..."Les Capenoules" ... et leur répertoire qui me rappelle quelques bons moment de guindailles... 
:o
(Alèm doit bien connaître ça !!!:love
:o(Alèm doit bien connaître ça !!!:love
Les chansons qu'on aime et que c'est la honte...
- Créateur du sujet Nexka
- Date de début
Oui, oui, je sais, mais à l'époque je croyais que c'était de la critique sociale
(j'étais encore jeune:heu
[youtube]TAHnWlXYY6s[/youtube]
(j'étais encore jeune:heu
[youtube]TAHnWlXYY6s[/youtube]
Toutes les fois que j'arrive sur le forum, j'entends :
Quand le soleil
A travers
La forêt
Se change en or
Dans vos bras c'est beau
Un garçon qui s'endort
Il avait l'air
D'un enfant
Sans parents
Qui cherche encore
Si sa route
Ira vers le sud ou le nord
Benjamin
C'est son nom
Il ressemble à la couleur
De ma chanson
Un peu triste cyclamen
Pourtant, pourtant
C'est lui que j'aime
Que j'aime
Benjamin
Des beaux jours
Où l'amour ne s'app'lait pas encore l'amour
Benjamin mon vieil ami
Du temps, du temps où j'apprenais la vie
Je l'aime
Quant le soleil
A quitté
La forêt
J'ai pris sa main
Un matin devant la croisée des chemins
En se jurant
Tendrement
De s'aimer
Jusqu'à la mort
Il a pris le Sud et moi j'ai pris le Nord
Benjamin
C'est son nom
Il ressemble à la couleur
De ma chanson
Un peu triste cyclamen
Pourtant, pourtant
C'est lui que j'aime
Que j'aime
Benjamin
Des beaux jours
Où l'amour ne s'app'lait pas encore l'amour
Benjamin mon vieil ami
Du temps, du temps où j'apprenais la vie
Je l'aime
Benjamin
Je l'aime
:mouais: :siffle:
Quand le soleil
A travers
La forêt
Se change en or
Dans vos bras c'est beau
Un garçon qui s'endort
Il avait l'air
D'un enfant
Sans parents
Qui cherche encore
Si sa route
Ira vers le sud ou le nord
Benjamin
C'est son nom
Il ressemble à la couleur
De ma chanson
Un peu triste cyclamen
Pourtant, pourtant
C'est lui que j'aime
Que j'aime
Benjamin
Des beaux jours
Où l'amour ne s'app'lait pas encore l'amour
Benjamin mon vieil ami
Du temps, du temps où j'apprenais la vie
Je l'aime
Quant le soleil
A quitté
La forêt
J'ai pris sa main
Un matin devant la croisée des chemins
En se jurant
Tendrement
De s'aimer
Jusqu'à la mort
Il a pris le Sud et moi j'ai pris le Nord
Benjamin
C'est son nom
Il ressemble à la couleur
De ma chanson
Un peu triste cyclamen
Pourtant, pourtant
C'est lui que j'aime
Que j'aime
Benjamin
Des beaux jours
Où l'amour ne s'app'lait pas encore l'amour
Benjamin mon vieil ami
Du temps, du temps où j'apprenais la vie
Je l'aime
Benjamin
Je l'aime
:mouais: :siffle:
Toutes les fois que j'arrive sur le forum, j'entends :
Quand le soleil
.../...
Benjamin
Je l'aime
:mouais: :siffle:
Et donc, comme indiqué dans le titre du thread, tu as honte.
:siffle: :rateau:
Et donc, comme indiqué dans le titre du thread, tu as honte.
:siffle: :rateau:
Pour ceux qui la chantent, oui
C'est du Céline Dion quand même !
jécoute pas que du bon mais j'ai honte de rien…
manquerait plus que ça… tu veux être mon ami ? :love:(ah murde, moi aussi, c'est déjà le cas !
)..."Les Capenoules" ... et leur répertoire qui me rappelle quelques bons moment de guindailles...
(Alèm doit bien connaître ça !!!:love
ah non mais je veux bien faire un stage en flamandie ! :love: :love:
je peux venir avec ?
Enfin, bon, vous n'êtes que des petits joueurs
A dire: Moi ce que j'aime, c'est total impeccable
Et donc, y a rien à enlever
Mais bon,
Vous savez très bien qu'il y a des replis de vos affects
Qui ont fait que vous avez écouté des trucs dont vous avez honte
La honte, dit Sartre, est une sentiment révélateur
Tiens, je vais faire une honte non bue :
[youtube]QxGiZL03n-4[/youtube]
A dire: Moi ce que j'aime, c'est total impeccable
Et donc, y a rien à enlever
Mais bon,
Vous savez très bien qu'il y a des replis de vos affects
Qui ont fait que vous avez écouté des trucs dont vous avez honte
La honte, dit Sartre, est une sentiment révélateur
Tiens, je vais faire une honte non bue :
[youtube]QxGiZL03n-4[/youtube]
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
They're forming in straight line
They're going through a tight wind
The kids are losing their minds
Blitzkrieg Bop
They're piling in the back seat
They're generating steam heat
Pulsating to the back beat
Blitzkrieg Bop
Hey ho, let's go
Shoot them in the back now
What they want, I don't know
They're all revved up and ready to go
They're forming in straight line
They're going through a tight wind
The kids are losing their minds
Blitzkrieg Bop
They're piling in the back seat
They're generating steam heat
Pulsating to the back beat
Blitzkrieg Bop
Hey ho, let's go
Shoot them in the back now
What they want, I don't know
They're all reved up and ready to go
They're forming in straight line
They're going through a tight wind
The kids are losing their minds
Blitzkrieg Bop
They're piling in the back seat
They're generating steam heat
Pulsating to the back beat
Blitzkrieg Bop
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
Hey ho, let's go
:love:
(Ceci dit, j'en ai pas honte du tout !
