Pour les profs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Lamar
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Naaan, c'est mon discours qui vous met dans cet état, les gars ?
Allez, on va se prendre une petite douche fraiche* et au dodo.
:siffle:

* absolument, sans circonflexe. :zen:
 
'tain, faut que je relise les programmes, moi... :rateau:

Si je fais mettre un s (et encore, parfois, c'est un x...) au pluriel, -is aux deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif des verbes du deuxième groupe -qui font saucissons avec nous en plus-, que le verbe s'accorde en genre et en nombre avec le sujet, que le participe passé d'un verbe conjugué avec l'auxiliaire avoir ne s'accord jamais avec le sujet, qu'une phrase commence par une majuscule et se termine par un point (qui peut être d'exclamation ou interrogatif, aussi...), et que si j'ai tombé par terre c'est la faute à Voltaire, j'ai bon ?

Hein ? :mouais: ...
 
On ne créé pas une élite en étant élitiste, mais c'en flattant l'ignorance de tous que certains peuvent indûment accéder au pouvoir.

(attention, la phrase précédent est brevetée ©DrFatalisTM, et ne pourra être utilisée comme sujet de devoir, dans l'optique où cela existerait encore, qu'avec l'autorisation de son inoxydable et néanmoins métallique auteur.)

Alors là, je conteste le © avec la véhémence la plus indignée : il s'agit là ni plus ni moins que d'une reformulation plus alambiquée (sale élitiste, va ! :p) du célèbre, mais néanmoins "tombé" dans le domaine public : "Au pays des aveugles, les borgnes sont rois !" :o

:hein:


:D :D :D
 
Je suis vraiment stupéfaite de l'agressivité qui transpire de tes propos, DrFatalis. Mais il s'agit peut-être d'une interprétation de ma part. Alors je reformule : "de l'agressivité que je sens transpirer de tes propos".
Et des jugements et amalgames que j'y lis.
Tu ne me connais pas, tu ne sais ni comment j'enseigne, ni pourquoi j'enseigne comme je le fais, tu ne connais pas mes conceptions du métier, de la Culture, de sa transmission (moi, je dirais de son partage), des démarches pédagogiques et didactiques (oh, le vilain mot) qui ont ma faveur (sans que je sois toujours à même de les mettre en oeuvre d'ailleurs), de mon (attention, autre très vilain mot) positionnement épistémologique. Tu as juste pu lire, sur ce forum, ce que j'ai bien voulu y écrire, en le tournant de la manière qui m'arrangeait de le tourner.
Et ça te suffit pour formuler ce que je lis comme des jugements définitifs. C'est bien. Mais ça reste ton interprétation.
Je déplore que beaucoup de discussions sur des sujets relatifs à notre profession (ce à quoi j'avais cru comprendre que ce fil pouvait aussi servir, le côté "salle des profs" qu'apprécie Pascal) débouchent sur des interventions que je juge (je me permets) excessives.
Salutations.
 
Je suis vraiment stupéfaite de l'agressivité qui transpire de tes propos, DrFatalis. Mais il s'agit peut-être d'une interprétation de ma part. Alors je reformule : "de l'agressivité que je sens transpirer de tes propos".
Et des jugements et amalgames que j'y lis.
Tu ne me connais pas, tu ne sais ni comment j'enseigne, ni pourquoi j'enseigne comme je le fais, tu ne connais pas mes conceptions du métier, de la Culture, de sa transmission (moi, je dirais de son partage), des démarches pédagogiques et didactiques (oh, le vilain mot) qui ont ma faveur (sans que je sois toujours à même de les mettre en oeuvre d'ailleurs), de mon (attention, autre très vilain mot) positionnement épistémologique. Tu as juste pu lire, sur ce forum, ce que j'ai bien voulu y écrire, en le tournant de la manière qui m'arrangeait de le tourner.
Et ça te suffit pour formuler ce que je lis comme des jugements définitifs. C'est bien. Mais ça reste ton interprétation.
Je déplore que beaucoup de discussions sur des sujets relatifs à notre profession (ce à quoi j'avais cru comprendre que ce fil pouvait aussi servir, le côté "salle des profs" qu'apprécie Pascal) débouchent sur des interventions que je juge (je me permets) excessives.
Salutations.

