@jeanjd63 : Qu’est-ce que tu viens la ramener avec cette vieille carne stalinienne ? L'hypocrite donneur de leçons, faux sage planqué dans son Vivarais, assis sur son pécule de la Sacem, il se drapait bien au chaud de cette société qu’il attaquait du bout des lèvres.
Cette chanson est une honte. Elle place bien le personnage du compositeur et ses thuriféraires.
Attaqué par Ferrat ? C’est signe qu’on est du bon côté, pas celui du goulag, pas celui des camp de prisonniers du Viet-Minh, des charniers de Pol-Pot, des chars soviétiques dans Budapest ou dans Prague. Le côté du type avec son sac plastique sur la place Tien-am men, le côté de
Jan Palach.
Le « sang sur les mains » ? Mais le cadavre pourri de Ferrat en est sans doute encore recouvert pour des siècles, comme il l’a été de la tête aux pieds tout au long de sa vie de méprisable héraut du PCF.
À la lâcheté de la chanson qui va jusqu’à assimiler monsieur d’Ormesson aux antisémites nazis, diffamation incroyable quand on a lu son œuvre, s’ajoute la bassesse de
@jeanjd63 qui ose la poster ici, à ce moment. C’est minable, comme toi.
Monsieur d’Ormesson, un vrai écrivain, s’est sans doute parfois trompé, comme nous tous, mais lui se battait pour la liberté et la démocratie, la vraie, pas celle des assassins de l’Est, les amis de Ferrat.
Jean d’Ormesson
C’est un grand monsieur qui s’en est allé.
