Mon amour,
C'est bizare, je ne sais trop quoi penser, ni comment réagir.
Tu avais dit oui, que tu souhaitais m'épouser, et puis là, tu te rétractes, comme tu dis ça te fais peur, que tu veux rester libre, et puis les fantômes de ta famille rôdent.
J'aimerais pouvoir te dire librement que les jugements de ta famille sont des jugements d'arrièrés, qu'ils sont franchement cons.
Que tous les hommes ne sont pas tous des lâches, ni des salauds, ni des ordures. Que les femmes ne sont pas évangiles, que leurs vies ratées ne nous obligent, ni prédestinent a louper la nôtre.
J'aimerais pouvoir te dire a coeur ouvert que le mariage ne prive pas de libertés, aucunes.
Que part cette privation de liberté que tu ressens, il y a derrière une volonté de ne pas t'engager, et que se refus d'engagement fait apparaître une épée de Damoclès au dessus de ma tête.
Le jour ou ça te saoulera, tu partiras, puisque tu seras "libre".
Et bien moi je veux t'épouser, car selon mes convictions, je te prouverais pleinement, complètement, que je n'accepterais pas de m'enfuir tant qu'une solution peut être trouvée.
Effectivement, cet engagement, je l'ai déjà pour toi, mais ce que tu m'as dit hier me fait croire que toi non.
Je suis triste, touché et un peu blessé.
Je ne sais quoi te dire, quoi en penser, et j'ai peur que cela soit une marque d'une sentence qui sera prononcée un jour.
Je t'aime, mais peut être je ne serais plus là le jour ou enfin tu trouveras que l'homme de ta vie mérite ce "sacrifice" de "liberté".
Et puis si même "l'homme de ta vie" ne suscite pas ça chez toi, alors tu ne te marieras jamais.
Famille de merde aux croyances de bonnes femmes à la con.
Et puis quand bien même l'on se tromperais, que notre mariage tomberait a l'eau. De quel droit se permettrait ta famille de venir nous le reprocher, eux qui n'ont pas été capable de réussir le leur.
Eux qui ne savent déjà pas ce qu'est le respect.
C'est bizare, je ne sais trop quoi penser, ni comment réagir.
Tu avais dit oui, que tu souhaitais m'épouser, et puis là, tu te rétractes, comme tu dis ça te fais peur, que tu veux rester libre, et puis les fantômes de ta famille rôdent.
J'aimerais pouvoir te dire librement que les jugements de ta famille sont des jugements d'arrièrés, qu'ils sont franchement cons.
Que tous les hommes ne sont pas tous des lâches, ni des salauds, ni des ordures. Que les femmes ne sont pas évangiles, que leurs vies ratées ne nous obligent, ni prédestinent a louper la nôtre.
J'aimerais pouvoir te dire a coeur ouvert que le mariage ne prive pas de libertés, aucunes.
Que part cette privation de liberté que tu ressens, il y a derrière une volonté de ne pas t'engager, et que se refus d'engagement fait apparaître une épée de Damoclès au dessus de ma tête.
Le jour ou ça te saoulera, tu partiras, puisque tu seras "libre".
Et bien moi je veux t'épouser, car selon mes convictions, je te prouverais pleinement, complètement, que je n'accepterais pas de m'enfuir tant qu'une solution peut être trouvée.
Effectivement, cet engagement, je l'ai déjà pour toi, mais ce que tu m'as dit hier me fait croire que toi non.
Je suis triste, touché et un peu blessé.
Je ne sais quoi te dire, quoi en penser, et j'ai peur que cela soit une marque d'une sentence qui sera prononcée un jour.
Je t'aime, mais peut être je ne serais plus là le jour ou enfin tu trouveras que l'homme de ta vie mérite ce "sacrifice" de "liberté".
Et puis si même "l'homme de ta vie" ne suscite pas ça chez toi, alors tu ne te marieras jamais.
Famille de merde aux croyances de bonnes femmes à la con.
Et puis quand bien même l'on se tromperais, que notre mariage tomberait a l'eau. De quel droit se permettrait ta famille de venir nous le reprocher, eux qui n'ont pas été capable de réussir le leur.
Eux qui ne savent déjà pas ce qu'est le respect.