Que m'a-t-il pris d'écrire ce message ?
Quelle bétise m'a saisi pour que je l'envoie ?
Un message en forme d'adieu alors que je souhaite tout le contraire.
Je ne voulais dire qu'une chose : je pense à toi, souvent.
Mais je suis décidément d'une maladresse rare, doué d'une incomparable faiblesse relationnelle avec celles et ceux que j'apprécie.
Et quand plus tard, je t'ai vue poindre le nez, au lieu de te héler pour m'excuser, rien, j'ai détourné le regard.
J'aurais tant voulu te dire que je comprends ta peine sans la connaitre, et que non, tu ne crées pas de douleur chez moi, seulement un manque, te dire que tu avais ouvert une brèche amicale dans ma carapace et que cette fissure était une cicatrice que j'aimais tant…
Au lieu de tout ça, je lance des invitations que je n'assume pas.
Pardon.
A.
Quelle bétise m'a saisi pour que je l'envoie ?
Un message en forme d'adieu alors que je souhaite tout le contraire.
Je ne voulais dire qu'une chose : je pense à toi, souvent.
Mais je suis décidément d'une maladresse rare, doué d'une incomparable faiblesse relationnelle avec celles et ceux que j'apprécie.
Et quand plus tard, je t'ai vue poindre le nez, au lieu de te héler pour m'excuser, rien, j'ai détourné le regard.
J'aurais tant voulu te dire que je comprends ta peine sans la connaitre, et que non, tu ne crées pas de douleur chez moi, seulement un manque, te dire que tu avais ouvert une brèche amicale dans ma carapace et que cette fissure était une cicatrice que j'aimais tant…
Au lieu de tout ça, je lance des invitations que je n'assume pas.
Pardon.
A.