Excel VS Numbers

Statut
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La suite bureautique office est payante en plus de Windows. Cela change un peu maintenant avec la version pour smartphone et le cloud, mais elle rapporte toujours des sous en plus.
La suite bureautique de Apple est elle fournie avec le système (gratuite). Elle ne rapporte donc rien en plus.

Dans les entreprises, il y a rarement des machines Apple pour les employés. C'est parce qu'il est plus facile d'avoir des machines Windows adaptés aux besoins et moins cher vu la quantité utilisée.
Il faut aussi utiliser une suite commune entre les différentes entreprises. Si j'envoie un fichier Number a une personne ayant Excel elle va avoir du mal à l'ouvrir ...

Microsoft a plus d'expérience et de financement pour Office, il est donc normal que ce soit supérieur aux concurrents.
 
iWork n’a pas toujours été gratuit et il n’est gratuit que pour l’achat d’une nouvelle machine. La nuance est importante. Les trois logiciels de la suite ne sont pas fournis avec le système mais avec le Mac.

Les objectifs de iWork et ceux de Microsoft Office ne sont simplement pas les mêmes. Steve Jobs avait une catch-phrase à ce sujet : « for the rest of us ».

Il est assez vain à mon sens de chercher à tout prix à faire avec Numbers ce qu’on fait avec Excel et de reprocher au premier de ne pas être au niveau du second question fonctions. Si vous faites quelque chose avec Excel sur Windows continuez avec Excel sur Mac. Utilisez Numbers pour ce qu’il vous apporte de différent. Et puis la passerelle Numbers —> Excel est assez bien assurée.

J’ai vu de belles choses réalisées avec Numbers. Encore l’autre jour, dans un café, le gars à côté de moi manipulait des données avec Numbers sur son MacBook (tableaux, graphiques, etc). Je ne sais pas ce qu’il faisait exactement mais cela avait l’air plutôt complexe. Je présume que s’il avait voulu utiliser Microsoft Office ou autre chose il ne s’en serait pas privé.
 
Mais ce sont les ingénieurs de Microsoft qui conçoivent entièrement office pour Mac ou ce sont les ingénieurs Apple qui utilisent le code source de la suite Office et l'implémentent sur Mac ?
Bien sûr. Il y avait même une division, la Mac Business Unit, aka MacBu, spécialement consacrée aux logiciels sur Mac OS X.

Elle a depuis été dissoute dans la division Office et je trouve paradoxalement la suite bien mieux intégrée au système Macintosh depuis cette restructuration interne. Les évolutions des versions Windows et Mac s'effectuent quasiment de concert et non plus un ou deux ans après.

Comparer la qualité et les performances des deux versions est assez difficile à mon sens car chez Windows la suite est écrite principalement en C# avec les outils maison, alors que sur Macintosh il s’agit d’Objective-C à l’aide de Xcode. Ce qui fait que si les ingénieurs Microsoft contrôlent l’ensemble des paramètre chez eux, il sont sont obligés de s’adapter avec ce qu’on leur propose chez nous.
 
Ouais mais par contre c'est impossible de repasser sur Windows après avoir essayé un mac c'est incroyable. C'est comme vouloir recommencer à conduire un tracteur après avoir essayé une Jaguar.
 
Ouais mais par contre c'est impossible de repasser sur Windows après avoir essayé un mac c'est incroyable. C'est comme vouloir recommencer à conduire un tracteur après avoir essayé une Jaguar.
Certes, mais tirer la herse avec la Jaguar, ça ne le fait pas terrible. :D
 
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Réactions: baron
Ce que j’aime sur NUMBERS c’est :
On peut avoir le tableau sur une feuille et les rapports sur une autre, ce qui permet d’avoir de véritable Dashboard.
La présentation et gestion des tableaux. Les documents sont propre. Sur Excel on dirait qu’ils s’en foutent.
Après, si on est un "vrai " comptable Excel est de mise.
 
