De la vie des macgéens

Y en a plein, je pense, mais on remarque surtout les autres. Les mauvais, les malappris, les cons.
Tant par moment on a l'impression qu'ils sont toujours de plus en plus nombreux...
 
@thebiglebowsky @les_autres

Comme chaque année à la même époque, et à l'invitation du mail de l'observatoire des lucioles, j'ai rempli le formulaire d'observation de ces petits insectes luminescents. Arrivé sur le site, il m'informait d'un tout nouveau formulaire. Plus convivial, plus pratique, plus plus plus deux points zéro ! Super me suis-je dis, même si je n'avais qu'un vague souvenir de la version précédente.

Sur la première page, lieu, année d'observation et adresse mail, éléments remplis sans souci. Sur la seconde une carte pour la localisation, un champ pour la ville et un autre pour les coordonnées GPS, j'ai donc pointé sur la carte la position de mon observation. Sur la troisième le type de luminescence observée, la date exacte, le nombre d'individus, l'heure d'observation, une question : ai-je fais une photo du ver luisant ou de la luciole ? et un champ pour un éventuel commentaire. J'ai répondu non à la question tout en me disant qu'à la prochaine observation je pourrais joindre une photo bien sombre agrémentée de quelques points verts. Au bas de cette troisième page, un bouton pour valider l'envoi de mon observation.

Validation qui ouvre une quatrième page intitulée : identifier l'insecte observé. Et là… le drame ! Toutes les images d'insectes sont prises à la lumière du jour !? Ouais, ouais, ouais me suis-je dis… J'observe ces insectes la nuit quand l'éclairage public est éteint. Et vous, enfin l'observatoire des lucioles, vous voulez que je reconnaisse un insecte nocturne en me proposant des exemples diurnes. Vous, toujours l'observatoire des lucioles, voulez que je pointe la torche de mon iPhone sur la luminescence observée afin de révéler le type d'insecte émetteur de cette lumière ?! OK !?

Lors de mon observation suivante, j'ai donc pointé la torche sur le point vert. Tout en m'excusant auprès de la bestiole de cette brusque illumination, j'ai pu voir à quelle espèce j'avais affaire. L'individu ressemblait à l'un des deux ci-dessous photographiés.

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Source asterella.eu


Comme je m'étais souvenu que je pouvais joindre une photo de mon observation, j'ai donc tenté une prise de vue. MAP dans le noir total, coup de flash, clic-clac kodak, s'affichait sur mon écran un carré d'herbe bien net dans lequel j'ai mis un temps fou à dénicher un individu flou. Oui, flou ! Sauf que de retour dans mes pénates, j'ai repris le formulaire et lu que l'ajout d'images d'individus observés devait permettre une vision nette dudit individu. Las, j'ai abandonné l'idée d'ajouter une photo de mon observation. Mais, parce qu'il y a un mais, j'ai identifié l'espèce observée. Les individus sont de plus en plus nombreux année après année. Ma plus belle observation comptait cinq individus répartis sur un bout de trottoir herbeux de 20 m². Comme j'étais heureux !


#lampyretopeer ;)
 
Qui ?
 
@aCLR ... dommage que tu n'aies pas posté 3 photos de lucioles au lieu de 2 ... ça m'aurait permis de sortir : "Le plus beau, c'est lampyre du milieu !" ... :blush:
Rien ne t’empêche d’aller sur le site en lien sous l’image et capturer trois spécimens pour placer le jeu de mots, hein, vieux coquin !? :stuck_out_tongue_winking_eye:
 
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Réactions: thebiglebowsky
@thebiglebowsky @les_autres

Comme chaque année à la même époque, et à l'invitation du mail de l'observatoire des lucioles, j'ai rempli le formulaire d'observation de ces petits insectes luminescents. Arrivé sur le site, il m'informait d'un tout nouveau formulaire. Plus convivial, plus pratique, plus plus plus deux points zéro ! Super me suis-je dis, même si je n'avais qu'un vague souvenir de la version précédente.

Sur la première page, lieu, année d'observation et adresse mail, éléments remplis sans souci. Sur la seconde une carte pour la localisation, un champ pour la ville et un autre pour les coordonnées GPS, j'ai donc pointé sur la carte la position de mon observation. Sur la troisième le type de luminescence observée, la date exacte, le nombre d'individus, l'heure d'observation, une question : ai-je fais une photo du ver luisant ou de la luciole ? et un champ pour un éventuel commentaire. J'ai répondu non à la question tout en me disant qu'à la prochaine observation je pourrais joindre une photo bien sombre agrémentée de quelques points verts. Au bas de cette troisième page, un bouton pour valider l'envoi de mon observation.

Validation qui ouvre une quatrième page intitulée : identifier l'insecte observé. Et là… le drame ! Toutes les images d'insectes sont prises à la lumière du jour !? Ouais, ouais, ouais me suis-je dis… J'observe ces insectes la nuit quand l'éclairage public est éteint. Et vous, enfin l'observatoire des lucioles, vous voulez que je reconnaisse un insecte nocturne en me proposant des exemples diurnes. Vous, toujours l'observatoire des lucioles, voulez que je pointe la torche de mon iPhone sur la luminescence observée afin de révéler le type d'insecte émetteur de cette lumière ?! OK !?

Lors de mon observation suivante, j'ai donc pointé la torche sur le point vert. Tout en m'excusant auprès de la bestiole de cette brusque illumination, j'ai pu voir à quelle espèce j'avais affaire. L'individu ressemblait à l'un des deux ci-dessous photographiés.

Voir la pièce jointe 306313
Source asterella.eu


Comme je m'étais souvenu que je pouvais joindre une photo de mon observation, j'ai donc tenté une prise de vue. MAP dans le noir total, coup de flash, clic-clac kodak, s'affichait sur mon écran un carré d'herbe bien net dans lequel j'ai mis un temps fou à dénicher un individu flou. Oui, flou ! Sauf que de retour dans mes pénates, j'ai repris le formulaire et lu que l'ajout d'images d'individus observés devait permettre une vision nette dudit individu. Las, j'ai abandonné l'idée d'ajouter une photo de mon observation. Mais, parce qu'il y a un mais, j'ai identifié l'espèce observée. Les individus sont de plus en plus nombreux année après année. Ma plus belle observation comptait cinq individus répartis sur un bout de trottoir herbeux de 20 m². Comme j'étais heureux !


#lampyretopeer ;)
Merdalors. Et moi, sombre ignorant, qui m'imaginait qu'une luciole était une seul insecte.

Observatoire.
Observer.
Ainsi donc, pour ces observateurs, observer veut dire "aller au contact de l'insecte et, tant qu'à faire, lui balancer un flash dans la tronche histoire de lui tirer le portrait". Je pensais bêtement qu'observer nécessitait de ne pas interagir.
Soit.
Perso, je ne suis pas prêt d'interagir avec une luciole. Je ne me souviens même plus à quand remonte la dernière fois que j'en ai vu.
Rikou.

(j'espère que vous apprécierez ma tentative d'adapter cette vieille blague éculée, même si, certes, on est moins dans le pipi-caca-bite).
 
N'oublions pas non plus que, lorsque les lampyres s'illuminent le soir (in the heat of the night), c'est pour attirer sexuellement leurs congénères ! Le problème, c'est que, lorsqu'ils s'excitent trop fort, ils pètent comme des fusibles !
En les examinant de plus près, j'en ai vu un qui a pété sous mes yeux - mon verdict : mort par bandaison, le pauvre ! :joy:
Désolé, mais je me suis laissé aller ! :blush: