Il parait que quand il y un doute il n'y pas pas de doute ....
Faut se calmer si on ne peut rien dire c’est un forum d’échange non ? On ne peut plus poser de question ?
J’ai compris je la ferme et continue de jouer les petits chefs ça devait être ça ta reconversion...
10 ans avant la retraite, j'ai quitté un poste "confortable" de cadre supérieur chez P&G pour me lancer dans l'interim management via Robert Half International.
En effet, l'âge avançant, je me sentais un peu déphasé par rapport à la culture d'entreprise de P&G axée sur la performance (Up or Out !) et j'avais envie d'autres horizons.
Le lendemain de mes entretiens chez Robert Half, j'entamais ma première mission en qualité d'interim manager et je les ai cumulées sans une seule journée d'interruption jusqu'à la prise en cours de ma retraite.
La mission la plus courte a été de 4 mois chez le même employeur et la plus longue de 4 ans chez CBR Bruxelles où j'ai cumulé diverses fonctions allant de General Ledger Manager à Integration Manager pour les nouvelles entités acquises par le groupe.
Ce fut la plus belle période professionnelle de toute ma vie ... des challenges journaliers, du changement, le besoin de d'adapter aux nouvelles fonctions, des voyages, et, ce qui ne gâche rien, un salaire bien (très bien) étoffé !
Bref, que du bonheur après avoir pris le risque de m'engager dans l'interim à 55 ans (ce que j'aurais du faire beaucoup plus tôt étant donné que, débarquant chez un client qui a des soucis d'organisation, vous êtes un peu considéré comme un "sauveur" !)
En effet, l'âge avançant, je me sentais un peu déphasé par rapport à la culture d'entreprise de P&G axée sur la performance (Up or Out !) et j'avais envie d'autres horizons.
Le lendemain de mes entretiens chez Robert Half, j'entamais ma première mission en qualité d'interim manager et je les ai cumulées sans une seule journée d'interruption jusqu'à la prise en cours de ma retraite.
La mission la plus courte a été de 4 mois chez le même employeur et la plus longue de 4 ans chez CBR Bruxelles où j'ai cumulé diverses fonctions allant de General Ledger Manager à Integration Manager pour les nouvelles entités acquises par le groupe.
Ce fut la plus belle période professionnelle de toute ma vie ... des challenges journaliers, du changement, le besoin de d'adapter aux nouvelles fonctions, des voyages, et, ce qui ne gâche rien, un salaire bien (très bien) étoffé !
Bref, que du bonheur après avoir pris le risque de m'engager dans l'interim à 55 ans (ce que j'aurais du faire beaucoup plus tôt étant donné que, débarquant chez un client qui a des soucis d'organisation, vous êtes un peu considéré comme un "sauveur" !
)
M
Membre supprimé 153005
Invité
Merci pour ton témoignage.
Je le prend comme un encouragement !
Et n'oublie pas ... LE CULOT !!!!!
Un jour, on me propose en extrême urgence une mission relative à la consolidation des comptes des filiales américaines d'un groupe pharmaceutique avec la question : "Vous sentez-vous capable d'assumer cette mission ?" ... Ma réponse : "Bien entendu ! Les 2 doigts dans le nez !".
OK ! Si je maniais très bien les opérations de consolidation en général, je savais pertinemment bien que les Etats-Unis étaient soumis au fameux Sarbanes Oxley Act qui régit toutes les opérations comptables et dont j'ignorais totalement la teneur ... Bref, je me suis procuré toute la doc nécessaire et après une dizaine de jours (et aussi de nuits
) d'étude, j'étais fin prêt !Si j'avais hésité, j'aurais raté cette occasion et l'opportunité d'ajouter quelques lignes précieuses à mon CV !
C'est surtout aux commères de faire preuve de retenue… On fait dans la reconversion professionnelle ici, pas dans l'étalage de la vie privée. Les indiscrets sont donc priés de se contenir.
As-tu vu la gueule de tes questions ? Franchement… On dirait un gosse de trois ans !
Voilà, tu la fermes et tu laisses les reconvertis causer !
Ah mais je ne joue pas les petits chefs, gamin, je suis le petit chef ici.
Si tu étais capable de raisonner au-delà de ta petite calebasse, Brandon, tu eus compris mes remarques.
Quand je vous invite à vous taire si vous n'avez rien de valable à dire sur le sujet de la reconversion professionnelle, cela veut dire que tout message contrevenant à cette invitation voit son auteur averti verbalement. S'il persiste dans cette voie, je supprime ses interventions et/ou je bannis le posteur du sujet. Ça ne va pas plus loin. Inutile d'extrapoler à la manière d'un zigoto du samedi vêtu d'un équipement de haute visibilité qui se plaint des coups donnés par les forces de l'ordre, je suis insensible à ces jacasseries.
