Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0
- Créateur du sujet teo
- Date de début
Nan, enfin je crois pas.
Pour l'instant, j'en ai entendu que l'audio. Je trouve cette "BO" (donc) assez bien inspirée, source d'inspiration en tout cas. Encore un projet audacieux de la part d'EZ3kiel. Cependant, je me demande ce qu'il vont en faire pour leur tournée. Mais je leur fait confiance.
A
Anonyme
Invité
ce n'est pas redondant pour une grande partie de cette production ?
1er écoute, du Bjork... et j'aime bcp l'artiste, Vespertine est mon album préféré, mais je voudrais bien qu'elle se renouvelle un peu, elle a un potentiel fou et là on tourne un peu en rond, on est toujours exigent avec des artistes de cette trempe. En tout cas je suis pas encore au bout de la 1ère écoute, j'écoute ça en bossant donc voilà... mais les duo avec... arf zut j'ai zappé son nom, gros trou (non non c'est pas son surnom hein :eek: :love: ) euh... ANTONY ! Bref bah je les trouve pas top ces duos, ce type est invité partout, c'est lassant, de toute façon c'est ça aujourd'hui, dès qu'un phénomène apparaît, on se jette dessus, on en fait un truc exceptionnel même si bon c'est pas toujours le cas et du coup on le vide de sa substance très rapidement pour le laisser choir 1 ou 2 ans après, comme un banal artiste du moment, cette avidité culturelle compulsive et pathologique est vraiment fatigante. Bref, en tout cas j'accroche carrément sur la piste 9 Declare Independence, ça change un peu
Sinon il a l'air plutôt bon, faut voir une écoute plus approfondie, au casque par exemple.
oué, anthony and the jonhsons, effectivement pas top...duo chamalots ... je suis entièrement d'accord avec toi, moi je l'adore et je trouve aussi qu'elle ne surprend plus....c'est dommage et puis ces couvs sont moches, la plus belle pochette c'est debut, point barre, elle n'a pas besoin de tout cet attirail cache misère, un beau portrait d'elle, simple noir et blanc...enfin bref :love:....
... je suis entièrement d'accord avec toi, moi je l'adore et je trouve aussi qu'elle ne surprend plus....c'est dommage et puis ces couvs sont moches, la plus belle pochette c'est debut, point barre, elle n'a pas besoin de tout cet attirail cache misère, un beau portrait d'elle, simple noir et blanc...enfin bref :love:....
Philip Glass et la BO de Mishima.
Je découvre un peu plus avant Glass. Découvert avec le film The Hours, je me régale.
J'ai du mal à dire ce que j'aime dans cette musique.
C'est comme une trame, du tissu, une mise en page, de la belle ouvrage. Cela se répète, se transforme, se redimensionne, et cela s'épanouit dans un mélange constant de ruptures et de continuités, de déséquilibres vacillants et stables, de longs calmes tumultueux. C'est magique
Il faudrait que je vois ce film
Je découvre un peu plus avant Glass. Découvert avec le film The Hours, je me régale.
J'ai du mal à dire ce que j'aime dans cette musique.
C'est comme une trame, du tissu, une mise en page, de la belle ouvrage. Cela se répète, se transforme, se redimensionne, et cela s'épanouit dans un mélange constant de ruptures et de continuités, de déséquilibres vacillants et stables, de longs calmes tumultueux. C'est magique
Il faudrait que je vois ce film
Death in june - "But, what ends when the symbols shatter ?"
Ceux qui pourraient me reprocher un manque d'objectivité dans mes chroniques ne seront pas en reste à nouveau. Le fait est que je n'ai pas envie de perdre de temps à chroniquer des disques que je n'aime pas vraiment, voire pas du tout. Alors autant vous dire, là tout de suite maintenant, que ce qui suit est une chronique d'un mes disques cultes toutes catégories confondues. Après cet incipit biographique d'un intérêt, je vous l'accorde, tout à fait relatif, laissons place aux enchantements de Douglas Pearce et de ses acolytes tout aussi talentueux (ce lèche-bottes !). En 1992, Douglas P. est seul aux commandes d'un des projets les plus mystérieux de la scène musicale des années 80. Car même s'il sait s'entourer, c'est à lui que nous devons cet album somptueux, poétique, aux textes parfois sybillins mais jamais vulgaires, désabusés mais pertinents. 'Qu'est-ce qui est fini lorsque les symboles s'effondrent ?' : 12 réponses parmi lesquelles la mort de Dieu ('He's disabled', 'The mourner's bench'), une liberté de penser et d'agir (de vivre en somme, 'Little black angel'), la nostalgie ('But, what ends...', 'Daedalus rising') et une lucidité froide mais touchante ('The golden wedding...', 'This is not Paradise'). La voix décalée et surréaliste de Tibet fait écho à celle de Douglas, plus posée et à l'occasion solennelle, tandis que guitares folk, trompettes et accordéons apportent une touche traditionnelle qui loin de dépareiller, confirme la valeur intemporelle de ce bijou...que dis-je, cette relique ! A posséder absolument par tout fan de dark-folk qui se respecte.
