuis l’iPhone 5, j’ai changé d’iPhone quasiment chaque année. J’ai seulement sauté les iPhone XS Max et 12 Pro Max. Je garde d’ailleurs un souvenir assez incroyable de mon tout premier iPhone : acheté 340 € chez SFR, je l’ai revendu un an plus tard… 420 € sur Leboncoin ! À l’époque, l’iPhone était presque un investissement. Depuis, j’ai changé d’opérateur et je suis passé chez Orange, mais le souvenir reste.

Aujourd’hui, j’utilise un iPhone 16 Pro Max. Je n’ai pas craqué pour le 17 Pro Max : son design ne me plaît pas vraiment, et puis payer le prix d’un MacBook pour un iPhone commence à me sembler un peu exagéré… Deviendrais-je raisonnable ? L’Apple Watch a aussi pris une place très importante dans mon quotidien. J’ai commencé avec la toute première version, remplacée par la Series 2 après avoir cassé l’écran de la première. Ont ensuite suivi les Series 4, 6, 7, et aujourd’hui la Series 10. Au fil des années, cet appareil m’a totalement conquis. De simple montre connectée à ses débuts, elle est devenue un véritable compagnon de santé : suivi de l’activité sportive, de la condition physique, du sommeil, et plus largement de la santé au quotidien.

Elle m’a d’ailleurs été particulièrement utile lorsqu’elle a détecté une bradycardie, liée à un traitement que je suivais à l’époque. Grâce à ces alertes, j’ai pu consulter rapidement et arrêter ce traitement sans tarder, ce qui m’a permis d’éviter de possibles complications cardiaques. Pour moi, c’est un exemple très concret de l’utilité réelle de ce type de technologie.

Côté design justement, l’iPhone 5 reste mon modèle préféré. Quand Apple est revenu aux bordures plates avec l’iPhone 13 Pro Max, j’ai vraiment eu l’impression de “rentrer à la maison”. Après les iPhone 6 Plus jusqu’au X, aux bords arrondis que je trouvais beaucoup trop glissants — de vraies savonnettes — ce retour au design anguleux m’a fait plaisir.

J’ai aussi adoré le MacBook 12 pouces, un appareil à part, presque avant-gardiste. Contrairement à beaucoup, je n’ai jamais rencontré le moindre problème avec le clavier papillon — un coup de chance, sans doute. Aujourd’hui, je retrouve ce même esprit de finesse et de discrétion avec mon MacBook Air M1, qui me comble toujours autant au quotidien. Mon seul petit regret : l’avoir choisi avec seulement 8 Go de RAM en décembre 2020. À l’époque, on entendait partout que c’était suffisant… avec le recul, j’aurais clairement dû opter pour 16 Go.

Avec le temps — et assez rapidement, d’ailleurs — Apple s’est installé durablement dans mon quotidien. Pas par effet de mode, mais parce que ces produits m’apportent exactement ce que j’attends au jour le jour : une expérience cohérente, stable et pensée dans le détail. Là où Windows et Android m’ont souvent donné l’impression d’une accumulation de fonctions, de réglages et de compromis, Apple propose une approche plus simple, plus fluide, et surtout plus maîtrisée de bout en bout, du matériel au logiciel.

Ce que j’apprécie particulièrement, c’est cette tranquillité d’esprit : des appareils qui vieillissent bien, des mises à jour suivies pendant des années, une intégration parfaite entre l’iPhone, le Mac, l’Apple TV ou les AirPods, et un écosystème qui disparaît presque derrière l’usage tant il se fait oublier. Tout fonctionne, sans avoir besoin d’y penser. Et quand un souci apparaît, le support Apple est là, efficace et accessible, ce qui est loin d’être anecdotique.

Aujourd’hui, je peux le dire sans hésiter : rien ne me fera revenir en arrière. Windows et Android font désormais partie du passé, et quitter l’univers Apple n’est tout simplement pas envisageable pour moi. Ces produits m’accompagnent depuis des années de manière fiable, rassurante et cohérente, et ils se sont imposés comme des outils du quotidien auxquels je fais pleinement confiance. C’est sans doute ça, au fond, la plus belle réussite d’Apple à mes yeux.
 
[À mon message précédent #21, je souhaiterais rajouter : → Mon parcours avec les iPhone, suite…]

Depuis l’iPhone 5, j’ai changé d’iPhone quasiment chaque année. J’ai seulement sauté les iPhone XS Max et 12 Pro Max. Je garde d’ailleurs un souvenir assez incroyable de mon tout premier iPhone : acheté 340 € chez SFR, je l’ai revendu un an plus tard… 420 € sur Leboncoin ! À l’époque, l’iPhone était presque un investissement. Depuis, j’ai changé d’opérateur et je suis passé chez Orange, mais le souvenir reste.

Aujourd’hui, j’utilise un iPhone 16 Pro Max. Je n’ai pas craqué pour le 17 Pro Max : son design ne me plaît pas vraiment, et puis payer le prix d’un MacBook pour un iPhone commence à me sembler un peu exagéré… Deviendrais-je raisonnable ?
 
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J’ai commencé en 1978 avec un Apple II sur lequel j’ai passé des heures à jouer à Load Runner puis 1985, avec un Mac 512 sur lequel j’ai découvert les tableurs avec Visicalc puis Excel (qui est né sur Mac ne l’oublions pas, je dois encore avoir les 8 disquettes originales dans un coin ). J’ai continué avec un Mac SE et après avoir enchaîné avec 5 ou 6 Mac, je suis avec un Mac Studio M2 Ultra dont je suis très satisfait et qui me permet de mesurer l’évolution de la puissance des ordinateurs en général et des Mac en particulier. J’ai encore en mémoire toutes les remarques entendues dans les années 80 et 90 sur la mort d’Apple et les conseils de vendeurs déconseillant l’achat de ces machines pour cette raison. Quelle revanche même si il est toujours de bon ton de critiquer Apple.
 
Musicien, je suis arrivé un peu tardivement dans la micro-informatique, et encore plus tardivement dans le monde du Mac.

En 1986 j’utilisais un séquenceur Roland MC-500, couplé à deux synthés (Oberheim Matrix 6 et Roland Juno 1), un sampler (Akai S900) et une boite à rythmes (Roland TR707). Quand je partais en studio, on synchronisait le séquenceur avec un Macintosh, qui récupérait les pistes du séquenceur. Si on voulait garder un son précis pour l’enregistrement, on devait apporter aussi les synthés, sampler, boite etc.

En 1987 je suis passé à l’Atari 1040 avec C-Lab Creator (l’ancêtre de Logic Pro !). Je suis resté très longtemps sur Atari, jusqu’en 2000.

En 2000 j’ai acheté d’un coup deux Mac : un Powermac G4 pour la musique, un iMac DV pour la bureautique, Internet etc. Et deux ans après un second Powermac G4, dédié au mastering. J’ai gardé tout cela jusqu’en 2008, époque à partir de laquelle j’ai mis en standby mes créations musicales pour me consacrer à la musique live.

Shame on me, c’est l’époque où je suis passé sur PC : deux Sony Vaio portables à trois ans d’écart, le premier sous Vista, le second sous Windows 7.

En 2015 je suis repassé sur Mac avec un iMac 21,5, époque où je me suis remis à la composition musicale. Puis un Mini M1 en 2021, et tout récemment un MacBook Air M1 reco pour la mobilité.

Config actuelle pour la musique (qui hors fichiers de travail occupe plus de la moitié de mon disque système de 1 To) :

  • Logic Pro
  • Suite UVI Vintage Vault
  • Toontrack EZ Drummer 3
  • AlyJamesLab VPROM
  • Lennar Digital Sylenth 1
  • IK Multimedia Amplitube 5 Max
  • SSL Native Drumstrip & Native Vocalstrip
  • Waves Aphex Vintage Exciter, J37 et SSL channel

Côté bureautique / Internet, j’ai récemment tout transféré du Mini vers le MacBook Air (8/256, amplement suffisant pour mes besoins).

À côté de cela : iPad Air 4th gen (puce A14), iPhone 15 (après avoir possédé 5S, SE2, SE3 et 13, et, dans un passé très lointain, un 3GS).

Enfin, pour le fun et la déco, je me suis acheté un Mac Classic d’occasion (en panne).
 
@man0
J'avais modifié ta réponse non sans raison. Tes interlignes intempestifs nuisent à la lisibilité de ta réponse. Être obligé de faire défiler la page pour lire est pénible. On ne raconte pas sa vie, on fait un résumé, pas un roman, merci d'en tenir compte.
 
@man0
J'avais modifié ta réponse non sans raison. Tes interlignes intempestifs nuisent à la lisibilité de ta réponse. Être obligé de faire défiler la page pour lire est pénible. On ne raconte pas sa vie, on fait un résumé, pas un roman, merci d'en tenir compte.
Oh désolé ! OK pas de problème !!! Merci à toi !
 
[À mon commentaire précédent, le #21 je souhaiterais rajouter le texte suivant :Mon parcours avec les iPhone, suite… et fin !]

Depuis l’iPhone 5, j’ai suivi chaque évolution avec enthousiasme : iPhone 5S, 6 Plus puis 6S Plus, 7 Plus, X, 11 Pro, 13 Pro, 14 Pro, 15 Pro Max et enfin le 16 Pro Max. Chaque modèle a apporté son lot d’améliorations, mais ce qui m’a toujours impressionné, c’est la cohérence et la qualité globale. L’iPhone, c’est avant tout une fiabilité et une fluidité exceptionnelles : jamais de lenteur, jamais de plantage, tout fonctionne de manière intuitive et harmonieuse. L’appareil photo, année après année, repousse les limites de ce que l’on peut attendre d’un smartphone. iOS reste un système simple à utiliser et très intuitif, mais malheureusement il a tendance à se complexifier légèrement avec le temps, au fil des nouvelles fonctionnalités et mises à jour.

Bien sûr, il y a parfois des choix discutables — l’autonomie qui peut varier selon les modèles, certains designs qui ne me plaisaient pas (comme les générations aux bordures arrondies), ou encore la suppression de 3D Touch, qui me manque vraiment — mais ces petits détails n’entament jamais la satisfaction globale. Ce que j’apprécie par-dessus tout, c’est cette sensation de tenir entre les mains un appareil pensé dans les moindres détails, parfaitement intégré à l’écosystème Apple. Quitter l’univers Apple n’est tout simplement pas envisageable pour moi. Même si Apple accuse parfois un certain retard sur des sujets comme l’intelligence artificielle, je préfère attendre et rester fidèle à cet écosystème, notamment pour des raisons de confidentialité — un point sur lequel Apple reste exemplaire — plutôt que de partir chez la concurrence pour l’avoir dès maintenant.

Pour moi, l’iPhone reste le meilleur smartphone que j’aie jamais utilisé, et il me semble difficile d’imaginer revenir à autre chose.

Joyeux 50e anniversaire, Apple !!! Merci pour ces années d’innovation et de fiabilité !
 
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