Comme ça, en passant, ce ne serait pas une discussion pour le comptoir ?
J'ai pensé la même chose quand j'ai vu cette discussion apparaître sur mon tableau de bord !
J'ai alors posé la question aux autres modos. N'ayant eu qu'une nouvelle question en guise de réponse, je n'allais quand même pas refiler le bébé au grand chef comme ça, en douce. Il avait aussi droit à sa vacance du boulot ingrat de community manager. J'ai donc pris sur moi de garder ce sujet dans mon pré carré. Je savais pertinemment que les hurluberlus de tous poils allaient rappliquer, des bons mots plein le clavier. Mais je continue de penser que cette discussion serait mieux sur le comptoir. Attendons que le chef revienne.
olala, j'ai entendu parler d'une opportunité d'emploi à l'autre bout du monde
ça correspond à mon profil... mais c'est à l'autre bout du monde !
ce n'est pas de la reconversion professionelle, mais ça me donnerai une autre opinion sur ce que je fais aujourd'hui, avant de vraiment changer.
pas facile, et j'ai l'impression que le 'saut' est tout aussi important que de changer de métier !
ça correspond à mon profil... mais c'est à l'autre bout du monde !
ce n'est pas de la reconversion professionelle, mais ça me donnerai une autre opinion sur ce que je fais aujourd'hui, avant de vraiment changer.
pas facile, et j'ai l'impression que le 'saut' est tout aussi important que de changer de métier !
D
Deleted member 18124
Invité
Où est-ce exactement ?
Il y a des autres bouts du monde qui sont moins dépaysants que d’autres et où c’est plus facile de s’adapter.
Dernière édition par un modérateur:
M
Membre supprimé 1099458
Invité
Si tu n'es pas totalement prêt à changer de boulot – c'est chiant, il faut se former à un autre métier, etc. – cette opportunité te permet de prolonger ton expérience professionnelle ailleurs. Le dépaysement géographique estompera la lassitude du boulot actuellement ressentie. Ton ennui au travail sera noyé dans cet océan de nouveautés. Et le temps que tu retrouves tes esprits d'aujourd'hui, de nouvelles perspectives auront naturellement fait leur apparition.
Tu dois mettre en balance ta possible reconversion immédiate face à la transformation de ta routine actuelle. Tant que tu n'as pas d'ancrage social fort à un endroit donné, il est toujours intéressant de partir ailleurs pour voir si l'herbe y est plus verte. De mon point de vue, c'est tout aussi motivant de changer de taf que prolonger le boulot loin de son ordinaire.
@Himeji on se fout de savoir où ! J'ai déjà dis que ce genre d’intervention n'apportait rien au débat. Merci.
Ouais, mais on est toujours en terrrasse, non ?
PPF, moi je suis passé de salarié à indépendant, et bien j'en chie... Obligé d'ajouter une seconde activité pour équilibrer. La reconversion ça doit être passer d'une passion à une autre mais faut faire gaffe au milieu dans lequel tu tombes. Il y a 17 ans j'ai voulu travailler dans la plaisance car passionné de voile, quelle désillusion, pas à cause du métier mais à cause du milieu...
Moi ça m'intéresse ! Et puis, comme le dit Toumaï, on est quand même sur la Terrasse, lieu de discussions et d'échanges s'il en est !
Et puis, si tout le monde doit fermer sa gueule, pourquoi parles-tu de débat ?
Sincèrement, tu exagères là !
D
Deleted member 18124
Invité
Désolé, cher modérateur, mais on ne s’en fout pas.
On ne parle pas d’aller à l’autre bout du monde pour faire du tourisme mais pour aller y vivre et travailler.
Et avant de partir s’installer à l’autre bout du monde il faut savoir si on va pouvoir s’adapter au mode de vie local.
Dans une précédente boîte où j’ai travaillé, une de mes collègues connaissait une personne qui est partie s’installer au Japon et y travailler. Au bout d’un mois, elle a craqué et est revenue en France car elle n’arrivait pas à s’adapter au mode de vie nippon.
Tout-à-fait !
C'est totalement inintéressant de dire : "Je me suis reconverti de "X" en "Y"
Ce sont les tenants et les aboutissants de cette décision qui revêtent le plus d'importance : Pourquoi ai-je pris cette décision ? Comment ai-je fait pour la mettre en oeuvre ? Dans quel endroit ai-je décidé de me reconvertir et pourquoi ? Suis-je satisfait de ma décision ? Quels ont été les avantages et les inconvénients de ma décision ?
