Décrassage des cheveux :afraid: :style:
franchement je connais pas
je sais pas ou chercher, et cela me donne pas envie, plus d'infos peut être ?![]()
Moi, j'écoute ca en ce moment, et ca décrasse bien aussi, surtout en écoutant fort
Gallows
Ca C'est du Bon !!!
![]()
Jack Johnson? Je préfère Joe Jackson.
Dans le genre John Jackson, je préfère Donavon Frankenreiter, puis Joe Jackson... évidemment:love:
Sinon, je me suis replongé dans ma disco de King Crimson.
Du gros son, de la virtuosité, des compos magnifiques, de l'onirique, des balades sublimes. Et pas une trace de blues dans cette musique.
Leur "Lizard" est céleste, tout en dentelle, ciselé comme un vase du Val St Lambert. Peut-être difficile d'approche mais c'est une merveille. Déjà, rien que la pochette...Dépliée, ça donne ceci:
![]()
Puis, il y a le splendide "Starless And Bible Black". Un album très expérimental, qui comporte des improvisations directement importées de la scène avec un simple traitement de son pour éliminer quelques scories genre manifestations du public. Une aventure cérébrale (terme qui peut s'appliquer à toute la musique du Roi Cramoisi) dans les méandres du cerveau torturé du principal responsable de la direction musicale du groupe: Robert Fripp.
Puis, bien entendu, l'incontournable "Red" qui clôt cette période bénie. Un sommet dans l'art crimsonien. La quintessence de la noirceur, de la lourdeur qui a prévalu sur la majorité de leurs compositions. Ici, c'est de la fureur, de la tourmente, un vent d'ouragan qui arrache tout sur son passage. Et puis, pour terminer l'album, le fabuleux "Starless". Un voyage qui débute tout en douceur avec des nappes de mellotron et une guitare pleurant une pluie acide qui ne laisse en rien présager de la partie centrale de folie, une lente montée vers l'extase électrique, un tourbillon fou qui aveugle... Et après l'écoute, on reste assis dans son fauteuil, transi... Le silence qui suit "Starless" de King Crimson est encore du King Crimson.![]()
![]()
Par contre, la pochette, j'ai déjà vu mieux...
Je vois qu'il y a des connaissaurs ici, manque peutêtre "Discipline" et "Beat"
Je les ai vu plusieurs fois à des "périodes" différentes, (Du "Court of the Crimson King" à 1995 environ. Fripp est époustouflant, tranquilement assis sur son ampli Roland JC, puis avec sa synthé guitare (Roland aussi biensûr):love: :love: :love:
Jack Johnson? Je préfère Joe Jackson.
Sinon, je me suis replongé dans ma disco de King Crimson.
Du gros son, de la virtuosité, des compos magnifiques, de l'onirique, des balades sublimes. Et pas une trace de blues dans cette musique.
Leur "Lizard" est céleste, tout en dentelle, ciselé comme un vase du Val St Lambert. Peut-être difficile d'approche mais c'est une merveille. Déjà, rien que la pochette...Dépliée, ça donne ceci:
![]()
Puis, il y a le splendide "Starless And Bible Black". Un album très expérimental, qui comporte des improvisations directement importées de la scène avec un simple traitement de son pour éliminer quelques scories genre manifestations du public. Une aventure cérébrale (terme qui peut s'appliquer à toute la musique du Roi Cramoisi) dans les méandres du cerveau torturé du principal responsable de la direction musicale du groupe: Robert Fripp.
![]()
Puis, bien entendu, l'incontournable "Red" qui clôt cette période bénie. Un sommet dans l'art crimsonien. La quintessence de la noirceur, de la lourdeur qui a prévalu sur la majorité de leurs compositions. Ici, c'est de la fureur, de la tourmente, un vent d'ouragan qui arrache tout sur son passage. Et puis, pour terminer l'album, le fabuleux "Starless". Un voyage qui débute tout en douceur avec des nappes de mellotron et une guitare pleurant une pluie acide qui ne laisse en rien présager de la partie centrale de folie, une lente montée vers l'extase électrique, un tourbillon fou qui aveugle... Et après l'écoute, on reste assis dans son fauteuil, transi... Le silence qui suit "Starless" de King Crimson est encore du King Crimson.![]()
![]()
Par contre, la pochette, j'ai déjà vu mieux...
![]()
Juste une toute petite contribution. Starless and Bible Black est effectivement "une aventure cérébrale" et une véritable expérience musicale. Mais il comporte aussi des moments d'une puissance émotionnelle rarement atteinte, notamment le cescendo final de "Fracture"
très bons titres chez ce groupeJaga Jazzist - A Livingroom Hush