1943-Le commandant Wagner part en inspection afin de voir l’état d’avancement du mur de l’Atlantique.
Dans son auto blindée, il roule sur les routes de Normandie.
Le même jour, à la même heure, un paysan, perché sur sa charrette et accompagné de son chien, chemine sur la même route dans le sens contraire.
Au moment où les deux véhicules se croisent le cheval du paysan se cabre, affolé par le bruit de la voiture. Et le tout valdingue au fossé.Le paysan, la charrette, le cheval et le chien.
Le paysan : Fracture ouverte du fémur droit. L’½il gauche pend, sanguinolent sur la joue.
Le cheval : Les côtes ont percé les flancs.
Le chien : Gît dans le fossé les tripes à l’air.
L’officier de la Wermacht descend de sa voiture et constate les dégâts.
S’approchant du cheval, il dégaine son P38 et dit.
Nous officier du grand Reich nous ne laissons pas souffrir les animaux… .PAN !
Arrivant près du chien… .Nous …Les officiers de l’ordre nouveau, ne laissons pas souffrir... ….PAN !
Le paysan voyant l’officier s’approcher de lui…Agrippe fermement de la main l’os de son fémur droit et se redresse péniblement. Soutenant dans le creux de la main son ½il gauche.
Il ébauche un sourire douloureux et s’écrie.
Heureusement que je ne suis pas fait mal.
Dans son auto blindée, il roule sur les routes de Normandie.
Le même jour, à la même heure, un paysan, perché sur sa charrette et accompagné de son chien, chemine sur la même route dans le sens contraire.
Au moment où les deux véhicules se croisent le cheval du paysan se cabre, affolé par le bruit de la voiture. Et le tout valdingue au fossé.Le paysan, la charrette, le cheval et le chien.
Le paysan : Fracture ouverte du fémur droit. L’½il gauche pend, sanguinolent sur la joue.
Le cheval : Les côtes ont percé les flancs.
Le chien : Gît dans le fossé les tripes à l’air.
L’officier de la Wermacht descend de sa voiture et constate les dégâts.
S’approchant du cheval, il dégaine son P38 et dit.
Nous officier du grand Reich nous ne laissons pas souffrir les animaux… .PAN !
Arrivant près du chien… .Nous …Les officiers de l’ordre nouveau, ne laissons pas souffrir... ….PAN !
Le paysan voyant l’officier s’approcher de lui…Agrippe fermement de la main l’os de son fémur droit et se redresse péniblement. Soutenant dans le creux de la main son ½il gauche.
Il ébauche un sourire douloureux et s’écrie.
Heureusement que je ne suis pas fait mal.