Très chère lalis, je viens de relire son post, et si j'y décèle un ton plutôt désabusé, point d'agressivité n'y trouve-je. Qu'il exprime une opinion tranchée, c'est certain, mais il l'exprime accompagnée d'une argumentation tout a fait claire, qu'on la considère recevable ou pas, et il ne me parait pas avoir conclus par quelque équivalent que ce soit à un "la discussion est close", donc, je suis aussi surpris de ton intervention que toi de la sienne apparemment.

Sur le côté "salle des profs", ça n'est pas "aussi", mais bien la raison d'être principale de ce fil, qui n'est hébergé dans ce forum technique que pour lui éviter les interventions oiseuses des trolls de tous poils.

Enfin, sur le fond, et si j'ai bien suivi tes propres arguments , je vois poindre un énorme problème : le français écrit sert à permettre la seconde forme de communication en importance (dans le sens quantitatif du terme) entre les gens de ce pays (et de quelques autres). La réforme que tu décris me parait bien, sous ses dehors "modernisateurs", de nature à creuser un peu plus le fossé de l'incommunicabilité inter-générationnelle* : en effet, si la langue écrite enseignée aux générations montantes suis cette évolution que tu semble appeler de tes vœux, viendra un moment ou des gens ayant le même langage "parlé" écriront deux langues différentes, et finirons par ne plus se comprendre dans ce mode de communication. D'ailleurs, la dérive extrême qu'on peut envisager pour cette démarche est le remplacement à terme du français écrit par le essèmesse, ce qui, tu voudras bien en convenir, posera des problèmes lorsqu'on cherchera à intéresser nos chères têtes blondes à Hugo, Stendhal ou Balzac. En effet, ces auteurs auront alors un écrit tout à fait inintelligible pour ces bambins, à moins d'engager des traducteurs, ou de se résoudre à ne leur faire connaître ces textes qu'au moyen de cassettes audios.

La volonté de réformer "à tout prix" ça provoque des excès, notamment en tout ce qui touche à la linguistique, domaine pour lequel il me semble préférable de laisser faire l'évolution naturelle, qui elle, sait faire évoluer une langue sans que des contemporains de tranches d'âge différentes n'en viennent à parler ou écrire dans des langages différents.

Et comme à coutume de dire un de mes amis très chers : "c'est là mon opinion, et je la partage !" :zen:


(*) Tiens, celui ci, ou je viens d'inventer un néologisme, ou le "correcteur" orthographique de Mac OS a des lacunes :siffle:

:D
 
Enfin, sur le fond, et si j'ai bien suivi tes propres arguments , je vois poindre un énorme problème : le français écrit sert à permettre la seconde forme de communication en importance (dans le sens quantitatif du terme) entre les gens de ce pays (et de quelques autres). La réforme que tu décris me parait bien, sous ses dehors "modernisateurs", de nature à creuser un peu plus le fossé de l'incommunicabilité inter-générationnelle* : en effet, si la langue écrite enseignée aux générations montantes suis cette évolution que tu semble appeler de tes vœux, viendra un moment ou des gens ayant le même langage "parlé" écriront deux langues différentes, et finirons par ne plus se comprendre dans ce mode de communication. D'ailleurs, la dérive extrême qu'on peut envisager pour cette démarche est le remplacement à terme du français écrit par le essèmesse, ce qui, tu voudras bien en convenir, posera des problèmes lorsqu'on cherchera à intéresser nos chères têtes blondes à Hugo, Stendhal ou Balzac. En effet, ces auteurs auront alors un écrit tout à fait inintelligible pour ces bambins, à moins d'engager des traducteurs, ou de se résoudre à ne leur faire connaître ces textes qu'au moyen de cassettes audios.
Ce serait le cas si les rectifications de 1990 étaient profondes et nombreuses. Elles ne sont qu'un léger toilettage quasiment anecdotique (au point que je m'étonne de la proportion prise ici), n'affectent que 1200 mots au total et n'empêchent personne de recourir à l'orthographe non rectifiée. Ce n'est pas une "réforme", devenue difficile depuis la massification de l'accès à l'écrit (en gros depuis les Lois Ferry... Jules).
En France, le 18ème siècle a été une période féconde en changements dans le domaine orthographique, sous l'impulsion des philosophes qui entrent à l'Académie : beaucoup de lettres muettes supprimées (autheur -> auteur ; debvoir -> devoir), des graphies adoptées (Voltaire impose ai au lieu de oi). Alors que le 19ème a été, dans l’ensemble, une période frileuse. Le 20ème siècle voit une succession de propositions de réformes, la plupart avortées, qui vont dans le sens du rejet de signes devenus inutiles. Pas de quoi fouetter un chat.
Une réforme massive a eu lieu en Turquie quand Atatürk a imposé l'alphabet latin en remplacement de l'alphabet arabe, et les conséquences ont pu être le clivage que tu évoques, Pascal : aujourd'hui, par ex, la plupart des Turcs ne savent plus lire les inscriptions sur les tombes de leurs ancêtres.
Mais, plus proche de nous, une importante réforme de l’orthographe a eu lieu récemment en Allemagne : mise au point en 1996, la réforme est entrée en vigueur en 1998 et est devenue obligatoire en 2005. C’est donc plus une question de volonté politique que d’accès à l’écrit.

