dans une région "propre"
Ça existe encore, ça ? je pensais que les dernières avaient disparu à la fin du siècle dernier ? :heu:
dans une région "propre"
giscardien ET aucune auto derision?D'habitude tu me fais rire, mais la, pas du tout :mad:
Je ne suis pas encore mort
légende
si la region est polluée , pluie ou pas pluie elle reste polluée
la pluie fait temporairement "tomber au sol" certaines pollutions, simple deplacement
faites le test
pendre un linge blanc à secher dehors
dans une région polluée
dans une région "propre"
comparez
je trouve ça mesquin de cheminer avec un parapluie. C'est méprisant pour le ciel. C'est très beau la pluie, ça redessine une ville, un paysage avec le pinceau de l'éphémère. Il faut savoir goûter le spectacle que nous offre la nature.
les
Puis, la pluie sur le visage est ce qu'il y a de mieux, avec les cheveux trempés, de nuit...
Fous-toi à poil!
Un peu d'humilité, beaucoup de nudité!
mille plateau?
le bouquin de Filozophie?
ah d'accord!
c'était un jeu de mot de philosophe! faut s'accrocher!
:love:
Non, il zozote.
Et puis, le coup du crooner moustachu, je dois le prendre comment? :siffle:
Fous-toi à poil!
Avec tes fringues, tu méprises le vent qui te redessine les poils sur la peau, tu méprises l'éventuel soleil qui jouerais bien au coloriste avec, tu méprise la nature dont les manifestations feraient sinon de ton corps le théâtre vivant où se joue le spectacle sans cesse renouvelé de l'apparence humaine.
Allez, hop!
Un peu d'humilité, beaucoup de nudité!
Le vent dans la ville, le courant d'air, ça n'est pas sublime,
Faut penser à la notion du sublime, en peinture, en littérature (romantique surtout).
Le sublime. Par définition, Ce qui te sublime.
Le vent dans la ville, le courant d'air, ça n'est pas sublime, mais une tornade, un typhon si. Le soleil d'été, ça n'est pas sublime, mais une éruption solaire si. un jet d'eau dans un jardin, ça n'est pas sublime, mais la pluie qui tombe a torrent sur une ville, si.
C'est à ça que je songeais.
Tout dépend de ce qu'il fait frémir, agite ou soulève.
Non ?
Sinon, t'es un pote à Barbelivien ?
La notion du sublime...
ah, c'est sûr que, tout de suite, c'est mieux là, voire sublime.
un courant d'air, pas sublime? un rayon de soleil d'été, pas sublime? Trouve un contexte, et tu verras.
le chant des arbres quand la forêt est parcourue d'un timide frisson (le courant d'air...)
Tu oublies l'art de sublimer les choses, ou de voir le sublime. Tout de même mieux de sublimer quelque chose, puisqu'en passant tu te sublimes et, selon ta définition, c'est donc du sublime.
Essayes-tu de prouver quelque chose?
Il n'y a rien à prouver.
Faut penser à la notion du sublime, en peinture, en littérature (romantique surtout).
Le sublime. Par définition, Ce qui te sublime.
Le vent dans la ville, le courant d'air, ça n'est pas sublime, mais une tornade, un typhon si. Le soleil d'été, ça n'est pas sublime, mais une éruption solaire si. un jet d'eau dans un jardin, ça n'est pas sublime, mais la pluie qui tombe a torrent sur une ville, si.
C'est à ça que je songeais , dans l'iconographie 'romantique' , en disant que je trouve la pluie 'romantique'.![]()
Et tout ça parce que Kant a dit Truc, alors le reste ne sert à rien?
Argument d'autorité, toussa?....
et parfois l'humidité aussiDans pas mal de cas, l'humilité vient avec la nudité...
le chant des arbres...il delire... une certaine fievre romantique sans doutele chant des arbres quand la forêt est parcourue d'un timide frisson (le courant d'air...
Ah tiens...La notion du sublime...
.... Trouve un contexte, et tu verras
et parfois l'humidité aussi
le chant des arbres...il delire... une certaine fievre romantique sans doute
( à la rigueur le bruissement du vent dans les feuiiles...)
Ah tiens...
le sublime étant contextuel , tout peut être sublime , y compris un même phénomene mais percu differemment
prenons un exemple au hasard
une glace du meiilleur glacier de la ville ( préparation de grande qualité incontestée ) peut ne pas etre sublime du tout si le contexte ne s'y prête pas
alors qu'une banale glace industrielle premier prix peut, si le contexte s'y prête, devenir un truc sublime ( ou le moment associé )