Dans Number, je n'ai pas trouvé comment avoir une case penchée (avec le texte à l'intérieur).
C'est un style que j'aime bien pour avoir des colonnes étroites avec un libellé assez long.
 
Tu peux définir la hauteur dès rangs ou la largeur des colonnes dans Numbers
 
Mais donc pour résumer votre thèse, Microsoft a sauvé Apple de la faille et Microsoft possède une large partie des actions de Apple et tout cela pour se cacher derrière Apple et dire que Microsoft n'est pas monopolistique. Donc en gros Apple serait le pantin de Microsoft ?
 
Non.

Il faut se replacer dans le contexte de l’époque : 1997.

Apple manque d’argent. Apple a des problèmes d’organisation interne et de production. Apple n’inspire plus confiance aux investisseurs.

Steve Jobs reprend les rênes d’Apple. Recompose tout le conseil d’administration avec des gens capables et des alliés (Larry Ellison - Bill Campbell - Jerry York).

Microsoft, encore dirigé par Gates, fait l’objet d’une enquête pour abus de position dominante.

Apple et Microsoft ont encore des procès en cours pour violations de brevets.

La thèse de Jobs : la guerre des OS est perdue depuis longtemps. Il n’est pas nécessaire que Microsoft perde pour qu’Apple gagne.

Le deal passé entre Jobs est Gates est le suivant :
– arrêt des procès et accords croisés sur les brevets
– Microsoft investi une centaine de million de $ dans Apple mais sans droits de vote au C.A. La somme n’est pas importante vu la situation financière d’Apple mais c’est un signal pour les autres investisseurs : M$ croit toujours en Apple.
– Microsoft s’engage pour cinq ans à fournir M$ Office pour Macintosh. Là aussi signe de confiance.
– Internet Explorer devient le navigateur par défaut sur MacOS, alors en concurrence avec Netscape.

Tout cela a fait l’objet d’une présentation de Steve Jobs à la MacWorld d’octobre 1997 à Boston. Vidéo se retrouve chez YouTube. Bill Gates apparaît sur écran géant. Grand émoi dans la salle. :D (Luke, I’m your father).

L’enjeu pour Microsoft : préserver l’unique « concurrent » encore en activité vis-à-vis des autorités étasuniennes.


Aujourd’hui :

– Les accords de brevets croisés sont toujours valables et ont sans doute été étendus
– Microsoft a récupéré son argent et ne possède plus de parts d’Apple au titre de l’accord de 1997
– Internet Explorer a disparu de Mac OS X en 2003. Avènement de Safari.
– Microsoft développe toujours M$ Office pour Macintosh.

L’enquête pour abus de position dominante a fini par être abandonnées lorsque la majorité a changé au Congrès américain mais elle a mis en lumière les pratiques anti-concurrentielles de Redmont.

Le gros rival s’appelle Google.
 
Non.

Il faut se replacer dans le contexte de l’époque : 1997.

Apple manque d’argent. Apple a des problèmes d’organisation interne et de production. Apple n’inspire plus confiance aux investisseurs.

Steve Jobs reprend les rênes d’Apple. Recompose tout le conseil d’administration avec des gens capables et des alliés (Larry Ellison - Bill Campbell - Jerry York).

Microsoft, encore dirigé par Gates, fait l’objet d’une enquête pour abus de position dominante.

Apple et Microsoft ont encore des procès en cours pour violations de brevets.

La thèse de Jobs : la guerre des OS est perdue depuis longtemps. Il n’est pas nécessaire que Microsoft perde pour qu’Apple gagne.

Le deal passé entre Jobs est Gates est le suivant :
– arrêt des procès et accords croisés sur les brevets
– Microsoft investi une centaine de million de $ dans Apple mais sans droits de vote au C.A. La somme n’est pas importante vu la situation financière d’Apple mais c’est un signal pour les autres investisseurs : M$ croit toujours en Apple.
– Microsoft s’engage pour cinq ans à fournir M$ Office pour Macintosh. Là aussi signe de confiance.
– Internet Explorer devient le navigateur par défaut sur MacOS, alors en concurrence avec Netscape.