Quant à l'incommunicabilité inter-générationnelle, s'il suffisait de mettre ou pas les circonflexes sur i et u pour régler le pb... :p

Un dernier truc sur l'écriture texto : je ne défend pas cette écriture que je suis incapable d'utiliser (et souvent de lire). Je soutiens (avec quelques autres, des spécialistes comme Jacques David) que pour pouvoir la produire, il faut avoir une assez bonne analyse (pas forcément consciente) des constituants de la langue orale. Les procédés du SMS reposent sur de vieux trucs des dactylos et de la prise de notes : abréviations, réduction aux seules consonnes, équivalents selon le principe du rébus, mélange lettres-chiffres etc. C'est plutôt malin.
Évidemment, ça ne sert pas (au contraire) à la réussite scolaire ni à l'insertion professionnelle. Mais c'est une bonne base pour s'approprier aussi l'écriture standard du français. Ceux qui s'en sortent sont ceux qui savent manier les deux codes (même imparfaitement) et choisir en fonction des situations. Cela suffit à défendre (comme je le fais, même si l'impression que je donne est autre) l'enseignement de l'orthographe (de la langue en général). Et ça tombe bien, je n'enseigne pas les maths, la philo ou les SVT, mais le français... :D
La question de comment on enseigne l'orthographe est un autre débat, que j'éviterai prudemment. F. de Closets s'en charge sur tous les médias depuis la rentrée.
:zen:

Je soumets à la réflexion ce que Mézeray écrit dans un projet pour le Dictionnaire de l’Académie de 1694 :
« La Compagnie declare qu’elle desire suiure l’ancienne orthographe qui distingue les gents de lettres davec les ignorants et les simples femmes, et qu’il faut la maintenir par tout, hormis dans les mots ou un long et constant usage en aura introduit une contraire. »
:siffle:
 
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« La Compagnie declare qu’elle desire suiure l’ancienne orthographe qui distingue les gents de lettres davec les ignorants et les simples femmes

Ça existe, ça, une "simple femme" ? :mouais: Perso, je n'en connais que de relativement complexes ! :rateau:

:D

Cela dit, en ce qui me concerne, la suppression des accents nuit à ma compréhension d'un texte, car dans ce cas, j'ai tendance à me focaliser sur ce que je considère comme des manques, plus que sur le texte lui même, mais sans doutes suis-je le seul dans ce cas :heu:

et n'empêchent personne de recourir à l'orthographe non rectifiée

Le problème ne concerne pas le rédacteur, ici, mais bien le lecteur, car il ne s'écrit pas que des "journaux intimes", donc, c'est bien au(x) lecteur(s) que je pense !
 
Je crois que l'agressivité de Fatalis (et la mienne, par la même occasion), n'est pas dirigé contre toi, Lalis, mais bien contre certaines conceptions de notre travail que nous avons appris, lui comme moi, à détester.

