et avec la tête ? v2
- Créateur du sujet aricosec
- Date de début
- Statut
LEs petits Secrets...
- Photos...
- couleurs...
- Glisser...
- Palper...
- rires...
Bon une date... Mardi 5 juillet dans la nuit
...
PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
Merci tout le Monde... :zen:
Néfoupasrienpourunefois... Bon :siffle: j'aaattends de tes nouvelles...?
Quel boulot... :siffle: 14 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
- Photos...
- couleurs...
- Glisser...
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- rires...
Bon une date... Mardi 5 juillet dans la nuit
... PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
Merci tout le Monde... :zen:
Néfoupasrienpourunefois... Bon :siffle: j'aaattends de tes nouvelles...?
Quel boulot... :siffle: 14 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
ben attendre la quinzième prévue pour ce soirmacelene a dit:
Quel boulot... :siffle: 14 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
Là, sur le sol. Les yeux plongent dans les vagues de couleurs des petits graviers blancs peignés. Les écouter et s'en aller, glisser. Plus loin, quelque part là-bas, la clepsydre sonne. Humer la lumière filtrée par la brume salée, au-delà des jours, au-delà de l'été. Prendre une feuille de papier, la plier. Écouter. Sentir les cliquetis de la pluie qui palpe le bout des pensées. Le sable ne coule plus vers la terre, c'est la terre qui s'évapore. Aller. Entendre les couleurs du paysage se mélanger, l'arc-en-ciel se former, le soleil inonder. Photo. Les rires de l'univers s'envolent avec ses petits secrets.
TibomonG4 a dit:
Là sur le sol. Les yeux plongent dans les vagues de couleurs des petits graviers blanc peignés. Les écouter et s'en aller, glisser. Plus loin, quelque part là-bas, la clepsydre sonne. Humer la lumière filtrée par la brume salée, au-delà des jours, au-delà de l'été. Prendre une feuille de papier, la plier. Écouter. Sentir les cliquetis de la pluie qui palpe le bout des pensées. Le sable ne coule plus vers la terre, c'est la terre qui s'évapore. Aller. Entendre les couleurs du paysage se mélanger, l'arc-en-ciel se former, le soleil inonder. Photo. Les rires de l'univers s'envolent avec ses petits secrets.
Très joli Tibo !
:zen: :love:
LEs petits Secrets... Bon une date... Mardi 5 juillet dans la nuit ...
- Photos...
- couleurs...
- Glisser...
- Palper...
- rires...
PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
TiboMonG4...
Merci tout le Monde... :zen: Je suis gâtée... de plus en plus difficile de faire un choix... :heu:
Quel boulot... :siffle: 15 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
... - Photos...
- couleurs...
- Glisser...
- Palper...
- rires...
PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
TiboMonG4...
Merci tout le Monde... :zen: Je suis gâtée...
de plus en plus difficile de faire un choix... :heu:Quel boulot... :siffle: 15 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
faut bien se remettre en jambe
C'était l'un de ces après-midi où, pour une raison plus que pour une autre, on sort prendre l'air là où il n'est pas.
Il marchait, écrasé par la chaleur et trop las pour seulement envisager de s'arrêter. Vidé. Ses pensées étaient à peine des songes, ses pas des glissements sur la poussière soulevée des pavés. Caméléon blanc épinglé par les rayons du soleil ; sa mélancolie le traînait d'asphalte en bitume. Toujours poussé par le souffle chaud qui déchirait sa gorge il se prit à rêver, espérer une faille dans les murs chaulés. Que viennent à mourir les couleurs délavée de cet été figé.
Un bruit soudain. Un froissement. L'agonie de quelques fibres mêlées. Le dernier cri d'une feuille de papier, sèche à s'en émietter, freina sa chute. Le temps de ramasser ce qui semblait être une lettre il remarqua un manteau d'ombre, offert par un porche, un vieux, un rescapé. Enfin abrité il parcouru le papier de ses doigt, le palpa. Ses yeux s'habituèrent à la douceur de l'obscurité le temps d'une éternité. Alors il put franchir la douleur et se laisser glisser dans ses souvenirs.