http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=3554
Ceux qui pourraient me reprocher un manque d'objectivité dans mes chroniques ne seront pas en reste à nouveau. Le fait est que je n'ai pas envie de perdre de temps à chroniquer des disques que je n'aime pas vraiment, voire pas du tout. Alors autant vous dire, là tout de suite maintenant, que ce qui suit est une chronique d'un mes disques cultes toutes catégories confondues. Après cet incipit biographique d'un intérêt, je vous l'accorde, tout à fait relatif, laissons place aux enchantements de Douglas Pearce et de ses acolytes tout aussi talentueux (ce lèche-bottes !). En 1992, Douglas P. est seul aux commandes d'un des projets les plus mystérieux de la scène musicale des années 80. Car même s'il sait s'entourer, c'est à lui que nous devons cet album somptueux, poétique, aux textes parfois sybillins mais jamais vulgaires, désabusés mais pertinents. 'Qu'est-ce qui est fini lorsque les symboles s'effondrent ?' : 12 réponses parmi lesquelles la mort de Dieu ('He's disabled', 'The mourner's bench'), une liberté de penser et d'agir (de vivre en somme, 'Little black angel'), la nostalgie ('But, what ends...', 'Daedalus rising') et une lucidité froide mais touchante ('The golden wedding...', 'This is not Paradise'). La voix décalée et surréaliste de Tibet fait écho à celle de Douglas, plus posée et à l'occasion solennelle, tandis que guitares folk, trompettes et accordéons apportent une touche traditionnelle qui loin de dépareiller, confirme la valeur intemporelle de ce bijou...que dis-je, cette relique ! A posséder absolument par tout fan de dark-folk qui se respecte.
http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=3554
On peut avoir été le chanteur du plus grand groupe de rock (oui je sais je ne suis pas très neutre lorsque l'on parle des CLASH ) et rester humble, fidèle à ses idées.
Aussi, petit hommage à Joe Strummer avec son "Streetcore"
) et rester humble, fidèle à ses idées.Aussi, petit hommage à Joe Strummer avec son "Streetcore"
j'aime pas trop les guitares à la mission à vrai dire, autant écouter un bon pagan song des virgin prunes dans ce casDeath in june - "But, what ends when the symbols shatter ?"
[YOUTUBE]qgoJn5SUa_4[/YOUTUBE]
Alors en ce moment (c'est réel en ce moment merci itunes ) c'est young marble giants.
ouiiiiiiiiiiii je sais c'est hyper mega vieux, ringard qui sort de ses placards ses disques (enfin sur itunes les disques... ahumm bon, donc cet avion est arrivé dans mes oreilles il y a trèèèèès longtemps via lenoir et ses excellents choix musicaux, j'ai mis quelque chose comme 2 ans avant de trouver le disque (oui à l'époque pas de p2p ou d'itunes :sick: )
c'est du minimaliste typé 80, quand je dis minimaliste, c'est vraiment minimaliste
je dis cela parce qu'ils font un concert le 27 mai, le premier depuis 1980 :sick:
écouter un choci loni extrait de collosal youth par exemple, la magie devrait opérer
en attendant voici un autre titre de leur album que j'ai glané sur you tube
[YOUTUBE]MbN0gllZb3Q[/YOUTUBE]
) c'est young marble giants.ouiiiiiiiiiiii je sais c'est hyper mega vieux, ringard qui sort de ses placards ses disques (enfin sur itunes les disques... ahumm bon, donc cet avion est arrivé dans mes oreilles il y a trèèèèès longtemps via lenoir et ses excellents choix musicaux, j'ai mis quelque chose comme 2 ans avant de trouver le disque (oui à l'époque pas de p2p ou d'itunes :sick: )
c'est du minimaliste typé 80, quand je dis minimaliste, c'est vraiment minimaliste
je dis cela parce qu'ils font un concert le 27 mai, le premier depuis 1980 :sick:
écouter un choci loni extrait de collosal youth par exemple, la magie devrait opérer
en attendant voici un autre titre de leur album que j'ai glané sur you tube
[YOUTUBE]MbN0gllZb3Q[/YOUTUBE]
ah bernard Lenoir!!!!! héhéhéhé
Ça c'est vrai ça !