Je n'ai pas trop le temps de tout lire ce soir (le boulot!), mais je reviens sur une de tes affirmations : la langue, ça sert à communiquer. Eh bien, permet moi de te dire que sur ce point, il y a désaccord absolu à mon niveau. La langue, pour moi, ça sert à dire. Ce n'est pas une coquetterie de philosophe, mais bien quelque chose d'essentiel et qui ne peut souffrir la demi-mesure. Dire, c'est faire exister quelque chose par les mots, ou le dévoiler par les mots. L'homme cherche à dire le monde, il ne "communique" pas simplement, sinon il y aurait peu de différence entre lui et des termites. Ce mot de "communication" est un mot qui semble moral, c'est un jouet d'opinion : il semble bien joli et sympathique, mais il ne l'est pas. Communiquer c'est "être ensemble" donc c'est le bien. Dire c'est toujours être soupçonné d'être seul. Mais pas du tout : dire ou prendre la parole, ça s'adresse toujours à l'autre, à beaucoup d'autres même. Si le langage ne servait qu'à communiquer on pourrait balancer toute la littérature, toute la poésie, et même sans doute la science à la poubelle. Or, je m'y refuse. Je veux que mes élèves soient libres et responsables, je ne veux pas qu'ils croient à un monde où dès qu'il y a contact avec l'autre, tout est bien. Je ne veux pas qu'ils se laissent prendre au piège de ces mots neutralisés (technique, communication, mercatique) qui se donne comme de purs moyens et qui oublient la question des fins, qui servent sans se demander à quoi ou qui…
L'affaire est grave donc, et c'est pour ça que nous sommes en colère après des gens qui devraient être du même bord que nous (en tout cas, que moi) et qui se voilent la face avec des mots soi-disants neutres comme celui de communication.
Cela n'est pas dirigé contre toi, me semble-t-il, mais il est clair que l'ennemi, pour moi, et pour Fatalis, ce sont ce qu'il appelle les pédagogos… Ils nous ont pourri notre métier, donc, nous leur en voulons, rien que de très normal.
Je considère, pour ma part que l'enseignement est un art, et non une science comme certains voudraient nous le faire croire, c'est-à-dire quelque chose de l'ordre du savoir faire et non de celui des sciences et des techniques purement applicatives. On apprend à enseigner en enseignant. Le jour où nous serons de purs techniciens, nous serons tous des Eichmann en puissance.
Zut ! Je me suis étalé, alors que je vous ai si peu lu… Je me rattraperez demain ou après-demain, promis !

Au risque de paraître catégorique : non il ne s'agit pas d'une affaire d'opinion personnelle, ni même d'interprétation, mais d'une vérité, indéniable, à mon sens. Fasciste que je suis ! Je crois qu'il n'y a qu'une vérité, le "chacun son opinion" est encore une manière de neutraliser le débat et de faire gagner ceux qui ont le pouvoir où qui manipulent pour l'obtenir. De même, il n'y a pas deux orthographes, il n'y en a qu'une pour l'instant. Et ça, les tenants de la réforme refuse de le voir. Il suffit pourtant d'ouvrir les yeux : ils prétendent enseigner quelque chose que l'usage a refusé. Qui impose ???
 
Je n'ai pas trop le temps de tout lire ce soir (le boulot!), mais je reviens sur une de tes affirmations : la langue, ça sert à communiquer. Eh bien, permet moi de te dire que sur ce point, il y a désaccord absolu à mon niveau. La langue, pour moi, ça sert à dire.
Aïe aïe aïe ! Mais je pense exactement la même chose que toi : la langue, c'est la symbolisation, la représentation du monde. C'est bien autre chose que communiquer, bien plus.
Je n'ai jamais écrit ce que tu me fais dire : relis le passage
Pour moi l'orthographe, qui est une plaie pour le scripteur, est une aide au lecteur en ce qu'elle donne des clés de lecture et de compréhension. Si elle fournit en plus des fioritures inexplicables sans une connaissance approfondie du latin, du grec et de l'histoire de la langue (le pluriel en -aux des mots en -al, par ex), elle est élitiste et dépasse ses fonctions essentielles d'outil de communication.
Analysons la chaine des substituts...
elle = l'orthographe
Pas la langue...

Où se nichent les malentendus, n'est-ce pas ?
:p
 
Je saisis peu la nuance. L'orthographe faisant partie de la langue n'est pas plus un outil de communication que la langue elle-même.
Je pense que l'orthographe, dans la mesure où elle pose des pistes étymologiques et historiques est une source d'indications multiples qui permet à chacun d'explorer sa propre langue. "Rationaliser" l'orthographe, en gommant son historicité, c'est la transformer en pur outil univoque.
 