Les détails sont hyper importants dans le processus de prise de décision et les questions posées par certains interlocuteurs démontrent leur intérêt pour la discussion et méritent qu'on y réponde !
A ce que je sache, aucune règle du forum n'a été transgressée et ce faisant, il n'est absolument pas question de HS, les questions posées étant liées au sujet principal.
En ce qui concerne les règles unilatérales édictées par le modérateur, elles n'engagent que lui seul ... Personnellement je me fais un devoir de les ignorer !
Reprenons le débat (enfin ! façon de parler ! )
Fin des années 70, j'ai eu l'opportunité de m'expatrier à Kinshasa dans l'ex Zaïre.
Il avait été convenu qu'après 3 mois, ma famille me rejoindrait (à ce moment, mon fils avait 5 ans).
J'ai donc passé cette période à l'hôtel Intercontinental et je consacrais mon temps libre à rechercher une maison sur les hauteurs de Limete, pas très loin de la résidence du président Mobutu à l'époque.
J'ai très vite constaté que la vie à Kinshasa était relativement dangereuse et j'ai également vite compris pourquoi les européens logeaient dans des sortes de ghettos sécurisés avec barreaux aux fenêtres et panic room pour les mieux lotis.
J'ai été traumatisé de constater par affiches interposées que des exécutions publiques avaient lieu dans le grand stade de Kinshasa et qu'un public nombreux était convié à y participer.
A la deuxième agression, m'étant perdu la nuit en bagnole (une 4L sans pare-brise) dans les faubourgs, je me suis retrouvé pratiquement nu, sans papiers, ni bagnole, avec une machette devant la gueule ... Je ne vous dis pas les formalités auprès de l'ambassade de Belgique afin de recouvrer une existence légale !
C'est à ce moment que j'ai décidé qu'il était impensable de faire venir ma femme et mon fils dans des conditions pareilles et j'ai décidé de rentrer en Belgique.
Superbe coïncidence : le dernier soir avant mon retour, j'ai sympathisé avec un gars qui était DG d'une société allemande, cette même société étant la maison-mère de la société pour laquelle je travaillais à Kinshasa - il m'a remis sa carte et m'a dit de le contacter pour un rendez-vous à Darmstadt - un mois après je bossais pour lui et j'ai pu commencer ma carrière sous les meilleurs auspices.
Voilà donc une expérience un peu "désastreuse" qui s'est terminée en coup de chance ... Il ne faut donc jamais désespérer ! ... Jamais !
)Fin des années 70, j'ai eu l'opportunité de m'expatrier à Kinshasa dans l'ex Zaïre.
Il avait été convenu qu'après 3 mois, ma famille me rejoindrait (à ce moment, mon fils avait 5 ans).
J'ai donc passé cette période à l'hôtel Intercontinental et je consacrais mon temps libre à rechercher une maison sur les hauteurs de Limete, pas très loin de la résidence du président Mobutu à l'époque.
J'ai très vite constaté que la vie à Kinshasa était relativement dangereuse et j'ai également vite compris pourquoi les européens logeaient dans des sortes de ghettos sécurisés avec barreaux aux fenêtres et panic room pour les mieux lotis.
J'ai été traumatisé de constater par affiches interposées que des exécutions publiques avaient lieu dans le grand stade de Kinshasa et qu'un public nombreux était convié à y participer.
A la deuxième agression, m'étant perdu la nuit en bagnole (une 4L sans pare-brise) dans les faubourgs, je me suis retrouvé pratiquement nu, sans papiers, ni bagnole, avec une machette devant la gueule ... Je ne vous dis pas les formalités auprès de l'ambassade de Belgique afin de recouvrer une existence légale !
C'est à ce moment que j'ai décidé qu'il était impensable de faire venir ma femme et mon fils dans des conditions pareilles et j'ai décidé de rentrer en Belgique.
Superbe coïncidence : le dernier soir avant mon retour, j'ai sympathisé avec un gars qui était DG d'une société allemande, cette même société étant la maison-mère de la société pour laquelle je travaillais à Kinshasa - il m'a remis sa carte et m'a dit de le contacter pour un rendez-vous à Darmstadt - un mois après je bossais pour lui et j'ai pu commencer ma carrière sous les meilleurs auspices.
Voilà donc une expérience un peu "désastreuse" qui s'est terminée en coup de chance ... Il ne faut donc jamais désespérer !
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