Une heure auparavant, ou peut-être cent ans, le souffle de l'air chassé par le carton des pages d'un album de photos le caressait. Le bruissement du papier cristal le berçait. Et puis il y eu ce choc, ce manque : un rectangle blanc au lieu du jaune passé ou des couleurs aimées. Cette cicatrice dans le flot de son histoire l'arrachait à la douceur de l'été. Rage. Silence. Chaleur.
Dans le vent, agonie, disparurent les miettes de la lettre. Ses doigt blanchis par la fureur étaient fermé sur le vide et deux mots rescapés : « Mon amour, ».
Les larmes vinrent d'abord ; des larmes si longtemps retenues. La colère, ensuite, hurla une dernière fois de tout son silence, soufflant la douleur. Détendus, épuisé, il se laissa alors envahir par ses souvenirs sucrés ou salés mais plein de goût. Il frémit des baisers passés et de ceux à venir. Il vit les fêtes, les veillées qui ne prennent jamais fin même les dernières braises étouffées. Il pensa aux étoiles.
Le soir tombait dans une pluie d'or. Des cris. Au loin il aperçut ses amis et les rejoignit pour une fois encore mêler ses rires aux leurs ; se soûler de l'air qu'ils respirent.
C'était l'un de ces après-midi où, pour une raison plus que pour une autre, on sort prendre l'air là où il n'est pas.
Il marchait, écrasé par la chaleur et trop las pour seulement envisager de s'arrêter. Vidé. Ses pensées étaient à peine des songes, ses pas des glissements sur la poussière soulevée des pavés. Caméléon blanc épinglé par les rayons du soleil ; sa mélancolie le traînait d'asphalte en bitume. Toujours poussé par le souffle chaud qui déchirait sa gorge il se prit à rêver, espérer une faille dans les murs chaulés. Que viennent à mourir les couleurs délavée de cet été figé.
Un bruit soudain. Un froissement. L'agonie de quelques fibres mêlées. Le dernier cri d'une feuille de papier, sèche à s'en émietter, freina sa chute. Le temps de ramasser ce qui semblait être une lettre il remarqua un manteau d'ombre, offert par un porche, un vieux, un rescapé. Enfin abrité il parcouru le papier de ses doigt, le palpa. Ses yeux s'habituèrent à la douceur de l'obscurité le temps d'une éternité. Alors il put franchir la douleur et se laisser glisser dans ses souvenirs.
Une heure auparavant, ou peut-être cent ans, le souffle de l'air chassé par le carton des pages d'un album de photos le caressait. Le bruissement du papier cristal le berçait. Et puis il y eu ce choc, ce manque : un rectangle blanc au lieu du jaune passé ou des couleurs aimées. Cette cicatrice dans le flot de son histoire l'arrachait à la douceur de l'été. Rage. Silence. Chaleur.
Dans le vent, agonie, disparurent les miettes de la lettre. Ses doigt blanchis par la fureur étaient fermé sur le vide et deux mots rescapés : « Mon amour, ».
Les larmes vinrent d'abord ; des larmes si longtemps retenues. La colère, ensuite, hurla une dernière fois de tout son silence, soufflant la douleur. Détendus, épuisé, il se laissa alors envahir par ses souvenirs sucrés ou salés mais plein de goût. Il frémit des baisers passés et de ceux à venir. Il vit les fêtes, les veillées qui ne prennent jamais fin même les dernières braises étouffées. Il pensa aux étoiles.
Le soir tombait dans une pluie d'or. Des cris. Au loin il aperçut ses amis et les rejoignit pour une fois encore mêler ses rires aux leurs ; se soûler de l'air qu'ils respirent.
LEs petits Secrets... Bon une date... Mardi 5 juillet dans la nuit ...
- Photos...
- couleurs...
- Glisser...
- Palper...
- rires...
PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
TiboMonG4...
Napasrienfaitdutout...
Merci tout le Monde... :zen: Je suis gâtée... de plus en plus difficile de faire un choix... :heu:
Quel boulot... :siffle: 16 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
... - Photos...