Chère Lalis, aucune agressivité contre toi, loin de là.
J'aime trop les dames :D
Et les chats :love:

Mais dans mon domaine (formulation extraordinairement vaniteuse), les sciences, d'ardents pédagogues de l'école Mérieux et s'abritant derrière Feyerabend, par exemple, veulent nous forcer à appliquer en sciences les recettes qui ont si bien échouées en Français (du moins, je le pense au vu de l'involution de la compréhension de l'écrit et de l'expression de mes élèves).

Aussi je suis véhément (je n'ai rien d'un tiède, j'aime les joutes oratoires, les vrais débats - Mac ou PC ?) contre ces conceptions, mais pas contre toi. Je réagit,comme tu les dis, a tes propos, pas à ta personnalité, que je ne connais pas.

A titre personnel, je suis favorable à ce que ls professeurs, dans un cadre très souple défini par des programmes minimum, jouissent de la plus grande liberté quant à leur façon d'enseigner (tant qu'ils enseignent).
 
... les recettes qui ont si bien échouées en Français (du moins, je le pense au vu de l'involution de la compréhension de l'écrit et de l'expression de mes élèves).

Je confirme, elles ont échoué, et ça écœure les profs de français (les vrais) de devoir suivre certains programmes.

---------- Nouveau message ajouté à 15h24 ---------- Le message précédent a été envoyé à 15h21 ----------

A titre personnel, je suis favorable à ce que ls professeurs, dans un cadre très souple défini par des programmes minimum, jouissent de la plus grande liberté quant à leur façon d'enseigner (tant qu'ils enseignent).

Une mission à accomplir la possibilité de le faire vraiment au lieu de faire des audits.
"quand ils enseignent" effectivement, parce que la mode en ce moment c'est de voir des collègues réclamer eux-mêmes de faire des activités "péri-scolaires". Le top reste quand il réclament de pouvoir donner au gamin de la culture (sous-entendu, lesdites activités, le théâtre, l'art) … pourquoi ? Le reste, ça n'est plus de la culture ?

---------- Nouveau message ajouté à 15h27 ---------- Le message précédent a été envoyé à 15h25 ----------

Moi aussi, j'aime bien les chats. C'est juste leur régime alimentaire qui me pose problème…
 
Bonjour,
je colle pas à l'actu, :mouais:
et je coupe le fil ,
besoin d'un sérieux coup de pouce,
je recherche des anti-virus compatibles E.N pour installer dans les écoles de mon département (sur des PC bien sûr! sous Xp...en plus...)
donc on me demande de tester Moonsecure,
les avis sont partagés,
qu'en pensez vous ?
ici même,
cordialement,
Patrick JJ

PS: j'ai qu'un mi-temps donc peu de temps à consacrer à des tests in situ...
 
Merci Lamar,
je trouve F secure
payant malheureusement, :D
on cherche une application Freeware !
cordialement,
patrick JJ
Avira Antivir
Meilleur gratuit dans différents test.

Couplé avec Spybots Search & Destroy.

Accessoirement, utilisation du machin qui ne fait pas que maintenir l'écartement des oreilles... (pas d'ouverture de fichiers à risque, de téléchargement abusif, pas de p2p, ...)

Pas de soucis en classe ou sur la partition XP de mon MBP.
 
Il me semble que chez nous, les PC sont protégés par Kaspersky. En revanche, j'ignore si il s'agit d'un contrat propre à l'établissement , si c'est académique ou si il y a des accords entre Kaspersky et E.N. Je sais qu'il y en a eu dans le passé puisqu'à l'instar de Microsoft Office 2007 , les enseignants pouvaient obtenir gratuitement l'autorisation d'utiliser cet antivirus.

En ce qui concerne les "gratuits" je plussoie en ce qui concerne Antivir : non seulement il n'est pas trop intrusif mais il fait parfois mieux que certains produits payants.

Pour les autres "malwares" j'utiliserais Malwarebytes Anti malware :)
 
Bonsoir,

Dans certaines académies, il y a effectivement un marché entre l'EN et Kaspersky.

Par exemple (au hasard), voir le site de l'Académie de Toulouse: http://tice.ac-toulouse.fr/web/159-lantivirus-academique.php
Effectivement.
Ainsi sur l'Académie de Nantes, il y a des offres de licences pour différents produits, et ce depuis plusieurs années...
Je vais chercher le lien...
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Le voilà...
http://www.ac-nantes.fr/36814468/0/fiche___pagelibre/