Ummagumma. Pour coller avec les embruns qui me restent dans la tête de la fête d'hier. Sacrée soirée de mariage. Le chardonnay d'Arbois passait très bien. Très très bien. Et le Bourgogne rouge qui a suivi, également. Miam.
Sinon, Ummagumma.
Mmmmm...
Oui.
Qu'en dire?
Peut-être le disque le plus onirique du Floyd. Une sorte d'introspection alambiquée, une torture cervicale, une masturbation musicale, une promenade sous acide, une pensée toxique. Le voyage dans ces méandres, parfois à la limite du grotesque, prépare l'esprit à une recherche de sens, à une interrogation paradigmatique.
Well, je pense que je suis bien dans le concept, là!