- couleurs...
- Glisser...
- Palper...
- rires...
PoorMonster...
Pierrou ...
Malow...
Roberto...
MAdo...
Cillian...
Ah Lumai ces sourires
Jarhom Un nouveau qui emboîte le pas à une nouvelle
Energizer...
Loustic...
Luc G ben ça alors...
Gilbertus...
Aricosec... rêve
Macmarco...
TiboMonG4...
Napasrienfaitdutout...
Merci tout le Monde... :zen: Je suis gâtée...
de plus en plus difficile de faire un choix... :heu:Quel boulot... :siffle: 16 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
Je tenais à également remercier tout le monde : j'ai besoin de motivation et pour ça vous êtes tous
bises à tous et pmus particulièrement à ceux croisés au bord (ou à l'intérieur) d'une piscine
bises à tous et pmus particulièrement à ceux croisés au bord (ou à l'intérieur) d'une piscine
.macelene a dit:Merci tout le Monde... :zen: Je suis gâtée...
Quel boulot... :siffle: 16 copies... comment vais-je faire ??? :heu:
ben voyons macelene, et le coup du chapeau ?
, tu as oublié :eek: .
NON NON et NON l'Arico !!!aricosec a dit:.
ben voyons macelene, et le coup du chapeau ?
.
Le coup de l'escalier est bien plus équitable !!!
:zen:
C'est une belle photo de vous tous que j'ai sous les yeux. Pleine de couleurs, de tristesse, de tendresse, de rires, d'amour...
Je voudrai tant que nos envies d'écrire ne finissent pas comme ces héroïnes se dépouillant de leurs charmes sur fond sépia et qui finissent un jour expulsées dans une vieille boîte en carton cachée sous un lit.
Continuez de faire glisser votre plume pour coucher encore vos mots et vos maux... :zen:
Donc je disais c'est difficile de faire un choix. Alors... je passe la baguette à
Nephoupasriendutoutenfait... :love: and
Estas el ganador de esta temporada...
Merci :zen: d'avoir été nombreux en ce début d'été pour mon et notre plus grand plaisir.
PoorMonster, Pierrou, Malow, Roberto, Mado, Cillian, Lumai, Jarhom, Energizer, Loustic, LucG, Gilbertus, Arico, Macmarco, Tibo, Nephou.
À TOutes et TOus Bonnes Vacances, me voy lejos del desorden... :zen: por un tiempo... :love:
hasta la vista hasta pronto...
Je voudrai tant que nos envies d'écrire ne finissent pas comme ces héroïnes se dépouillant de leurs charmes sur fond sépia et qui finissent un jour expulsées dans une vieille boîte en carton cachée sous un lit.
Continuez de faire glisser votre plume pour coucher encore vos mots et vos maux... :zen:
Donc je disais c'est difficile de faire un choix. Alors... je passe la baguette à
Nephoupasriendutoutenfait...
:love: and Estas el ganador de esta temporada...
Merci :zen: d'avoir été nombreux en ce début d'été pour mon et notre plus grand plaisir.
PoorMonster, Pierrou, Malow, Roberto, Mado, Cillian, Lumai, Jarhom, Energizer, Loustic, LucG, Gilbertus, Arico, Macmarco, Tibo, Nephou.
À TOutes et TOus Bonnes Vacances, me voy lejos del desorden... :zen: por un tiempo... :love:
hasta la vista
hasta pronto...
:love:
je suis tout ému et content
merci Hélène :zen:
Bon tout le monde : faut pas s'endormir : commencez à faire chauffer les neurones : “lé nouvo soujett il arrive"
je suis tout ému et content
merci Hélène :zen:
Bon tout le monde : faut pas s'endormir : commencez à faire chauffer les neurones : “lé nouvo soujett il arrive
"
Nephou a dit::love:
je suis tout ému et content
merci Hélène :zen:
Bon tout le monde : faut pas s'endormir : commencez à faire chauffer les neurones : “lé nouvo soujett il arrive
:siffle: tu étais juste derrière la porte ?
J'attends avec tes mots de rechange - Statut