Tout cela a fait l’objet d’une présentation de Steve Jobs à la MacWorld d’octobre 1997 à Boston. Vidéo se retrouve chez YouTube. Bill Gates apparaît sur écran géant. Grand émoi dans la salle. :D (Luke, I’m your father).

L’enjeu pour Microsoft : préserver l’unique « concurrent » encore en activité vis-à-vis des autorités étasuniennes.


Aujourd’hui :

– Les accords de brevets croisés sont toujours valables et ont sans doute été étendus
– Microsoft a récupéré son argent et ne possède plus de parts d’Apple au titre de l’accord de 1997
– Internet Explorer a disparu de Mac OS X en 2003. Avènement de Safari.
– Microsoft développe toujours M$ Office pour Macintosh.

L’enquête pour abus de position dominante a fini par être abandonnées lorsque la majorité a changé au Congrès américain mais elle a mis en lumière les pratiques anti-concurrentielles de Redmont.

Le gros rival s’appelle Google.
Joli résumé :D
 
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Mais pourquoi Apple n'est-elle pas capable de développer des produits aussi puissants qu'Excel et Word ?
 
Mais pourquoi Apple n'est-elle pas capable de développer des produits aussi puissants qu'Excel et Word ?

Ce n’est pas une question de capacité. Elle produit déjà deux systèmes d’exploitation de très haut niveau : macOS et iOS.

Il faudrait surtout qu’elle le souhaite. Quel serait intérêt ?

Tu veux une suite bureautique performante et complète sur macOS ? Tu l’as : Microsoft Office !

Keynote est né pour Steve Jobs. À l’époque de NeXT, il utilisait un excellent logiciel de présentation, Concurrence, de LighHouse Design. Il a engagé l’un des créateurs de Concurrence pour faire une version Mac OS X avec laquelle il faisait son show aux MacWorld et WWDC.

Pages était à l’origine un logiciel de mise en page lui aussi né sur NeXTStep et que Steve Jobs appréciait. Re-belote. Au moment de l'abandon d'AppleWorks, il a été doté de fonctions Traitement de Textes légères. Il s’est étoffé au fil des versions.

Numbers fut créé pour combler un manque de tableur « Apple-style » avec la disparition d’AppleWorks. For the rest of us

Encore une fois, ils ne sont pas là pour concurrencer les logiciels Microsoft Office.

Si Apple avait ce désir, elle prendrait le code d’Apache OpenOffice, mettrait une équipe d’ingénieurs sur le coup et hop ! Tu aurais ton concurrent sérieux à Microsoft Office sur Mac.

Mais Apple ne voit aucun intérêt à consacrer de l’argent, du personnel et du temps à faire ce que d’autres ont déjà fait.

D’autant plus que ce que souhaitent les macusers qui seraient concernés par un tel produit, c’est un logiciel « comme Office » en aucun cas un logiciel « Apple-style ». Il n’est pas question de « révolutionner la suite bureautique ». C’est sérieux. On travaille. La compatibilité des macros est plus importante que les trouvailles d’interface, fussent-elles géniales.

Ceux qui en ont besoin disposent de Microsoft Office, ceux qui s’en passent très bien utilisent iWork.

Regarde dans le cinéma. Il y avait un article l’autre jour où un réalisateur déplorait que ses collègues d’Hollywood n’accordaient pas assez d’attention à Final Cut Pro et préféraient toujours les vieux outils AVID. Final Cut Pro a de multiples atouts mais les professionnels préfèrent travailler avec les outils qu’ils connaissent, qu’ils maîtrisent. Ils ont rarement le temps de se former à de nouvelles manières de faire.

Pareillement, Microsoft Office est devenu le logiciel référence dans la bureautique, à tel point que son principal concurrent, Open/Libre, ne fait que le singer maladroitement depuis une décennie.

Quel est le principal objet de Open/Libre Office ? Officiellement, l’Open Document Format. Dans la réalité, la compatibilité avec Microsoft Office. Car c’est ce que demandent avant tout ses utilisateurs.