)
Oui moi aussi je vous trouve petits joueurs sur le coup
Aller, vous avez bien une chanson dans votre répertoire iTunes qui vous fait dire "non non c'est une copine qui m'a demandé de la lui graver" :siffle:
quand quelqu'un la pointe du doigt en s'exclamant "Hein? Tu écoutes ça toi? :affraid: "
ah tiens, pas une honte mais j'ai bien ri et j'ai dansé quand j'ai vu un bon paquet de Skins, punks et autres Psychos danser sur "Come On Eileen" de Dexy's Midnight Runner…
(il grandit bien ce tiot tintin… :love
(il grandit bien ce tiot tintin… :love
Moi j'écoute du PATOCHMAN, le meilleur pour faire déménager les voisins qu'on aime pas avec les titres "A qu'elle se bourre comme un canon" , "Eglantine me turlupine", "Le doux son enchanteur des bottes cloutées sur le pavé, comptine cantée en 20 couplets"
avec les titres "A qu'elle se bourre comme un canon" , "Eglantine me turlupine", "Le doux son enchanteur des bottes cloutées sur le pavé, comptine cantée en 20 couplets"
Les mots bleus
Ouais, enfin y'a pire comme truc honteux, a mon avis.
Il est complètement déjanté, le Christophe !Et où peut-on trouver ces merveilles qui allient à la fois le rythme endiablé des fêtes de la cochonnaille d'Ajaccio et des paroles dignes de l'Académie ?! :love:
En live à la casa, après 4 ou 5 absinthes bien tassées...
J'imagine fort bien, avec accompagnement à la double cuillère à soupe qui va et vient entre la paume et l'aine !
C'était en septembre 1977.
La rue Mercière, à Lyon, se cherchait, entre la rue à putes qu'elle était et la rue à punks qu'elle était devenue. L'après-midi, j'avais acheté le premier disque des Saints. Après une soirée chimique chez un copain au troisième étage, côté Rhône, je descends vers minuit. Tiens, me dis-je, je vais aller boire une bière ou deux chez Mèmère. Mèmère, c'était un petit café fréquenté par des filles qui préféraient les filles. Je m'assieds au bar et je pose mon album des Saints sur le comptoir. Mèmère regarde l'album, puis moi, d'un air dégoûté et me dit : "quand est-ce que tu arrêteras d'écouter de la musique de tarlouze.?". Moi, je ne réponds rien. C'est que Mèmère, c'est un chic fille qui lit T.S. Eliot dans le texte. Mais elle n'aime pas qu'on la contredise. En cas de désaccord, elle a un argument frappant, un tonfa que lui aurait donné Bruce Lee (enfin c'est elle qui le dit). Et là, elle met Barbara à fond. Je bois mes deux bières et je sors. Sous une pluie battante, il y a une fille, juste au début du passage en face, en prefecto et bas résille. Je la reconnais tout de suite. C'est Edie Sedgwick. Je m'abrite en face d'elle. Au bout de dix minutes, elle s'aperçoit de ma présence et elle me dit : "tu écoutes les Saints ?". Et moi, chimico-bourré, je lui réponds : "ah non, pas du tout, juste Barbara". D'un coup, je disparais à sa vue. Son regard me traverse pour aller se fixer sur je ne sais quoi, plus loin, sur la place des Jacobins
[youtube]mC776KBLU7k[/youtube]
[youtube]u1-eLE2XluI&feature=related[/youtube]
La rue Mercière, à Lyon, se cherchait, entre la rue à putes qu'elle était et la rue à punks qu'elle était devenue. L'après-midi, j'avais acheté le premier disque des Saints. Après une soirée chimique chez un copain au troisième étage, côté Rhône, je descends vers minuit. Tiens, me dis-je, je vais aller boire une bière ou deux chez Mèmère. Mèmère, c'était un petit café fréquenté par des filles qui préféraient les filles. Je m'assieds au bar et je pose mon album des Saints sur le comptoir. Mèmère regarde l'album, puis moi, d'un air dégoûté et me dit : "quand est-ce que tu arrêteras d'écouter de la musique de tarlouze.?". Moi, je ne réponds rien. C'est que Mèmère, c'est un chic fille qui lit T.S. Eliot dans le texte. Mais elle n'aime pas qu'on la contredise. En cas de désaccord, elle a un argument frappant, un tonfa que lui aurait donné Bruce Lee (enfin c'est elle qui le dit). Et là, elle met Barbara à fond. Je bois mes deux bières et je sors. Sous une pluie battante, il y a une fille, juste au début du passage en face, en prefecto et bas résille. Je la reconnais tout de suite. C'est Edie Sedgwick. Je m'abrite en face d'elle. Au bout de dix minutes, elle s'aperçoit de ma présence et elle me dit : "tu écoutes les Saints ?". Et moi, chimico-bourré, je lui réponds : "ah non, pas du tout, juste Barbara". D'un coup, je disparais à sa vue. Son regard me traverse pour aller se fixer sur je ne sais quoi, plus loin, sur la place des Jacobins
[youtube]mC776KBLU7k[/youtube]
[youtube]u1-eLE2XluI&feature=related[/youtube]
On va t'envoyer au Concours de l'Eurovision, tu as toutes tes chances.
Tu as notre soutien.
Il faut quand même être sacrément raide pour faire le con lorsqu'on se fait brancher par la belle Edie Sedgwick (dont on se demande bien ce qu'elle foutait seule dans une rue de Lyon, so far away from N.Y !).
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