Lucas : Amis poilus, je fais appel à vous, après avoir reçu un traitement non-canin et dégradant : moi qui étais si fier de mon superbe pelage de bichon maltais, j’ai été victime hier d’un ignoble traquenard.
Alors que je pensais que mes maîtres, infâmes traîtres, m’amenaient en ballade, v‘la t’y pas que je me retrouve plongé dans la baignoire puis cerné par les ciseaux de la toiletteuse.
Le résultat, vous le voyez, je ressemble à un vulgaire zinneke, je suis la risée du quartier, plus aucune petite chienne de race ne veut m’approcher.
Mais foi de Lucas je le promets, aucune des pantoufles de mes maîtres n’échappera à ma vengeance !