Pourquoi Apple s’aventurerait-elle dans ce sac de nœuds ?
 
Ce n’est pas une question de capacité. Elle produit déjà deux systèmes d’exploitation de très haut niveau : macOS et iOS.

Il faudrait surtout qu’elle le souhaite. Quel serait intérêt ?

Tu veux une suite bureautique performante et complète sur macOS ? Tu l’as : Microsoft Office !

Keynote est né pour Steve Jobs. À l’époque de NeXT, il utilisait un excellent logiciel de présentation, Concurrence, de LighHouse Design. Il a engagé l’un des créateurs de Concurrence pour faire une version Mac OS X avec laquelle il faisait son show aux MacWorld et WWDC.

Pages était à l’origine un logiciel de mise en page lui aussi né sur NeXTStep et que Steve Jobs appréciait. Re-belote. Au moment de l'abandon d'AppleWorks, il a été doté de fonctions Traitement de Textes légères. Il s’est étoffé au fil des versions.

Numbers fut créé pour combler un manque de tableur « Apple-style » avec la disparition d’AppleWorks. For the rest of us

Encore une fois, ils ne sont pas là pour concurrencer les logiciels Microsoft Office.

Si Apple avait ce désir, elle prendrait le code d’Apache OpenOffice, mettrait une équipe d’ingénieurs sur le coup et hop ! Tu aurais ton concurrent sérieux à Microsoft Office sur Mac.

Mais Apple ne voit aucun intérêt à consacrer de l’argent, du personnel et du temps à faire ce que d’autres ont déjà fait.

D’autant plus que ce que souhaitent les macusers qui seraient concernés par un tel produit, c’est un logiciel « comme Office » en aucun cas un logiciel « Apple-style ». Il n’est pas question de « révolutionner la suite bureautique ». C’est sérieux. On travaille. La compatibilité des macros est plus importante que les trouvailles d’interface, fussent-elles géniales.

Ceux qui en ont besoin disposent de Microsoft Office, ceux qui s’en passent très bien utilisent iWork.

Regarde dans le cinéma. Il y avait un article l’autre jour où un réalisateur déplorait que ses collègues d’Hollywood n’accordaient pas assez d’attention à Final Cut Pro et préféraient toujours les vieux outils AVID. Final Cut Pro a de multiples atouts mais les professionnels préfèrent travailler avec les outils qu’ils connaissent, qu’ils maîtrisent. Ils ont rarement le temps de se former à de nouvelles manières de faire.

Pareillement, Microsoft Office est devenu le logiciel référence dans la bureautique, à tel point que son principal concurrent, Open/Libre, ne fait que le singer maladroitement depuis une décennie.

Quel est le principal objet de Open/Libre Office ? Officiellement, l’Open Document Format. Dans la réalité, la compatibilité avec Microsoft Office. Car c’est ce que demandent avant tout ses utilisateurs.

Pourquoi Apple s’aventurerait-elle dans ce sac de nœuds ?
Mon résumé était plus "succinct" :D
 
Ce n’est pas une question de capacité. Elle produit déjà deux systèmes d’exploitation de très haut niveau : macOS et iOS.

Il faudrait surtout qu’elle le souhaite. Quel serait intérêt ?

Tu veux une suite bureautique performante et complète sur macOS ? Tu l’as : Microsoft Office !

Keynote est né pour Steve Jobs. À l’époque de NeXT, il utilisait un excellent logiciel de présentation, Concurrence, de LighHouse Design. Il a engagé l’un des créateurs de Concurrence pour faire une version Mac OS X avec laquelle il faisait son show aux MacWorld et WWDC.

Pages était à l’origine un logiciel de mise en page lui aussi né sur NeXTStep et que Steve Jobs appréciait. Re-belote. Au moment de l'abandon d'AppleWorks, il a été doté de fonctions Traitement de Textes légères. Il s’est étoffé au fil des versions.