Découvert récemment, les Stones Roses par leur best of logiquement intitulé The very best of The Stones Roses. Un gros gros coup de cur pour She Bangs The Drums, Made Of Stone et évidemment Love Spreads. Excellent!
JOY DIVISION "Closer"
Joy Division est un groupe qu'on ne présente plus, devenu une référence pour tous les amateurs de musique à l'atmosphère sombre et pleine de désespoir. Ian Curtis est sa bande font partie des maîtres du genre, c'est la mise en place de la cold-wave. Après un magnifique premier album intitulé Unknow Pleasures sorti en 1978, qui révélera tout de suite le fabuleux potentiel du groupe, la deuxième perle de Joy Division sort deux ans après, en 1980. La musique des années 80 sera bouleversée par ces deux albums, dont le chanteur ne pourra malheureusement pas connaître le succès du deuxième, Closer. Les guitares, les claviers et la voix de Ian forment un ensemble idéalement mis en scène et transmettent à travers la noirceur des morceaux de superbes rythmes. La basse n'y est pas pour rien et contrôle certains titres de bout en bout comme A means to an end ou encore Heart and soul. La voix de Curtis est intrigante, propre à lui-même, emplie de tristesse et de mélancolie, qui fait de Closer un disque très sombre. L'atmosphère froide et dépressive se ressent évidemment sans exagération, tout est naturel dans l'oeuvre de Joy Division. Ceci est accentué par les rythmes lents et contemplatifs de The Eternal. Les claviers ont la part belle et sont entêtants, répétitifs portant une vision plus accentuée de la voix, sur Decades ou encore Isolation. Tous ces titres bien que simples retransmettent une ambiance sombre et étrange, et sont encore plus que présents à l'heure actuelle. bon nombre d'artistes reconnaissent être inspirés par l'âme de Joy Division. Mais Closer sortira à titre posthume, Ian Curtis se suicidera en 1980. Les membres restants se reformeront sous le nom de New Order (premier album Movement sorti en 1981).
http://www.lagouttiere.com/chronique.php?num=71
Joy Division est un groupe qu'on ne présente plus, devenu une référence pour tous les amateurs de musique à l'atmosphère sombre et pleine de désespoir. Ian Curtis est sa bande font partie des maîtres du genre, c'est la mise en place de la cold-wave. Après un magnifique premier album intitulé Unknow Pleasures sorti en 1978, qui révélera tout de suite le fabuleux potentiel du groupe, la deuxième perle de Joy Division sort deux ans après, en 1980. La musique des années 80 sera bouleversée par ces deux albums, dont le chanteur ne pourra malheureusement pas connaître le succès du deuxième, Closer. Les guitares, les claviers et la voix de Ian forment un ensemble idéalement mis en scène et transmettent à travers la noirceur des morceaux de superbes rythmes. La basse n'y est pas pour rien et contrôle certains titres de bout en bout comme A means to an end ou encore Heart and soul. La voix de Curtis est intrigante, propre à lui-même, emplie de tristesse et de mélancolie, qui fait de Closer un disque très sombre. L'atmosphère froide et dépressive se ressent évidemment sans exagération, tout est naturel dans l'oeuvre de Joy Division. Ceci est accentué par les rythmes lents et contemplatifs de The Eternal. Les claviers ont la part belle et sont entêtants, répétitifs portant une vision plus accentuée de la voix, sur Decades ou encore Isolation. Tous ces titres bien que simples retransmettent une ambiance sombre et étrange, et sont encore plus que présents à l'heure actuelle. bon nombre d'artistes reconnaissent être inspirés par l'âme de Joy Division. Mais Closer sortira à titre posthume, Ian Curtis se suicidera en 1980. Les membres restants se reformeront sous le nom de New Order (premier album Movement sorti en 1981).
http://www.lagouttiere.com/chronique.php?num=71
une lecture de 24 hours party people est très utile pour comprendre l'importance de joy division en angleterre et au Royaumes unis
en complément à tout ceci, je me permets de me citer
Merci Burzum :zen: merci naas
Là je mate Shadowplayer en DVD, un documentaire sur Factory Records, entre 1978 et 1981, le label et club de Manchester avec des interviews d'anciens membres ou de contemporains de Joy Division/New Order, Durutti Column, A Certain Ratio, Cabaret Voltaire, Buzzcocks/Magazine, Section 25, Crispy Ambulance, The Names, Minny Pops, Swamp Children, Thick Pigeon, Killing Joke ainsi que Tony Wilson et Peter Saville.
( )
A
Anonyme
Invité
On peut considérer que le premier album de Joy Division, c'est le seul et unique album sous le nom de Warsaw
