Je ne le vois pas de cette façon. À mon sens, maltraiter un livre, c'est tout comme bafouer le travail de son auteur, au-delà de la dégradation de l'état physique de l'objet. En effet, si le lecteur n'est même pas capable de prendre soin du livre, quelle considération prendra-t-il pour son contenu ?Tant que cela reste lisible, c'est suffisant.
Tu soulèves là un point intéressant : l'unicité de l'objet, au-delà de ses particularités intrinsèques, est ce qui fait, à tes yeux, sa qualité et fait que tu lui prêtes une valeur sentimentale.une pièce manufacturée vendu à des milliers d'exemplaires.