Numbers fut créé pour combler un manque de tableur « Apple-style » avec la disparition d’AppleWorks. For the rest of us

Encore une fois, ils ne sont pas là pour concurrencer les logiciels Microsoft Office.

Si Apple avait ce désir, elle prendrait le code d’Apache OpenOffice, mettrait une équipe d’ingénieurs sur le coup et hop ! Tu aurais ton concurrent sérieux à Microsoft Office sur Mac.

Mais Apple ne voit aucun intérêt à consacrer de l’argent, du personnel et du temps à faire ce que d’autres ont déjà fait.

D’autant plus que ce que souhaitent les macusers qui seraient concernés par un tel produit, c’est un logiciel « comme Office » en aucun cas un logiciel « Apple-style ». Il n’est pas question de « révolutionner la suite bureautique ». C’est sérieux. On travaille. La compatibilité des macros est plus importante que les trouvailles d’interface, fussent-elles géniales.

Ceux qui en ont besoin disposent de Microsoft Office, ceux qui s’en passent très bien utilisent iWork.

Regarde dans le cinéma. Il y avait un article l’autre jour où un réalisateur déplorait que ses collègues d’Hollywood n’accordaient pas assez d’attention à Final Cut Pro et préféraient toujours les vieux outils AVID. Final Cut Pro a de multiples atouts mais les professionnels préfèrent travailler avec les outils qu’ils connaissent, qu’ils maîtrisent. Ils ont rarement le temps de se former à de nouvelles manières de faire.

Pareillement, Microsoft Office est devenu le logiciel référence dans la bureautique, à tel point que son principal concurrent, Open/Libre, ne fait que le singer maladroitement depuis une décennie.

Quel est le principal objet de Open/Libre Office ? Officiellement, l’Open Document Format. Dans la réalité, la compatibilité avec Microsoft Office. Car c’est ce que demandent avant tout ses utilisateurs.

Pourquoi Apple s’aventurerait-elle dans ce sac de nœuds ?

Pour être entièrement indépendante. Si un jour Microsoft décide de rendre Office pour Mac incompatible avec Mac OS, alors Apple perdra de grandes parts de marché et beaucoup de macusers quitteront mac. Et moi ce que je trouve insupportable c'est que sur windows Word s'ouvre en une seconde alors qu'il prend plusieurs secondes à s'ouvrir sur MAC OS. Pages qui est un produit 100% Apple s'ouvre très rapidement sur MAC OS et je voudrais qu'il en soit ainsi avec Word, mais puisque c'est un concurrent qui produit Word pour Mac, ce concurrent fait exprès de rendre son produit moins performant sur la plateforme concurrente que sur sa propre plateforme windowsienne. Et cette logique est la même avec Skype. Quand j'utilise des produits Microsoft sur Mac OS j'ai l'impression d'utiliser des produits de seconde main, des produits fonctionnant de manière sous-optimale, des produits qui existent forcément en mieux sur la plateforme windowsienne officielle.
 
Pour être entièrement indépendante. Si un jour Microsoft décide de rendre Office pour Mac incompatible avec Mac OS, alors Apple perdra de grandes parts de marché et beaucoup de macusers quitteront mac. Et moi ce que je trouve insupportable c'est que sur windows Word s'ouvre en une seconde alors qu'il prend plusieurs secondes à s'ouvrir sur MAC OS. Pages qui est un produit 100% Apple s'ouvre très rapidement sur MAC OS et je voudrais qu'il en soit ainsi avec Word, mais puisque c'est un concurrent qui produit Word pour Mac, ce concurrent fait exprès de rendre son produit moins performant sur la plateforme concurrente que sur sa propre plateforme windowsienne. Et cette logique est la même avec Skype. Quand j'utilise des produits Microsoft sur Mac OS j'ai l'impression d'utiliser des produits de seconde main, des produits fonctionnant de manière sous-optimale, des produits qui existent forcément en mieux sur la plateforme windowsienne officielle.
Ce n'est pas de l'abandon par Microsoft qu'il faut avoir peur, c'est de celui d'Adobe.
 
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