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Comme la 
kernel_task dévore du % de 
CPU quel que soit l'OS installé (même en 
clean install) > il me semble que le 
kernel répercute sur le processeur une tentative de prise en charge d'un composant matériel de la bécane qui n'arrive pas à se finaliser. À cause de ce composant matériel même.
Dans cette veine d'idées > on pourrait penser à une 
extension du noyau (
kext). Au démarrage du Mac > l'
EFI exécute le 
boot_loader : boot.efi (lanceur ou chargeur logiciel) > lequel active le 
kernel et procède à l'
injection des kexts (
extensions) dans le noyau. Car c'est un micro-noyau : il reçoit après lancement toute une collection d'
extensions (sans les inclure a priori en mode interne).
Une 
extension (
kext) est un pilote d'un composant hardware déterminé (
BUS USB ou tout ce qu'on voudra) : le 
kernel prend donc en charge le pilotage des différentes fonctionalités physiques de la bécane. Il arrive fréquemment qu'il y ait des ratatouillages à ce niveau.
Mais ici on peut exclure résolument des 
kexts de 
tierce partie, puisque tu as des OS en 
clean install avec une collection d'extensions Apple©. Et des OS finalisés (version terminale, chaque fois). On peut donc en déduire (dans l'hypothèse où le coinçage provient d'une - ou de plusieurs - 
extensions) que le 
kernel n'arrive pas à engager le pilotage d'une fonctionalité physique de la bécane, parce qu'il y a une déficience matérielle : en gros l'« organe » ne répond pas au pilote.
Tu pourrais bien sûr faire un démarrage dit « 
sans extensions » (touche 
⇧ = 
maj ou 
shift pressée au départ) > mais il ne faut pas se leurrer : un démarrage "
sans extensions" ne signifie pas que toutes les 
kexts se trouvent échappées d'injection dans le 
kernel au démarrage > ce serait impossible, car le 
hardware serait "déconnecté" du logiciel. Ce type de démarrage, lorsqu'il y a des 
extensions de 
tierce partie, les écarte d'entrée - dans ton cas = 
clean install > il n'y en a aucune. Néanmoins, en cas de démarrage « 
sans extensions », une pincée de 
kext Apple dispensables se trouvent quand même échappées > donc tu peux quand même faire ce test 
occasu (
solis)...
Je t'avais préconisé d'ouvrir l'application «
Console» pour scruter les lignes de 
logs (un travail de... 
bénédictine) : s'il y a vraiment une 
kext qui n'arrive pas à prendre la main sur la fonctionnalité physique correspondante et si le 
kernel répète indéfiniment la tentative > ce qui consommerait du 
CPU > alors il devrait y avoir réitération de messages d'échec redondants dans les 
logs de la «
Console».
Tu pourrais opérer aussi un démarrage en mode 
Verbose > pour scruter ensuite dans le procès-verbal s'il n'y a pas quelque chose qui saute aux yeux.
La conjecture que je t'ai exposée demeure d'ordre « général » - sans pointer quelque chose en particulier. Elle est peut-être non pertinente. Pour la raison suivante : quand survient un blocage décisif à l'injection de 
kexts > soit le 
kernel n'arrive jamais à 
dépasser cette étape pour passer au lancement de l'OS (ratatouillage indéfini, avec roue crantée giratoire qui tourne sans fin) ; soit il 
plante et c'est l'affichage d'un panneau de 
kernel_panic (si tu en avais un > au moins on saurait sur quoi le 
kernel plante).
Mais chez toi > le 
kernel ne plante pas du tout > il passe bien l'étape de l'injection des 
kexts > et il déclenche bien ensuite le processus 
launchd (le 
daemon INIT qui déploie le Système de l'OS). Peut-on imaginer qu'une injection de 
kext foirée continue 
ad vitam eternam d'être tentée après chargement de l'OS ? - hum... (ça, c'est en guise d'auto-critique de ma conjecture concernant les extensions).
[Rien ne dit, en effet, qu'il n'y a pas un problème intrinsèque du processeur et que la tâche du noyau ne se heurte pas à un problème à ce niveau...]
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Pour ce qui est de ton script > il faut savoir que si tu l'enregistres sous forme de fichier «
TextEdit» de type 
.txt > il faut ensuite que tu modifies l'extension 
.txt en 
.sh (script 
shell) > puis que tu passes dans le «
Terminal» une commande du type :
	
	
	
		Bloc de code:
	
	
		chmod u+w /[chemin_au_fichier]/[nom_du_fichier]
	 
  (en fait > tu fais un glisser-déposer du fichier dans la fenêtre du «
Terminal» après 
chmod u+w et 
saut d'espace) > afin de rajouter l'
executable_bit = x aux permissions de l'utilisatrice (propriétaire) du fichier = toi (
ness) - sans quoi ton fichier 
shell n'est 
pas exécutable.
Une fois fait > dans la fenêtre du «
Terminal» tu peux faire un :
	
	
	
		Bloc de code:
	
	
		sudo /[chemin_au_fichier]/[nom_du_fichier]
	 
  (càd. 
sudo [ESPACE] glisser-déposer du fichier) > et le 
script-shell va être exécuté.